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riri2
23 abonnés
263 critiques
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2,5
Publiée le 4 juillet 2012
Un polar à l'ancienne lorgnant sur ce qui se faisait dans les années 1970 aux Etats-Unis. pas forcément mauvais, Peur sur la ville n'a pas si mal veili et reste plutôt un côté ambiance. Reste que ce n'est pas ma tasse de thé !
Un bon Verneuil, un bon Bebel et quelques bonnes punchlines (Francis Veber est co-dialoguiste). On sent qu'un cahier des charges "cascades" a été prévu pour que notre Jean-Paul national fasse des prouesses. Alors qu'aujourd'hui, tout n'est que câbles et fond vert, ça reste très impressionnant. La longue séance psy radiophonique est une scène déconcertante, sortie d'on ne sait où. Il y a bien-sûr des scènes un peu abracadabrantes (comme la fusillade dans la rame de métro), un montage approximatif lors des filatures, l'oubli de la prothèse oculaire du méchant lors d'une scène clé, j'en passe… mais franchement, il y a une vraie tension dans le film et ce portrait de cowboy confronté à "l'enfer de Dante" est juste jubilatoire.Même plusieurs décennies après son tournage, cela reste fort agréable à (re)voir.
L'un des meilleurs films policiers français qu'il m'ai été donné de voir. Henri Verneuil est un génie. Le scénario est machiavélique à souhait, les scènes d'action sont époustouflantes et les acteurs talentueux. Belmondo est au sommet de son art, Denner est impeccable et Adalberto Maria Merli impressionnant en sadique.
De temps en temps je parle des mes comédiens préférés et Jean Paul Belmondo a largement été à l'origine de ma "vocation" . Ce film dialogué par Veber et tourné par Verneuil est un régal de spectateur ! Bien sûr ( mais c'est la première fois ) Belmondo joue un flic qui ose tout mais avec beaucoup d'humour . La musique inoubliable de Morricone et la présence incroyable de Charles Denner contribue au plaisir de revoir ce film . C'est un peu ancré dans les années 70 mais du coup on découvre aussi le Paris de ces années là . La scène de poursuite dans le métro a souvent été copiè mais jamais égalé .
Du bebel pur et dur : c'est le roi de l'acrobatie et de l'enquête musclée, la main sur le Berreta, avec la clope au bec et la verve truculente. Des décors des années 70 et une musique de Morricone qui nous met les frissons dans le dos. Ce commissaire flingueur est finalement attachant, et le spectacle, divertissant. C'était pas mal, le cinéma en chemise à col jabot et avec les coiffures de 3 kg de cheveux... Cet épisode est parmi les plus réussis.
Très bon film. Belmondo est autant très bon acteur que cascadeur. Les dialogues sont bien écrits, tout comme le scénario et le film a le mérite de maintenir du suspense pendant 2 heures. L'enquête est assez bien montrée et le personnage de Minos est bien creusé. Il y a quand même une grande incohérence à la fin du film: spoiler: Pourquoi Minos n'entend pas l'hélicoptère qui est à 3 mètres de l'appartement?
Un des meilleurs Bebel, sans doute l'un des plus sombres, aussi... Le charisme et les motivations du méchant (Minos), la façon dont celui-ci finit par être identifié (brillante idée!), et la réalisation d'Henri Verneuil sont les principales valeurs ajoutées de "Peur sur la ville".
Un des meilleurs films avec Jean Paul Belmondo . Un bon scénario , une bonne histoire policière tournée dans les rues de Paris , où l' on aperçoit quelques monuments célèbres .
Beaucoup de suspens qui nous tient en haleine pendant tout le film , un peu d' actions où Jean Paul Belmondo réalise lui même ses cascades et un brin d'humour ( un tout petit peu d' humour) .
Et en plus , une superbe musique d' Ennio Moriccone .
Ca commence comme « Scream », ça finit comme « Piège de cristal ». Non, blague à part. Verneuil réussit un sympathique mélange entre le film d'action à l'américaine et le thriller...à l'américaine aussi. A ce titre on peut le rapprocher du 1er épisode du « Dirty Harry » de Don Siegel (1971). JPB, clope au bec et gouaille tranchante, exhibe fièrement ses attributs masculins en prenant soin de faire lui même ses cascades un peu folles (pour l'époque). On a le droit à une petite visite guidée de notre Capitale (métro, Concorde, Trocadéro... et une belle pub pour les Galeries Lafayette au passage). Verneuil ne lésine pas sur les moyens et offre un spectacle de qualité, particulièrement efficace, tout en ficelant très bien le côté thriller avec ce duel Letellier/Claude Franç...pardon... « Minos », qui tient en haleine jusqu'à la fin. On ne s'ennuie jamais. Efficace.