Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
La double onomatopée du titre prend toute sa cohérence lors de retrouvailles involontaires de deux manifestants interviewés guillerets, parlant politique, puis recroisés sonnés, blessés par des tirs de flash-ball.
Culturopoing.com
par Vincent Roussel
En s’inscrivant dans le mouvement de la lutte, le film parvient à saisir l’un des aspects les plus originaux du mouvement : son caractère horizontal, « impur » et apartisan.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Louise Moulin
Boum Boum surprend. C'est le film des grenades qui explosent au rythme d'un coeur qui bat à tout rompre, une ode à l'amour et au chaos de la vie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Nicolas Tellop
L'image nous plonge au coeur de la tempête publique, la voix off nous glisse sous la peau de Laurie et ce contraste intéressant, balançant entre fleur bleue et tragique social avec des élans d'humour salvateur, fait de ce moment de l'histoire récente, dont les représentations saturaient les esprits avant la pandémie, un expérience neuve.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
En filmant, au milieu des grenades et lacrymo, son idylle avec un Gilet jaune, Laurie Lasalle signe un documentaire amoureux et révolté qui embrase tout sur son passage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Boum Boum nous raconte son époque mieux que la plupart des reportages, et plus intensément que bien des bluettes – juste en montant les deux ensemble, de façon super abusée, c’est-à-dire hyperréaliste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Boum boum offre par ricochet un regard original sur le mouvement après le remarquable Un peuple d'Emmanuel Gras.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La douceur et la sensualité d’un amour naissant s’immiscent entre les revendications et les affrontements sur les pavés, sans jamais leur faire perdre de leur force, dans une alliance romantique de révolution et de passion.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Son parti pris émotionnel la démarque ainsi des approches sociologiques et politiques du beau documentaire Un peuple, d’Emmanuel Gras, ou de J’veux du soleil, du député « insoumis » François Ruffin et de Gilles Perret (2019). Il ouvre un vaste champ de réflexion qui commence par cette question : quel est le sentiment de l’émeute ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un documentaire qui privilégie la forme sans, hélas, creuser le fond.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Laurie Lassalle possède ce talent de savoir partager l’intime sans basculer dans l’exhibitionnisme. Et son Boum Boum devient un film sur l’engagement au double sens du terme, politique et amoureux, avec les mêmes certitudes et emballements qui se transforment si souvent en doutes et désillusions.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Juliette Warlop
L’autrice, se risquant à l’impudeur avec son récit amoureux, signe un film personnel et incarné, qui résonne plus qu’il ne raisonne, qui touche ou qui agace, mais qui l’emporte par sa sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
La double onomatopée du titre prend toute sa cohérence lors de retrouvailles involontaires de deux manifestants interviewés guillerets, parlant politique, puis recroisés sonnés, blessés par des tirs de flash-ball.
Culturopoing.com
En s’inscrivant dans le mouvement de la lutte, le film parvient à saisir l’un des aspects les plus originaux du mouvement : son caractère horizontal, « impur » et apartisan.
L'Humanité
Boum Boum surprend. C'est le film des grenades qui explosent au rythme d'un coeur qui bat à tout rompre, une ode à l'amour et au chaos de la vie.
La Septième Obsession
L'image nous plonge au coeur de la tempête publique, la voix off nous glisse sous la peau de Laurie et ce contraste intéressant, balançant entre fleur bleue et tragique social avec des élans d'humour salvateur, fait de ce moment de l'histoire récente, dont les représentations saturaient les esprits avant la pandémie, un expérience neuve.
Les Inrockuptibles
En filmant, au milieu des grenades et lacrymo, son idylle avec un Gilet jaune, Laurie Lasalle signe un documentaire amoureux et révolté qui embrase tout sur son passage.
Libération
Boum Boum nous raconte son époque mieux que la plupart des reportages, et plus intensément que bien des bluettes – juste en montant les deux ensemble, de façon super abusée, c’est-à-dire hyperréaliste.
Ouest France
Boum boum offre par ricochet un regard original sur le mouvement après le remarquable Un peuple d'Emmanuel Gras.
La Croix
La douceur et la sensualité d’un amour naissant s’immiscent entre les revendications et les affrontements sur les pavés, sans jamais leur faire perdre de leur force, dans une alliance romantique de révolution et de passion.
Le Monde
Son parti pris émotionnel la démarque ainsi des approches sociologiques et politiques du beau documentaire Un peuple, d’Emmanuel Gras, ou de J’veux du soleil, du député « insoumis » François Ruffin et de Gilles Perret (2019). Il ouvre un vaste champ de réflexion qui commence par cette question : quel est le sentiment de l’émeute ?
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire qui privilégie la forme sans, hélas, creuser le fond.
Première
Laurie Lassalle possède ce talent de savoir partager l’intime sans basculer dans l’exhibitionnisme. Et son Boum Boum devient un film sur l’engagement au double sens du terme, politique et amoureux, avec les mêmes certitudes et emballements qui se transforment si souvent en doutes et désillusions.
Télérama
L’autrice, se risquant à l’impudeur avec son récit amoureux, signe un film personnel et incarné, qui résonne plus qu’il ne raisonne, qui touche ou qui agace, mais qui l’emporte par sa sincérité.