Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce film de Dario Albertini – pour lequel le cinéaste s’appuie sur sa formation de documentariste – fleure bon l’esprit brouillon et marginal des années 1970.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par X. L.
Un film poignant signé par un cinéaste italien très prometteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un drame juste et plein d’une infinie tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Anima Bella s’évade du récit sur l’addiction et son écriture quelque peu programmatique pour épouser un tableau plus impressionniste, à mi-chemin entre le récit initiatique et la chronique néoréalisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Beau portrait d'une combattante rayonnante.
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Le petit miracle est que ce ressourcement néoréaliste échappe à la béatitude des clichés sulpiciens sans pour autant se départir d’humour [...] ni jouer de l’ironie facile. La sobriété souvent mutique de la débutante Madalina Maria Jekal est pour beaucoup dans la réussite de ce drame familial.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Porté par une magnifique interprète, Anima Bella trace l’émouvant portrait d’une petite héroïne du quotidien tout en dessinant la carte d’une région d’Italie, le Latium, campagne hors du temps grignotée par de vilaines constructions industrielles, symboles d’une folle spéculation immobilière.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thomas Baurez
Il y a quelque chose d’intrigant dans ce mélange de pureté et de brutalité. La grâce de l’héroïne l’érige en sainte. Discrète, elle ne cherche pas pour autant une lumière divine. La mise en scène se met au diapason. Tout ça tient du miracle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Hélène Marzolf
Avec son image au grain épais, son atmosphère légèrement teintée d’onirisme, cette chronique aborde avec délicatesse les questions de la responsabilité, du poids de la famille et d’une possible émancipation, suggérée par une belle échappée nocturne à vélo.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Son actrice est lumineuse, la manière, appliquée, mais l’ensemble, aussi délicat soit-il, se révèle trop linéaire et un brin ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
L'Humanité
Ce film de Dario Albertini – pour lequel le cinéaste s’appuie sur sa formation de documentariste – fleure bon l’esprit brouillon et marginal des années 1970.
L'Obs
Un film poignant signé par un cinéaste italien très prometteur.
Les Fiches du Cinéma
Un drame juste et plein d’une infinie tendresse.
Les Inrockuptibles
Anima Bella s’évade du récit sur l’addiction et son écriture quelque peu programmatique pour épouser un tableau plus impressionniste, à mi-chemin entre le récit initiatique et la chronique néoréalisme.
Ouest France
Beau portrait d'une combattante rayonnante.
Cahiers du Cinéma
Le petit miracle est que ce ressourcement néoréaliste échappe à la béatitude des clichés sulpiciens sans pour autant se départir d’humour [...] ni jouer de l’ironie facile. La sobriété souvent mutique de la débutante Madalina Maria Jekal est pour beaucoup dans la réussite de ce drame familial.
Le Monde
Porté par une magnifique interprète, Anima Bella trace l’émouvant portrait d’une petite héroïne du quotidien tout en dessinant la carte d’une région d’Italie, le Latium, campagne hors du temps grignotée par de vilaines constructions industrielles, symboles d’une folle spéculation immobilière.
Première
Il y a quelque chose d’intrigant dans ce mélange de pureté et de brutalité. La grâce de l’héroïne l’érige en sainte. Discrète, elle ne cherche pas pour autant une lumière divine. La mise en scène se met au diapason. Tout ça tient du miracle.
Télérama
Avec son image au grain épais, son atmosphère légèrement teintée d’onirisme, cette chronique aborde avec délicatesse les questions de la responsabilité, du poids de la famille et d’une possible émancipation, suggérée par une belle échappée nocturne à vélo.
Le Journal du Dimanche
Son actrice est lumineuse, la manière, appliquée, mais l’ensemble, aussi délicat soit-il, se révèle trop linéaire et un brin ennuyeux.