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Cinéma Jean-Gabriel Périot rencontre des réalisateurs bosniaques trente ans après le siège de la ville et leur demande de commenter leurs films sur la guerre. De ces discussions naît un documentaire précieux sur les images du 7e art comme outils de la mémoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Durant le Siège de Sarajevo, des cinéastes continuèrent à filmer. Jean-Gabriel Périot exhume ces films et donne la parole à leurs auteurs dans ce documentaire riche et brillant, dont on partagera ou pas certains partis pris, mais qui remue et interroge.
Cependant, en dépit de la force de ce qui est narré, quelque chose manque, une frustration surgit, inhérente au dispositif systématique, et peut-être trop statique, que Jean-Gabriel Périot construit et auquel il ne déroge jamais.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Il en résulte une œuvre passionnante et temporellement vertigineuse, où les souvenirs de la guerre laissent place à une ville désormais apaisée dont les habitants n’apparaissent pas seulement comme des survivants mais comme des êtres s’étant fièrement réapproprié leur histoire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rivé au double point de vue de ses deux caméras, (…) Périot impose une fixité qui met en valeur la parole mais peine à explorer l’espace, à dévoiler la ville et la place qu’il y occupe avec son équipe.
L'Humanité
Cinéma Jean-Gabriel Périot rencontre des réalisateurs bosniaques trente ans après le siège de la ville et leur demande de commenter leurs films sur la guerre. De ces discussions naît un documentaire précieux sur les images du 7e art comme outils de la mémoire.
Le Monde
La force du film est sa grande originalité et sa rigueur documentaire.
Les Fiches du Cinéma
Durant le Siège de Sarajevo, des cinéastes continuèrent à filmer. Jean-Gabriel Périot exhume ces films et donne la parole à leurs auteurs dans ce documentaire riche et brillant, dont on partagera ou pas certains partis pris, mais qui remue et interroge.
Les Inrockuptibles
Devant la caméra de Jean-Gabriel Périot, une poignée de cinéastes se replonge dans les images qu’ils ont tournées de la ville assiégée. Vertigineux.
aVoir-aLire.com
Plus qu’un documentaire, une œuvre d’utilité publique en faveur de la mémoire du monde.
L'Obs
L’essai est pertinent mais plus théorique qu’émouvant.
Libération
Cependant, en dépit de la force de ce qui est narré, quelque chose manque, une frustration surgit, inhérente au dispositif systématique, et peut-être trop statique, que Jean-Gabriel Périot construit et auquel il ne déroge jamais.
Première
Il en résulte une œuvre passionnante et temporellement vertigineuse, où les souvenirs de la guerre laissent place à une ville désormais apaisée dont les habitants n’apparaissent pas seulement comme des survivants mais comme des êtres s’étant fièrement réapproprié leur histoire.
Télérama
Un film-mémoire, troublant, qui dresse immanquablement des passerelles avec la situation actuelle en Ukraine et à Gaza.
Cahiers du Cinéma
Rivé au double point de vue de ses deux caméras, (…) Périot impose une fixité qui met en valeur la parole mais peine à explorer l’espace, à dévoiler la ville et la place qu’il y occupe avec son équipe.
Critikat.com
Se souvenir d'une ville échoue, en raison de sa timidité formelle, à donner sa pleine mesure au passé traumatique de Sarajevo.