Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Chris Nolan continue de mener le grand spectacle américain vers des territoires singuliers et expérimentaux, entre portrait intimiste et fresque politique. Du très grand cinéma.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Audrey Jeamart et Olivier Rossignot
Intime et désespéré, "Oppenheimer" est une tragédie humaine évoquant deux fissions, celle du noyau atomique et celle d’un individu [...] Toute la défaite du monde semble passer sur le regard de Cillian Murphy, toujours pris dans ce terrible dilemme de faire avancer la Science et l’humanité, et d’avoir dans un même temps trouvé le moyen de l’éteindre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Christopher Nolan défie la physique du cinéma avec Oppenheimer, œuvre sensorielle à la richesse obsédante et la beauté époustouflante.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un film puissant, détonnant.
GQ
par Adam Sanchez
Un impressionnant récit dédaléen où chaque moment, même les plus éloignés, entre en écho, s'interpénètre et tente de percer à jour le secret de ce physicien devenu la figure nébuleuse d'une humanité de plus en plus tentée par son autodestruction. Plus que la course contre-la-montre pour l'arme atomique engagée par l'Amérique contre l'Allemagne nazie, c'est le regard ambigu que Christopher Nolan porte sur Robert Oppenheimer qui passionne.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Ouest France
par Philippe Lemoine
Avec brio mais aussi rigueur et profondeur, Christopher Nolan raconte le destin de celui qui créa la première bombe atomique.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Pertinent sur le fond (une réflexion sur l’éthique scientifique, la culpabilité, l’ambivalence, la dissuasion... accompagne le récit) et brillant sur la forme (reconstitution stylée, mise en scène virtuose), "Oppenheimer" est une œuvre aussi ambitieuse qu’exigeante.
20 Minutes
par Caroline Vié
Plus linéaire que d’autres œuvres du réalisateur, Oppenheimer se révèle plus accessible en faisant vivre avec un génie redoutable comme si on était dans son cerveau.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Charlotte Marsal
Pendant trois heures sans aucun temps mort, [Nolan] relève haut la main le défi de mettre en scène la biographie « American Prometheus : The Triumph and Tragedy of J. Robert Oppenheimer », de Kai Bird et Martin J. Sherwin.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Christopher Nolan creuse avec brio les dilemmes éthiques irréconciliables et explosifs de Robert Oppenheimer (1904-1967), directeur scientifique du projet Manhattan mettant au point les premières bombes atomiques dans les laboratoires de Los Alamos, au Nouveau-Mexique.
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Une plongée fascinante dans la vie tourmentée du physicien américain Robert Oppenheimer (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le récit discontinu, morcelé, libère, comme la puissance brute d’une bombe humaine, une ignition des conflits intérieurs d’Oppenheimer, l’idéaliste dévasté.
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Oppenheimer est un film somme pour un Christopher Nolan en pleine exorcisation de ses obsessions. Un métrage gargantuesque dans tous les sens du terme qui représente peut-être le meilleur du réalisateur lorsqu'on se laisse porter par la puissance sonore et visuelle, mais dont le scénario manque d'un supplément d'âme.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par La Rédaction
Mais le cinéaste réussit surtout à dépeindre avec talent une histoire incroyable, la course à la bombe atomique, dont on connaît pourtant déjà la fin.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Le réalisateur de « Tenet » consacre un biopic détonant au père de la bombe atomique.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Christopher Nolan signe une réflexion sur la naissance d'une ère terrifiante, dans une fresque monumentale, épuisante et fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Comment représenter un homme aussi complexe que le père du projet Manhattan ? C’est par le biais d’une trame narrative virtuose et sinueuse que Christopher Nolan raconte Robert Oppenheimer et la folie d’un monde scientifique en proie à son hubris destructeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Il est évident que Christopher Nolan voit encore le cinéma comme une force inébranlable, apte à renverser les certitudes des spectateurs et à influencer la société dans son ensemble.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Voilà du grand cinéma exigeant, une nouvelle fois synthèse parfaite entre cinéma d’auteur et grand spectacle, un style devenu la patte d’un metteur en scène qui n’a pas fini de célébrer le cinéma avec un grand C.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
Retraçant la palpitante trajectoire du père de la bombe atomique, le maître des blockbusters réussit un biopic aussi subtil qu’incarné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un vrai coup de force cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ne voulant pas perdre le spectateur, Nolan s’oblige à être didactique pour expliquer les phénomènes de fusion et de fission à l’origine de la réaction nucléaire, dont le physicien fut un des maîtres d’œuvre. Ajouté au portrait psychologique peu avenant d’Oppenheimer, le risque de perdre le public n’est pas loin.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Une fois retombée la poussière de ses trois heures d’artillerie lourde hollywoodienne, reste au spectateur le sentiment d’un blockbuster en état instable, entre pénible et sublime.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Dans ce maelström audiovisuel, saturé de musique, le vertige vient des séquences posées (...). L’effet de contraste est voulu, certes, mais ne justifie pas les trois interminables heures que dure le film, tourné en pellicule et en Imax.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Christopher Nolan (« Dunkerque ») évoque le père de la bombe atomique dans un film-fleuve dense et aride, impressionnant dans la tension qu’il diffuse, mais noyé dans un torrent de dialogues.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C’est le temps que Nolan prend, en tout cas, pour répondre, brillamment comme à son habitude, mais avec ce goût de la conceptualité et de l’emphase qui fait que ses films n’échappent que rarement aux dangers du maniérisme. En ces temps d’infantilisation hollywoodienne, on hésiterait presque à s’en plaindre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Mais c’est précisément dans cette “prise de risque”, et ce qu’elle dit du rapport de Nolan au cinéma spectaculaire, qu’Oppenheimer fascine. Car l’enjeu est moins pour Nolan de s’adapter à un genre peu familier, que pour ledit genre de se conformer au cinéma nolanien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Passionnant, mais confus, semblant toujours hésiter entre le portrait critique et l’hagiographie, Oppenheimer, involontairement, est aussi paradoxal et contradictoire que son objet d’étude.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Thomas Baurez
Moins un biopic sur le "père de la bombe atomique", qu’une étude de cas sur un être insaisissable, Christopher Nolan va au bout de sa logique, jusqu’à l’usure.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Josué Morel
Les ornements d'Oppenheimer ne suffisent pas à masquer la balourdise de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Olivier Lamm
A chaque fois que la vitesse de défilement des scènes et des sauts temporels ralentit, ça saute aux yeux : Nolan complique, perturbe, contraint pour rien si ce n’est peinturlurer de vernis une histoire simpliste, ennuyeuse, idiote. Et si sa volonté est effectivement celle, naturaliste, d’embrasser la multitude de l’homme qu’il raconte, l’échec est cuisant puisque Oppenheimer ne nous en fait rien voir, nous trouble la vision, pour nous faire passer à côté de tout.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
Le cinéma de Christopher Nolan a une inclination pour [l]es films monumentaux qui se mordent la queue, se bouclent, se retournent comme un gant, imposent au temps une marche arrière [...] Biopic du maître d’œuvre de la première bombe atomique, Oppenheimer n’échappe pas à la règle, même s’il apparaît formellement plus sage que ses prédécesseurs.
CinemaTeaser
Chris Nolan continue de mener le grand spectacle américain vers des territoires singuliers et expérimentaux, entre portrait intimiste et fresque politique. Du très grand cinéma.
Culturopoing.com
Intime et désespéré, "Oppenheimer" est une tragédie humaine évoquant deux fissions, celle du noyau atomique et celle d’un individu [...] Toute la défaite du monde semble passer sur le regard de Cillian Murphy, toujours pris dans ce terrible dilemme de faire avancer la Science et l’humanité, et d’avoir dans un même temps trouvé le moyen de l’éteindre.
Ecran Large
Christopher Nolan défie la physique du cinéma avec Oppenheimer, œuvre sensorielle à la richesse obsédante et la beauté époustouflante.
Elle
Un film puissant, détonnant.
GQ
Un impressionnant récit dédaléen où chaque moment, même les plus éloignés, entre en écho, s'interpénètre et tente de percer à jour le secret de ce physicien devenu la figure nébuleuse d'une humanité de plus en plus tentée par son autodestruction. Plus que la course contre-la-montre pour l'arme atomique engagée par l'Amérique contre l'Allemagne nazie, c'est le regard ambigu que Christopher Nolan porte sur Robert Oppenheimer qui passionne.
Ouest France
Avec brio mais aussi rigueur et profondeur, Christopher Nolan raconte le destin de celui qui créa la première bombe atomique.
Télé 7 Jours
Pertinent sur le fond (une réflexion sur l’éthique scientifique, la culpabilité, l’ambivalence, la dissuasion... accompagne le récit) et brillant sur la forme (reconstitution stylée, mise en scène virtuose), "Oppenheimer" est une œuvre aussi ambitieuse qu’exigeante.
20 Minutes
Plus linéaire que d’autres œuvres du réalisateur, Oppenheimer se révèle plus accessible en faisant vivre avec un génie redoutable comme si on était dans son cerveau.
CNews
Pendant trois heures sans aucun temps mort, [Nolan] relève haut la main le défi de mettre en scène la biographie « American Prometheus : The Triumph and Tragedy of J. Robert Oppenheimer », de Kai Bird et Martin J. Sherwin.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Christopher Nolan creuse avec brio les dilemmes éthiques irréconciliables et explosifs de Robert Oppenheimer (1904-1967), directeur scientifique du projet Manhattan mettant au point les premières bombes atomiques dans les laboratoires de Los Alamos, au Nouveau-Mexique.
La Croix
Une plongée fascinante dans la vie tourmentée du physicien américain Robert Oppenheimer (...).
Le Dauphiné Libéré
Le récit discontinu, morcelé, libère, comme la puissance brute d’une bombe humaine, une ignition des conflits intérieurs d’Oppenheimer, l’idéaliste dévasté.
Le Journal du Geek
Oppenheimer est un film somme pour un Christopher Nolan en pleine exorcisation de ses obsessions. Un métrage gargantuesque dans tous les sens du terme qui représente peut-être le meilleur du réalisateur lorsqu'on se laisse porter par la puissance sonore et visuelle, mais dont le scénario manque d'un supplément d'âme.
Le Parisien
Mais le cinéaste réussit surtout à dépeindre avec talent une histoire incroyable, la course à la bombe atomique, dont on connaît pourtant déjà la fin.
Le Point
Le réalisateur de « Tenet » consacre un biopic détonant au père de la bombe atomique.
Les Echos
Christopher Nolan signe une réflexion sur la naissance d'une ère terrifiante, dans une fresque monumentale, épuisante et fascinante.
Les Fiches du Cinéma
Comment représenter un homme aussi complexe que le père du projet Manhattan ? C’est par le biais d’une trame narrative virtuose et sinueuse que Christopher Nolan raconte Robert Oppenheimer et la folie d’un monde scientifique en proie à son hubris destructeur.
Mad Movies
Il est évident que Christopher Nolan voit encore le cinéma comme une force inébranlable, apte à renverser les certitudes des spectateurs et à influencer la société dans son ensemble.
Paris Match
Voilà du grand cinéma exigeant, une nouvelle fois synthèse parfaite entre cinéma d’auteur et grand spectacle, un style devenu la patte d’un metteur en scène qui n’a pas fini de célébrer le cinéma avec un grand C.
Télérama
Retraçant la palpitante trajectoire du père de la bombe atomique, le maître des blockbusters réussit un biopic aussi subtil qu’incarné.
aVoir-aLire.com
Un vrai coup de force cinématographique.
Franceinfo Culture
Ne voulant pas perdre le spectateur, Nolan s’oblige à être didactique pour expliquer les phénomènes de fusion et de fission à l’origine de la réaction nucléaire, dont le physicien fut un des maîtres d’œuvre. Ajouté au portrait psychologique peu avenant d’Oppenheimer, le risque de perdre le public n’est pas loin.
L'Humanité
Une fois retombée la poussière de ses trois heures d’artillerie lourde hollywoodienne, reste au spectateur le sentiment d’un blockbuster en état instable, entre pénible et sublime.
L'Obs
Dans ce maelström audiovisuel, saturé de musique, le vertige vient des séquences posées (...). L’effet de contraste est voulu, certes, mais ne justifie pas les trois interminables heures que dure le film, tourné en pellicule et en Imax.
La Voix du Nord
Christopher Nolan (« Dunkerque ») évoque le père de la bombe atomique dans un film-fleuve dense et aride, impressionnant dans la tension qu’il diffuse, mais noyé dans un torrent de dialogues.
Le Monde
C’est le temps que Nolan prend, en tout cas, pour répondre, brillamment comme à son habitude, mais avec ce goût de la conceptualité et de l’emphase qui fait que ses films n’échappent que rarement aux dangers du maniérisme. En ces temps d’infantilisation hollywoodienne, on hésiterait presque à s’en plaindre.
Les Inrockuptibles
Mais c’est précisément dans cette “prise de risque”, et ce qu’elle dit du rapport de Nolan au cinéma spectaculaire, qu’Oppenheimer fascine. Car l’enjeu est moins pour Nolan de s’adapter à un genre peu familier, que pour ledit genre de se conformer au cinéma nolanien.
Marianne
Passionnant, mais confus, semblant toujours hésiter entre le portrait critique et l’hagiographie, Oppenheimer, involontairement, est aussi paradoxal et contradictoire que son objet d’étude.
Première
Moins un biopic sur le "père de la bombe atomique", qu’une étude de cas sur un être insaisissable, Christopher Nolan va au bout de sa logique, jusqu’à l’usure.
Critikat.com
Les ornements d'Oppenheimer ne suffisent pas à masquer la balourdise de sa mise en scène.
Libération
A chaque fois que la vitesse de défilement des scènes et des sauts temporels ralentit, ça saute aux yeux : Nolan complique, perturbe, contraint pour rien si ce n’est peinturlurer de vernis une histoire simpliste, ennuyeuse, idiote. Et si sa volonté est effectivement celle, naturaliste, d’embrasser la multitude de l’homme qu’il raconte, l’échec est cuisant puisque Oppenheimer ne nous en fait rien voir, nous trouble la vision, pour nous faire passer à côté de tout.
Cahiers du Cinéma
Le cinéma de Christopher Nolan a une inclination pour [l]es films monumentaux qui se mordent la queue, se bouclent, se retournent comme un gant, imposent au temps une marche arrière [...] Biopic du maître d’œuvre de la première bombe atomique, Oppenheimer n’échappe pas à la règle, même s’il apparaît formellement plus sage que ses prédécesseurs.