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FaRem
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2,5
Publiée le 21 juin 2023
Rebecca est une dominatrice et Hal est son client. Lorsqu'il décide de la voir une dernière fois, Rebecca n'est pas d'accord pour mettre un terme à leur relation... Entre eux, il n'y a rien de physique, Rebecca est là pour répondre à un "besoin mental" et c'est à ce niveau-là que les deux vont s'écharper pour résoudre leur désaccord. "Sanctuary" est une histoire de séduction et de jeux de pouvoir avec ces deux personnes qui essaient de prendre le dessus sur l'autre. Tous les coups sont permis, ou presque... Pour le coup, je m'attendais à quelque chose de plus tordu, et ce à tous les niveaux. Ce jeu du chat et de la souris dans un huis clos ressemble plus à une guerre psychologique qui est très souvent enfantine et idiote, ce qui fait que l'on ne croit jamais que ça pourrait aller plus loin que de simples mots... Heureusement qu'il y a la magnétique Margaret Qualley qui livre une performance remarquable, mais cela ne suffit pas à faire oublier un scénario répétitif et finalement frustrant.
Voici un long-métrage vraiment particulier et qui va en laisser plus d’un sur le carreau. Pas forcément parce qu’il se déroule en temps réel et dans une seule pièce mais surtout pour son scénario un tant soit peu tiré par les cheveux narrant des rapports de domination et de soumission entre un jeune héritier et une call girl de luxe. L’entame est plus qu’intrigante et le premier quart d’heure nous bluffe car on ne sait pas trop sur quel pied danser jusqu’à une mini révélation bien menée. Lorsque l’homme décide d’arrêter leurs sessions qui s’apparentent à du sadomasochisme psychologique, elle n’est pas d’accord et là commence un jeu malsain et de rapports de force entre les deux sexes. Et ce n’est clairement pas toujours très convaincant.
En effet, on a tout de même du mal à croire à la suite des événements dans ce huis-clos très théâtral. Les rapports des personnages semblent plausibles mais leur évolution devient de plus en plus étrange et peu probante. Quant au final, ou plutôt la résolution de leur conflit, elle apparaît encore plus improbable. Dans ces conditions, il est difficile d’adhérer à la progression dramatique du premier film de Zachary Wigon quand bien même il est peu commun et développe un sujet intéressant. Le tout est (forcément) très bavard et verbomoteur enchaînant dialogues pertinents et d’autres beaucoup moins captivants. On se demande d’ailleurs si le format court-métrage d’une trentaine de minutes n’aurait pas mieux convenu à ce script particulier.
Heureusement, on peut dire que la photographie faite de couleurs chaudes et la mise en scène tentent (un peu) d’innover et de nous délivrer quelques bonnes idées quand d’autres s’avèrent parfaitement inutiles (les plans où la caméra bascule par exemple). Mais la valeur ajoutée de ce « Sanctuary » est sans conteste son duo d’acteurs. Les très bons Margaret Qualley et Christopher Abott forment un beau duo, plus crédible que le film en lui-même. Ils y croient et parviendraient presque à rendre pertinent cette histoire à dormir debout. Et à noter que le sujet des rapports de domination et de soumission semble pris de travers plutôt que frontalement et que cela nous laisse un sentiment de frustration et un goût d’inachevé, même si la morale finale est équivoque et dans l’air du temps.
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Alors que dire de ce film de Zachary Wigon, Sanctuary est vraiment pas terrible, on s'ennuie, ce film psycho-masochiste, est tiré par les cheveux, les deux acteurs Margaret Qualley et Christopher Abbott sont vraiment pas au top non plus. Je me suis cruellement ennuyer. Dommage il y avait matière a faire je pense.
Huit clos improbable d une amante avec un riche héritier, un scénario qui ne tient pas debout ainsi qu une interprétation qui semble décalée donne un résultat absolument pas crédible...
Le pitch était prometteur : le futur héritier d'un grand groupe souhaite rompre avec sa maîtresse sadomasochiste. Sauf que l'ensemble se passe en huis clos sur quelques heures, et les deux protagonistes sont immatures, assez antipathiques, et surtout sans attraction aucune. Ils ne font que parler et se prendre la tête, sans que l'on croit une seconde à l'intrigue ou à ses conséquences. Frustrant (dans le mauvais sens) et rapidement ennuyeux. C'est dommage car il y avait matière à faire bien mieux.
Un futur héritier de l'entreprise de son père suit des séances de psychologie particulières. Le film très bien écrit et interprété se déroule dans un appartement avec 2 personnes. On est souvent étonné du déroulement de l'action. Un film original.
un synopsis prometteur mais le scénario est plat, c'est un vrai huit clos entre 2 acteurs dans 1 seule pièce, avec une intrigue qui disparaît très rapidement.