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Un film qui commence bien et qui sombre à la fin.
C'est dommage, il y avait un bon potentiel à la base.
Film qui commence en 1982/83 puis arrive en 1987.
Le côté années 80 est bien rendu (même si je suis un peu sceptique sur la musique passée dans la scène de boite de nuit en 1987 sachant qu'en europe ce n'est qu 'à partir de 1988 que cela passe).
L'impression de fin est que le scénariste ne savait plus quoi faire.
Il y a beaucoup de questions qui n'ont pas de réponse.
On est sur un mix de spoiler: Freddy - Annabelle - et le seigneur des anneaux avec un espece de frere à gollum
il faut le faire. On passera aussi sur certains actions des personnages illogiques (la fille tue son père et décide de rester chez sa copine ! euh non la logique ATTENTION SPOLIER : spoiler: on devrait appeler la police pour le meurtre, la découverte de la petite fille et la mort du pretre
A regarder et à oublier.
Mention spéciale à l'actrice : très alyssa milano jeune mais qui par moment à du rouge à lèvre et la scéne d'après plus rien:)
C'est dommage, il y avait un bon potentiel à la base.
Film qui commence en 1982/83 puis arrive en 1987.
Le côté années 80 est bien rendu (même si je suis un peu sceptique sur la musique passée dans la scène de boite de nuit en 1987 sachant qu'en europe ce n'est qu 'à partir de 1988 que cela passe).
L'impression de fin est que le scénariste ne savait plus quoi faire.
Il y a beaucoup de questions qui n'ont pas de réponse.
On est sur un mix de spoiler: Freddy - Annabelle - et le seigneur des anneaux avec un espece de frere à gollum
il faut le faire. On passera aussi sur certains actions des personnages illogiques (la fille tue son père et décide de rester chez sa copine ! euh non la logique ATTENTION SPOLIER : spoiler: on devrait appeler la police pour le meurtre, la découverte de la petite fille et la mort du pretre
A regarder et à oublier.
Mention spéciale à l'actrice : très alyssa milano jeune mais qui par moment à du rouge à lèvre et la scéne d'après plus rien:)
Alors là je suis super déçue... d'habitude les films espagnols sont réputés pour avoir des scénarios en béton mais là c'est ce qui fout tout dedans.. bah oui car le début est poussif et franchement je me suis demandé si ça allait décoller à un moment donné mais finalement l'intrigue se met en place et on commence à flipper sec avec l'adorable présence de la belle Marisol et là on se dit que la fin va être énorme, qu'un ultime rebondissement va vous glacer d'effroi et bah... non ! Pire que tout, l'histoire devient flou & inexpliquée d'un coup (alors qu'il y avait de quoi faire honnêtement) et on reste sur notre faim et franchement ça fâche même un peu car le film aurait pu être dément avec une fin digne de ce nom... vraiment dommage !
Un très mauvais film d'horreur espagnol avec très peu d'effets d'épouvante plutôt réservé aux adolescents .
Film d'horreur espagnol assez soft, mais intéressant. Les actrices et acteurs sont bons et le scénario est correct. Malheureusement la fin est un peu bizarre, ce n'est pas très clair (pour moi). Bref, c'est moyen sans plus.
Film très intéressant comme panorama de tous les artifices d'épouvante les plus éculés : portes qui s'ouvrent ou se ferment toutes seules, lumières clignotantes, esprits frappeurs, télékinésie dans un autre lieu, hallucinations, vagues de murmures, musiques désagréables anxiogènes, jumpscares bidons,...
Hormis le préambule qui commence fort, il faudra attendre 45mn pour que ça re-bouge.
Et la révélation de la malédiction arrivera dans les dernières minutes... Film pour ados en mal d'horrifique!
Hormis le préambule qui commence fort, il faudra attendre 45mn pour que ça re-bouge.
Et la révélation de la malédiction arrivera dans les dernières minutes... Film pour ados en mal d'horrifique!
FaRem
"La niña de la comunión" se déroule dans un petit village espagnol dans les années 80. Une histoire de légende locale que Sara et ses amis vont expérimenter par eux-mêmes. Lorsque cette dernière trouve une poupée, cela déclenche une série de phénomènes aussi physiques que psychologiques. Comme dans tous les films du même genre, le groupe doit remonter aux origines du mal pour l'arrêter avant qu'il ne soit trop tard. « Comme dans tous les films du même genre », c'est bien le problème du film de Víctor Garcia qui pique tout ce qui est possible à une multitude de films. Cela va de l'histoire à la construction en passant par tous les poncifs du genre. C'est certes un genre saturé et tous les projets se ressemblent plus ou moins sauf que là c'est du "Anabelle", "The Ring" et autre mélangés au folklore local. C'est prévisible et poussif en plus de manquer de tension et d'une ambiance pesante. Ce n'est pas mauvais dans le sens où c'est pénible à voir, mais ce n'est vraiment pas terrible du tout.
Une histoire avec un Scénario absolument bidon, qui ne font pas flipper pour 1 euro, des personnages vides, joués par des acteurs mauvais ... le Cinéma d'horreur Espagnol à vu bien mieux que cette bouse !
La réalisation est correcte et l'ambiance générale est plutôt réussie, toutefois ça manque cruellement d'originalité et le film emprunte énormément à The ring, notamment son remake, pour ses ressorts horrifique. C'est pas désagréable mais ce sentiment de deja- vu ne cessera d'accompagner le spectateur.
The Communion Girl est un film d’horreur réalisé par Víctor García, un cinéaste hispanique. Tout d’abord technicien d’effets spéciaux, il s’est fait connaître en 2003 avec un court-métrage horrifique efficace intitulé El ciclo, et a depuis dirigé une dizaine de séries B américaines peu remarquables. Le scénario, écrit par Guillem Clua, qui adapte une histoire originale d’Alberto Marini et de Victor Garcia, n’est guère novateur, car il est basé sur le thème classique du spectre vengeur, qui a été excellemment traité par la J-Horror (Ring, Dark Water). L’intrigue est inspirée d’une légende urbaine née à la fin du 19ème siècle, concernant les apparitions spectrales d’une communiante, « La Niña de Valparaíso », dans les ruines d’un village abandonné près de Peralada de la Mata (Estrémadure).
Pour son premier film en Espagne, Víctor García adopte une approche progressive : les amateurs de sursauts devront patienter jusqu’à la moitié de la narration pour que l’horreur envahisse l’écran. En effet, toute la première partie de The Communion Girl nous invite à faire connaissance avec les deux héroïnes, Sara (Carla Campra), la nouvelle venue, et Rebe (Aina Quiñones), en difficulté familiale, dans le contexte quotidien d’une ville espagnole des années 80. Le cinéaste attache beaucoup d’importance à la justesse psychologique de ses personnages, dont on partage les préoccupations, mais ce traitement s’exerce au détriment de l’angoisse sourde qui devrait générer la peur attendue. Il faudra donc attendre le dernier tiers du film pour que la mise en scène bascule dans les scènes gore avec des coups de théâtre à répétition selon une logique banale peu convaincante.
Dommage, car la réalisation est raffinée, la technique sans reproche, les jeunes interprètes crédibles et l’évocation de la vie des adolescents dans l’Espagne des années 80 bien documentée et plutôt satisfaisante. The Communion Girl est un film bancal qui réussit parfaitement en tant que film d’atmosphère, mais qui peine dans l’horreur frontale. Cette histoire de poupée maléfique et de spectre insatisfait manque trop d’originalité pour surprendre, mais sa facture soignée en fait un divertissement très convenable et distrayant.
Pour son premier film en Espagne, Víctor García adopte une approche progressive : les amateurs de sursauts devront patienter jusqu’à la moitié de la narration pour que l’horreur envahisse l’écran. En effet, toute la première partie de The Communion Girl nous invite à faire connaissance avec les deux héroïnes, Sara (Carla Campra), la nouvelle venue, et Rebe (Aina Quiñones), en difficulté familiale, dans le contexte quotidien d’une ville espagnole des années 80. Le cinéaste attache beaucoup d’importance à la justesse psychologique de ses personnages, dont on partage les préoccupations, mais ce traitement s’exerce au détriment de l’angoisse sourde qui devrait générer la peur attendue. Il faudra donc attendre le dernier tiers du film pour que la mise en scène bascule dans les scènes gore avec des coups de théâtre à répétition selon une logique banale peu convaincante.
Dommage, car la réalisation est raffinée, la technique sans reproche, les jeunes interprètes crédibles et l’évocation de la vie des adolescents dans l’Espagne des années 80 bien documentée et plutôt satisfaisante. The Communion Girl est un film bancal qui réussit parfaitement en tant que film d’atmosphère, mais qui peine dans l’horreur frontale. Cette histoire de poupée maléfique et de spectre insatisfait manque trop d’originalité pour surprendre, mais sa facture soignée en fait un divertissement très convenable et distrayant.
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