Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Un pied dans le théâtre, l’autre dans un cinéma mi-documentaire mi-heroic fantasy, Schmitz fabrique une œuvre hybride aussi malicieuse qu’envoûtante qui interroge le métier d’acteur·trice et les forces falsificatrices du monde de la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Onirique et décoiffant, le film de Claude Schmitz rêve les vies et les rôles d’une actrice-chevaleresse, des Cévennes à la scène d’un théâtre confiné.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Entre veille et sommeil, travail et relâche, routine et aventure, le film vadrouille joliment, donnant cette illusion très agréable de s’inventer sous nos yeux. S’il est question de fatigue, de fiasco, voire de dégoût, le jeu reste le roi. Ou plutôt la reine. Laquelle porte en bandoulière un large champ des possibles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Après Braquer Poitiers, Claude Schmitz continue avec Lucie perd son cheval à renouveler l’idée du film de vacances. Tel le massage prodigué par la grand-mère chez qui Lucie (Lucie Debay) séjourne en compagnie de sa jeune fille, tout le film pourrait bien consister à détendre la fiction afin de soulager ce personnage d’actrice d’avoir bientôt à incarner un rôle (...)
Le Monde
par Cl. F.
Adapté d’un spectacle qui avait dû s’interrompre pendant la deuxième pandémie, Lucie perd son cheval travaille la question de la panne : si le film peut (ou cherche à) désarçonner, c’est pour mieux sonder, avec sa formidable actrice (Lucie Debay), le vertige de la création.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Lucie perd son cheval serpente entre documentaire sur la création et fiction sur le grand sommeil confiné. Un objet hybride charmeur, qui peine toutefois à trouver sa place.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Critikat.com
par Robin Vaz
En se reposant trop sur le charme du cadre naturel et sur les lumières multicolores, le film ne parvient pas à donner leur pleine mesure à ses effets d’étrangeté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Thierry Chèze
Cette déambulation mentale séduit par l’effet de surprise qu’elle induit et l’humour qui la traverse. Mais un moyen métrage aurait été une durée plus appropriée pour éviter des redites et un sentiment de tirer à la ligne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
Un pied dans le théâtre, l’autre dans un cinéma mi-documentaire mi-heroic fantasy, Schmitz fabrique une œuvre hybride aussi malicieuse qu’envoûtante qui interroge le métier d’acteur·trice et les forces falsificatrices du monde de la fiction.
Libération
Onirique et décoiffant, le film de Claude Schmitz rêve les vies et les rôles d’une actrice-chevaleresse, des Cévennes à la scène d’un théâtre confiné.
Télérama
Entre veille et sommeil, travail et relâche, routine et aventure, le film vadrouille joliment, donnant cette illusion très agréable de s’inventer sous nos yeux. S’il est question de fatigue, de fiasco, voire de dégoût, le jeu reste le roi. Ou plutôt la reine. Laquelle porte en bandoulière un large champ des possibles.
Cahiers du Cinéma
Après Braquer Poitiers, Claude Schmitz continue avec Lucie perd son cheval à renouveler l’idée du film de vacances. Tel le massage prodigué par la grand-mère chez qui Lucie (Lucie Debay) séjourne en compagnie de sa jeune fille, tout le film pourrait bien consister à détendre la fiction afin de soulager ce personnage d’actrice d’avoir bientôt à incarner un rôle (...)
Le Monde
Adapté d’un spectacle qui avait dû s’interrompre pendant la deuxième pandémie, Lucie perd son cheval travaille la question de la panne : si le film peut (ou cherche à) désarçonner, c’est pour mieux sonder, avec sa formidable actrice (Lucie Debay), le vertige de la création.
Les Fiches du Cinéma
Lucie perd son cheval serpente entre documentaire sur la création et fiction sur le grand sommeil confiné. Un objet hybride charmeur, qui peine toutefois à trouver sa place.
Critikat.com
En se reposant trop sur le charme du cadre naturel et sur les lumières multicolores, le film ne parvient pas à donner leur pleine mesure à ses effets d’étrangeté.
Première
Cette déambulation mentale séduit par l’effet de surprise qu’elle induit et l’humour qui la traverse. Mais un moyen métrage aurait été une durée plus appropriée pour éviter des redites et un sentiment de tirer à la ligne.