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FaRem
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2,0
Publiée le 1 mai 2023
"Assassin Club" ou l'histoire de tueurs à gages qui s'entretuent. Morgan veut se ranger pour mener une vie paisible avec sa copine Sophie, mais ses plans sont perturbés par d'autres assassins qui sont engagés pour le tuer. Ils sont tous impliqués volontairement ou à leur insu dans une sorte de championnat pour tueurs à gages avec un pactole à la clé. Sur le papier, c'est plutôt alléchant pour un film d'action, mais le résultat laisse vraiment à désirer. Si Camille Delamarre fait de son mieux en proposant des scènes d'action plutôt correctes et bien exécutées même s'il y a un manque de rythme, de tension et qu'elles sont un peu trop dispersées, il ne peut pas faire de miracle avec un scénario aussi médiocre. Une histoire à dormir debout et décousue avec des incohérences à la pelle. Cela ne donne juste pas envie de s'impliquer. Les acteurs ne semblent pas l'être non plus tant le jeu de certains laisse à désirer. Même si l'on ne vient pas pour le scénario, "Assassin Club" est trop peu inspiré et a beaucoup trop de défauts pour être apprécié.
Un thriller au scénario rebattu, où tout est lourdingue et fait de grosses ficelles. Sur une réalisation tapageuse, une série b poussive et vite oubliée.
Henry Golding continue de monter doucement mais surement. Il va devenir grand c'est certain. Mais ceci ne va pas se faire avec Assassin Club, sorte de John Wick au rabais, malgré l'excellente Noomi Rapace. Le jeu des acteurs n'est pas la cause de ce nanard, mais plutôt le scénario et la photo du film. Passez votre chemin.
Le pitch de départ est intéressant, le casting aussi, la réalisation et le scénario sont catastrophiques. On se retrouve avec des scènes d'actions ,et notamment de combats, totalement surcutées et donc incompréhensibles. Les réactions des personnages sont ridicules et pour des tueurs expérimentés, on se demande où ils on été formés. On se retrouve en face d'un film qui avait pas mal d'atouts dans sa manche mais qui au final fait pchittt. En DTV, et encore.
Un casting hétéroclite où Noomi Rapace et Sam Neill s'échouent dans de la série Z, sous la direction d'un Camille Delamarre fraîchement en reconversion d'une industrie Besson en dégringolade. Le pitch n'est pas énorme. 6 contrats, 6 tueurs, bien moins que ce que ne faisait déjà Albert Pyun en 97. Un montage saccadé, des exécutions sans intérêt. Pas folichon et surtout, pour dire, pas indispensable. Un film discret qui mériterait une jaquette tout aussi discrète pour couvrir la VHS poussiéreuse au fond du vidéo club de notre enfance.
« Assassin Club » promettait une intrigue palpitante avec des tueurs à gages se livrant à une compétition mortelle, mais le résultat est décevant. Malgré des scènes d'action correctes, le film souffre d'un scénario médiocre et décousu, parsemé d'incohérences. Les acteurs, bien que talentueux (Noomi Rapace, Sam Neill), semblent peu investis dans leurs rôles. La réalisation tapageuse et le montage saccadé contribuent à rendre l'ensemble peu engageant. Le plan final suggère une possible suite, est-ce bien nécessaire ? WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Ouf, le film est fini. Je suis épuisé... clchés, caméras secouée, musique bruyante omniprésente, invraisemblances en cascades. A regarder entre attardés mentaux.
Très bien. on comprend assez vite l'enjeu mais les poursuites, combats et rebondissements sont excellents. On voyage pas mal mais malheureusement, on voit plus de garages délabrés que de jolis paysages. Mais je ne vous dis pas la fin....