Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Entre flânerie prosaïque et luxuriance symboliste, Agustina San Martín cultive lesparadoxes dans cette histoire de métamorphose. Un premier film aussi fiévreux que charmant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Le film se place dans la constellation contemporaine de ces objets fuyants à tendance fantastique, films «sensationnalistes» mais de la sensation, qui mobilisent, peu à peu, le lointain du mythe ou de la légende dans la patience tropicale de leurs cadres, pour nous donner accès à certaines affections de l’âme et du corps.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Vincent Malausa
Le charme du film opère mystérieusement, en raison notamment de l'extraordinaire minutie avec laquelle se déploie la force d'envoûtement des lieux, des corps et des présences invisibles qui plongent le spectateur dans une sorte de jungle de visions oniriques.
Positif
par Jean-Philippe Domecq
La force du film, outre de montrer l’auto-initiation d’une femme, réside dans son climat de menace onirique et d’éveil intime où la suave sueur se mêle à la vapeur tropicale.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le cinéma brésilien impose des ambiances fantastiques intéressantes ces dernières années mais « To Kill The Beast » reste fragile.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Si To Kill the Beast est parfois trop conscient de lui-même, le premier long-métrage réalisé par Agustina San Martín propose malgré tout une poignée de séquences à l'atmosphère envoûtante, doublée d'une quête initiatique sensible et d'un éveil du désir fiévreux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une sorte de « Belle et la Bête » au scénario parfois distendu, qui, dans sa mise en scène abrasive à la sensualité étouffée, trouve ses inspirations dans « la Féline » de Jacques Tourneur et la « Pauline » d’Eric Rohmer. Des modèles tutélaires et bienveillants qui n’empêchent pas Agustina San Martín d’affirmer une belle personnalité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Bap.T.
Si son côté nébuleux peut dérouter, l’ambiance moite et brumeuse qu’instaure la réalisatrice envoute et on se laisse embarquer par l’adolescente dans ce dédale tropical et sensuel.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Une héroïne qui découvre la violence du monde des hommes en même temps qu’elle s’éveille à son attirance pour les femmes. Encore un peu fragile, ce conte renversé est tout de même une jolie promesse pour la suite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Ma. Mt.
Le mystère inhérent à ce type de récit s’en retrouve supplanté par la volonté de discours.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Prenant mais le récit est trop artificiellement étiré.
Première
par Sylvestre Picard
A l'arrivée, le propos se tient, le film fait sens, mais ce premier long-métrage d'une jeune réalisatrice argentine, Agustina San Martín, justement remarquée pour ses courts-métrages, donne plutôt l'impression d'un court un peu étiré.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
Entre flânerie prosaïque et luxuriance symboliste, Agustina San Martín cultive lesparadoxes dans cette histoire de métamorphose. Un premier film aussi fiévreux que charmant.
Libération
Le film se place dans la constellation contemporaine de ces objets fuyants à tendance fantastique, films «sensationnalistes» mais de la sensation, qui mobilisent, peu à peu, le lointain du mythe ou de la légende dans la patience tropicale de leurs cadres, pour nous donner accès à certaines affections de l’âme et du corps.
Mad Movies
Le charme du film opère mystérieusement, en raison notamment de l'extraordinaire minutie avec laquelle se déploie la force d'envoûtement des lieux, des corps et des présences invisibles qui plongent le spectateur dans une sorte de jungle de visions oniriques.
Positif
La force du film, outre de montrer l’auto-initiation d’une femme, réside dans son climat de menace onirique et d’éveil intime où la suave sueur se mêle à la vapeur tropicale.
CinemaTeaser
Le cinéma brésilien impose des ambiances fantastiques intéressantes ces dernières années mais « To Kill The Beast » reste fragile.
Ecran Large
Si To Kill the Beast est parfois trop conscient de lui-même, le premier long-métrage réalisé par Agustina San Martín propose malgré tout une poignée de séquences à l'atmosphère envoûtante, doublée d'une quête initiatique sensible et d'un éveil du désir fiévreux.
L'Obs
Une sorte de « Belle et la Bête » au scénario parfois distendu, qui, dans sa mise en scène abrasive à la sensualité étouffée, trouve ses inspirations dans « la Féline » de Jacques Tourneur et la « Pauline » d’Eric Rohmer. Des modèles tutélaires et bienveillants qui n’empêchent pas Agustina San Martín d’affirmer une belle personnalité.
Le Journal du Dimanche
Si son côté nébuleux peut dérouter, l’ambiance moite et brumeuse qu’instaure la réalisatrice envoute et on se laisse embarquer par l’adolescente dans ce dédale tropical et sensuel.
Les Inrockuptibles
Une héroïne qui découvre la violence du monde des hommes en même temps qu’elle s’éveille à son attirance pour les femmes. Encore un peu fragile, ce conte renversé est tout de même une jolie promesse pour la suite.
Le Monde
Le mystère inhérent à ce type de récit s’en retrouve supplanté par la volonté de discours.
Ouest France
Prenant mais le récit est trop artificiellement étiré.
Première
A l'arrivée, le propos se tient, le film fait sens, mais ce premier long-métrage d'une jeune réalisatrice argentine, Agustina San Martín, justement remarquée pour ses courts-métrages, donne plutôt l'impression d'un court un peu étiré.