Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Pas vraiment un documentaire, pas vraiment une fiction, Ailleurs Partout réécrit l’expérience sonore et visuelle d’un exilé iranien. Un film stupéfiant de beauté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Les images et les mots d’Isabelle Ingold et Vivianne Perelmuter, le riche et troublant univers sonore qui les accompagne, ont évoqué en nous la poésie de Duras et de Lynch autant qu’ils nous ont rappelé la sordide actualité de ces derniers jours dans le Channel. En cette fin 2021, Ailleurs, partout… comme un film phare.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Fuyant le trop-plein et le parcours balisé, Isabelle Ingold et Vivianne Perelmuter répondent de la plus belle des manières à la question que se pose tout cinéaste : comment montrer l'indiscernable ?
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
Plus qu’un documentaire, Ailleurs, partout est un essai poétique sur les migrants, élaboré à l’aide d’images de vidéosurveillance, et qui par son dispositif nous replace dans la situation de perte d’identité et de repères qu’affrontent quotidiennement ceux-ci.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Isabelle Ingold et Vivianne Perelmuter filment le parcours de Shahin de son Iran natal jusqu’au Royaume-Uni dans un documentaire poignant qui emprunte une mosaïque de formes et de textures.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yannick Lemarié
Ailleurs, partout n’est pas un film militant. C’est une œuvre unique qui forme le territoire sensible d’une humanité en partage.
Télérama
par François Ekchajzer
De la Grèce, où les autrices de ce documentaire l’ont rencontré, à l’Angleterre où elles l’ont retrouvé reclus, désenchanté, se fait jour un parcours que le film donne à saisir à travers un usage immersif des images et des sons.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Ingold et Perelmuter optent pour une solution à la fois prudente et ambitieuse : plutôt que représenter, chercher à évoquer une situation dans laquelle le monde se rend aussi visible qu’inhabitable – l’image ici se donne toujours comme une surface dans laquelle il est difficile de se projeter.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
La caméra ne fait qu’un avec l’œil du sujet tout en créant un effet de dissolution. Le dispositif rappelle celui du récent Il n’y aura plus de nuit d’Éléonore Weber et produit une déréalisation du monde qui nous plonge dans un état proche de l’hypnose.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Déstabilisant de prime abord, abscons parfois, Ailleurs partout finit par se révéler assez envoûtant, notamment par la texture de ses images et cette idée force de montrer que l’histoire de ces migrants n’est pas aussi visible qu’on le croit. Quand expérimental rime avec sociétal.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
Pas vraiment un documentaire, pas vraiment une fiction, Ailleurs Partout réécrit l’expérience sonore et visuelle d’un exilé iranien. Un film stupéfiant de beauté.
Culturopoing.com
Les images et les mots d’Isabelle Ingold et Vivianne Perelmuter, le riche et troublant univers sonore qui les accompagne, ont évoqué en nous la poésie de Duras et de Lynch autant qu’ils nous ont rappelé la sordide actualité de ces derniers jours dans le Channel. En cette fin 2021, Ailleurs, partout… comme un film phare.
Le Monde
Fuyant le trop-plein et le parcours balisé, Isabelle Ingold et Vivianne Perelmuter répondent de la plus belle des manières à la question que se pose tout cinéaste : comment montrer l'indiscernable ?
Les Fiches du Cinéma
Plus qu’un documentaire, Ailleurs, partout est un essai poétique sur les migrants, élaboré à l’aide d’images de vidéosurveillance, et qui par son dispositif nous replace dans la situation de perte d’identité et de repères qu’affrontent quotidiennement ceux-ci.
Libération
Isabelle Ingold et Vivianne Perelmuter filment le parcours de Shahin de son Iran natal jusqu’au Royaume-Uni dans un documentaire poignant qui emprunte une mosaïque de formes et de textures.
Positif
Ailleurs, partout n’est pas un film militant. C’est une œuvre unique qui forme le territoire sensible d’une humanité en partage.
Télérama
De la Grèce, où les autrices de ce documentaire l’ont rencontré, à l’Angleterre où elles l’ont retrouvé reclus, désenchanté, se fait jour un parcours que le film donne à saisir à travers un usage immersif des images et des sons.
Cahiers du Cinéma
Ingold et Perelmuter optent pour une solution à la fois prudente et ambitieuse : plutôt que représenter, chercher à évoquer une situation dans laquelle le monde se rend aussi visible qu’inhabitable – l’image ici se donne toujours comme une surface dans laquelle il est difficile de se projeter.
Les Inrockuptibles
La caméra ne fait qu’un avec l’œil du sujet tout en créant un effet de dissolution. Le dispositif rappelle celui du récent Il n’y aura plus de nuit d’Éléonore Weber et produit une déréalisation du monde qui nous plonge dans un état proche de l’hypnose.
Première
Déstabilisant de prime abord, abscons parfois, Ailleurs partout finit par se révéler assez envoûtant, notamment par la texture de ses images et cette idée force de montrer que l’histoire de ces migrants n’est pas aussi visible qu’on le croit. Quand expérimental rime avec sociétal.