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Jeepy
1 abonné
5 critiques
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5,0
Publiée le 2 octobre 2022
Même si le film ne retrace pas exactement la BD, ces grands acteurs ont bien su mettre en valeur le côté humaniste et émouvant de ces personnages. A voir. Superbe.
J'ai trouvé ce film excellent parce qu'il m'a fait rire et pleurer sur des sujets sensibles, tout simplement. sans prétentions, mais efficacement. Un bon moment passé cinéma avec des acteurs tous très bons. ,
Trop de clichés sur les habitants de campagne et les étrangers mal accueilli c'est honteux !!!!!!!! Je sais même pas comment un film comme ça peut-être accepté dans les cinémas !
LES VIEUX FOURNEAUX 2 (2022): Cette impression de regarder un spectacle de marionettes. Des gags potaches où tout le monde s'agite afin de se rendre intéressant. Pierre Richard, Eddy Mitchell, Bernard le Coq, loin d'être fainéants, essaieront d'apporter l'énergie nécessaire à ce fait de société, les sans-papiers. Mais voyons la réalité en face, cette bande de trois que j'apprécie beaucoup n'a plus 20 ans (comme la grande majorité des figurants). Une dynamique bien fatiguée par des jeux d'acteurs poussifs dont l'humour deviendra aussi lourd que cette image de tarte à la crème que l'on reçoit en pleine figure et si souvent répétée (ici du fumier). Bref! Pour être gentille, je vais conclure en disant tout simplement que cette comédie est destinée à un très jeune public.
Une comédie ratée et ennuyeuse qui aurait mieux fait de soigner son scénario et ses dialogues plutôt que de tenir un propos aussi simpliste que moralisateur. La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2022/09/les-vieux-fourneaux-2-bons-pour-lasile.html
Plutôt agréable dans l'ensemble, c'est dommage que le message sur les migrants soit trop présent & imposant : cela gâche l'ambiance plutôt "bon enfant" de ce second volet. A noter quand même la présence de Jean Sarrus (les Charlots), bonne surprise dans ce film de "vieux fourneaux".
Le premier film aurait suffit. Bien sûr il y a de l'émotion, mais trop de sujets sont abordés en même temps celui de la fin du monde rural, les migrants en détresse... L'acteur qui joue le maire est excellent on comprend bien la difficulté qui existe à faire vivre ces territoires de plus en plus désert. Question : sur le piano on voit clairement une étiquette : FranchReich,y a-t-il eu une scène coupée sur l'origine de ce piano arrivé pendant la guerre chez Berthe ?
Tout comme la BD , il faut arrêter ..Les scénarios deviennent du grand n'importe quoi, ce n'est que simplisme ,naïveté et caricature. Le cinéma français ne sortira pas de la crise avec de tels films. SOS cinéma en danger!
On retrouve dans cette suite la même intention, louable, d’ouvrir le divertissement grand public aux problèmes politiques du temps présent – les trois retraités en colère prennent cette fois-ci fait et cause pour des migrants sans papiers qu’ils hébergent dans leur campagne natale du Gers. Mais les défauts du premier volet sont, eux aussi, de retour : des dialogues lourdement explicatifs, un temps comique souvent laborieux et lourd. Associé a une réalisation paresseuse et des acteurs un peu trop en mode touristique... Avec cette conséquence déjà ressentie il y a quatre ans, et pour le moins fâcheuse pour une comédie revendiquée : le film est plus convaincant dans la mélancolie et dans l’émotion que dans l’humour même si il tente le coup quand même... On comprend son échec en salle... Déçu mais pas surpris étonnament... De la bonne réalisation de chez nous...lol
Ce n’est pas moi qui le dis, c’est le sous titre même du film de Christophe Duthuron qui a remis le couvert après la 1ère adaptation de la savoureuse BD de Lupano et Cauuet. Honnêtement, je m’attendais au pire. 97 minutes après, je me dis pourquoi pas, si on n’a rien de mieux à faire, sur un malentendu… Pour venir en aide à des migrants qu’il cachait à Paris, Pierrot les conduit dans le Sud-Ouest chez Antoine qui lui-même accueille déjà Mimile, en pleine reconquête amoureuse de Berthe. S’attendant à trouver à la campagne calme et volupté, les six réfugiés goûteront surtout à la légendaire hospitalité d’un village français. L’occasion rêvée de secouer les peurs et les préjugés pour Sophie et nos trois Vieux Fourneaux, promus consultants inattendus d'une campagne électorale que Larquebuse, le maire de Montcoeur n’est pas près d’oublier. Triple bof pour ce tout petit film qui garde cependant des côtés attachants. Les bons sentiments se ramassent à la pelle. Secouer – pas trop fort -, certaines consciences ne peut pas faire de mal. Pour cela, la joie de vivre exubérante et le capital sympathie du trio aident pour beaucoup à faire passer la pilule. C’est cousu de fil blanc – mais du balèze, modèle pêche au gros -, hautement improbable, un peu facile sur le pathos créé par les situations de nos migrants – qui restent malgré tout un des attraits et des atouts de cette comédie -, réalisé sans génie aucun, mais bon, on oublie parce qu’il y a les numéros de notre trio d’acteurs qui tiennent encore bon la rampe. Pierre Richard, fait du Pierre Richard… mais on adore. 88 ans ! Quelle pêche ! Eddy Mitchell, 80 ans et Bernard Le Coq, 71 ans, font figure de gamins, mais de gamins qui tiennent encore sacrément bien la route. Leur manière d’interpréter les dialogues – au demeurant plutôt savoureux -, fait partie des meilleurs moments du film. Coup de chapeau également à Myriam Boyer et Alice Pol, sans oublier les apparitions savoureuses de Claire Nadeau, 77 ans, qui a elle aussi toute sa place dans cet équipage bien loin d’être bon pour la retraite ou… l’asile. Bon, tout cela n’est pa très bon, mais on a tellement de mal à ne pas aimer ces acteurs-là !
On a failli ne pas y aller à cause des critiques acides. Or c’est un film bien sympa. Certes plein de bons sentiments. Mais les bons sentiments c’est toujours mieux que les mauvais. Et on rigole bien. En bref on en sort léger et ça fait du bien. Beau jeu d’acteurs qui semblent s’être éclatés