Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
De cette enveloppe extrêmement ténue, la cinéaste mexicaine parvient à dégager toute l’ampleur de son sujet et tisser un tableau implacable mais tendre sur le passage à l’âge adulte.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une œuvre proprement saisissante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Le paradis des amours enfantines, ici, est proche de l’enfer, et infuse un film à la fois beau et terrible.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Loin de calquer son récit sur le dos aride du désert mexicain, Estación catorce fourmille de petites idées suffisamment stimulantes pour que l’on passe la tête par-delà les ébréchures de ce récit oedipien. Un film charmant, et une belle carte de visite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Marie Sauvion
Diana Cardozo sait filmer les paysages, géographiques et intimes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Ma. Mt.
La façon dont le film, déroulant la vieille scie de la perte d’innocence, enfonce toutes les portes ouvertes par le cinéma social depuis trente ans, aurait plutôt tendance à prouver le contraire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Estelle Aubin
Les multiples sujets abordés - la paternité, l’enfance, devenir adulte, sortir de ses illusions… - ne sont qu’effleurés. Et les plaines arides finissent par se refermer sur elles-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
De cette enveloppe extrêmement ténue, la cinéaste mexicaine parvient à dégager toute l’ampleur de son sujet et tisser un tableau implacable mais tendre sur le passage à l’âge adulte.
aVoir-aLire.com
Une œuvre proprement saisissante.
L'Obs
Le paradis des amours enfantines, ici, est proche de l’enfer, et infuse un film à la fois beau et terrible.
Les Fiches du Cinéma
Loin de calquer son récit sur le dos aride du désert mexicain, Estación catorce fourmille de petites idées suffisamment stimulantes pour que l’on passe la tête par-delà les ébréchures de ce récit oedipien. Un film charmant, et une belle carte de visite.
Télérama
Diana Cardozo sait filmer les paysages, géographiques et intimes.
Le Monde
La façon dont le film, déroulant la vieille scie de la perte d’innocence, enfonce toutes les portes ouvertes par le cinéma social depuis trente ans, aurait plutôt tendance à prouver le contraire.
Première
Les multiples sujets abordés - la paternité, l’enfance, devenir adulte, sortir de ses illusions… - ne sont qu’effleurés. Et les plaines arides finissent par se refermer sur elles-mêmes.