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    Master Gardener
    Note moyenne
    3,5
    28 titres de presse
    • CinemaTeaser
    • Transfuge
    • 20 Minutes
    • Culturopoing.com
    • Femme Actuelle
    • Franceinfo Culture
    • La Croix
    • La Septième Obsession
    • Le Figaro
    • Le Monde
    • Les Echos
    • Sud Ouest
    • Voici
    • aVoir-aLire.com
    • Critikat.com
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • Ecran Large
    • L'Obs
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Parisien
    • Les Fiches du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Marie Claire
    • Première
    • Rolling Stone
    • Cahiers du Cinéma
    • Libération
    • Télérama

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    28 critiques presse

    CinemaTeaser

    par Emmanuelle Spadacenta

    Ce Maser Gardener clôt la trilogie officieuse "Man in a room" d'une somptueuse manière.

    Transfuge

    par Corentin Destefanis Dupin

    On reconnaît bien là les semences préférées du cultivateur Schrader, dont le cinéma corrosif, toujours aussi sensible aux fleurs des maux américains, atteint ici des sommets de virtuosité toxique et érotique.

    20 Minutes

    par Caroline Vié

    Mais quel acteur ! Joel Edgerton s’impose en maître de son art entre Sigourney Weaver et Quintessa Swindell dans le polar Master Gardener de Paul Schrader (...).

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    Culturopoing.com

    par Enrique Seknadje

    "Master Gardener" est du pur Paul Schrader (...) nous avons été conquis par la toujours grandiose sobriété de la démarche et du travail filmique schraderiens et par l’intense retenue du trio d’acteurs Joël Edgerton, Sigourney Weaver et Quintessa Swindell.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Femme Actuelle

    par La Rédaction

    Au lieu des traditionnels décors urbains, ce thriller se joue dans un cadre bucolique, avec un style élégant et très maîtrisé. Il bénéficie aussi d'une interprétation de haut vol.

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    Paul Schrader peaufine son scénario et sa mise en scène. Tout en faisant appel à des archétypes, il n'est pas manichéen, mais interroge la dualité dans la rédemption.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    La Croix

    par Céline Rouden

    Le cinéaste n’hésite pas à manier les symboles, peut-être parfois à l’excès, mais ils font partie intégrante d’une mise en scène par ailleurs dépouillée à l’extrême, à l’image de ces intérieurs sans âme dans lesquels évoluent les personnages principaux.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    La Septième Obsession

    par David Ezan

    Dans "Master Gardener", où ce vieux cinéaste [Paul Schrader] qu’on dit bougon se départit bien de tout cynisme ; au point d’éclairer d’une lumière inattendue un film aux images pourtant sombres comme la nuit.

    Le Figaro

    par Eric Neuhoff

    Filmée en images d'une beauté tranquille, dans un calme qui est celui de l'eau qui dort, cette histoire de rédemption file droit vers son but, entre les asters vivaces et les roses grimpantes.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Monde

    par Mathieu Macheret

    La simplicité, ici, est essentielle : une poignée de personnages, quelques décors, les motifs élémentaires de rédemption que Paul Schrader remet inlassablement sur le métier, mais chaque choix de mise en scène compte, chaque geste, chaque coupe, chaque regard contribue à mener le drame à destination.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Echos

    par Adrien Gombeaud

    A travers le portrait d'un horticulteur taiseux, Paul Schrader signe un film à la beauté minérale et une réflexion sur le mal et la rédemption.

    La critique complète est disponible sur le site Les Echos

    Sud Ouest

    par Julien Rousset

    On retrouve la mise en scène ample et magnétique du cinéaste, son talent à décrire des hommes opaques, hantés par le secret et la honte. A défaut de nous surprendre, le maître Schrader cultive son jardin avec rigueur.

    Voici

    par La Rédaction

    Le rythme est hypnotique, l'ambiance poisseuse et l'étude de personnage absolument captivante.

    aVoir-aLire.com

    par Gérard Crespo

    Un film majeur de Paul Schrader, au scénario audacieux et faussement classique, et qui bénéficie du jeu inspiré de Joel Edgerton.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Critikat.com

    par Clément Colliaux

    Si les films de Schrader s’appuient régulièrement sur une série de motifs récurrents, le palimpseste vire ici à la formule.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par Nathalie Chifflet

    C’est la forme qui sied sans doute à la distance placide de ce jardinier revenu de la haine et de l’ultraviolence, à qui le brillant Joël Edgerton confère une insondable mélancolie.

    Ecran Large

    par Lino Cassinat

    Paul Schrader est toujours un auteur fertile, et son "Master Gardener" n'est pas sans intérêt, mais il s'agit cependant bien d'un raté. Pas un gros raté bon pour la poubelle ni un beau raté pour cinéphile averti, juste un raté tout court. Cela arrive même aux meilleurs.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    L'Obs

    par N. S.

    D’un style épuré qui jure avec ses flash-back sur-signifiants et ses accents satiriques ou oniriques, « Master Gardener » vaut moins pour la qualité de ses parties que pour cette manière douce et compassionnelle de combler le fossé séparant les rupins de la plèbe qui gangrène la société américaine.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Dauphiné Libéré

    par Nathalie Chifflet

    Même la rencontre amoureuse de ces deux êtres paumés laisse le récit froid, engoncé dans une forme de raideur, austère et sévère, sans être antipathique. C’est la forme qui sied sans doute à la distance placide de ce jardinier revenu de la haine et de l’ultraviolence, à qui le brillant Joël Edgerton confère une insondable mélancolie.

    Le Parisien

    par La Rédaction

    Les longs passages sur la passion horticole du héros s’avèrent un peu assommants, et ce jardin filmé d’un bout à l’autre dans la grisaille ne paraît pas aussi remarquable qu’il est supposé l’être. Restent une intrigue tendue autour du terrible passé de cet ex-militant raciste, et la prestation impeccable de la jeune Quintessa Swindell.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Fiches du Cinéma

    par Gaël Reyre

    Récit noir et tendu, le nouveau film de Paul Schrader brille par une élégante sobriété, une écriture efficace et une interprétation remarquable.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Les Inrockuptibles

    par Théo Ribeton

    Schrader récite ses gammes, en les poussant jusqu’à une certaine forme de déréalisation théorique. "Master Gardener" met moins en scène des personnages pleinement incarnés que des archétypes de son cinéma, fantômes de leurs homologues passés. Le film n’est pourtant pas froid : le Schrader dernière manière est habile à faire circuler dans ses plans (déjà dans "The Card Counter") une sensualité suprêmement féline et languide.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Marie Claire

    par Maroussia Dubreuil

    Un thriller épineux.

    Première

    par Thomas Baurez

    Ce Master Gardener, faussement programmatique, émeut surtout par son incarnation. L’australien Joel Edgerton, tout en fébrilité nerveuse, avance dans ce drame à la lueur d’une culpabilité sous-terraine. Fort.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Rolling Stone

    par Sophie Rosemont

    (...) Master Gardener permet à Schrader de rendre hommage à ses maîtres, Yasujirō Ozu et Robert Bresson en tête, travaillant la couleur et le mouvement avec une grâce qui, si elle peut se montrer (volontairement ?) pesante, laisse l’espoir éclairer les manifestations les plus sombres de l’humain.

    La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone

    Cahiers du Cinéma

    par Yal Sadat

    [...] en éludant sa cruauté d’antan au moyen de flash-back dévitalisés, presque inexistants, Schrader jette un voile pudique sur l’abjection du personnage pour ne laisser voir que ses élans rédempteurs ; le fascisme et l’éventuel plaisir puisé dans la brutalité paraissent magiquement estompés. Étonnante précaution de la part d’un auteur ayant souvent fustigé la façon dont l’infamie de ses antihéros de papier se voyait amoindrie lors du passage à l’écran, pour les changer en héros relatifs.

    Libération

    par Olivier Lamm

    Un film bancal mais attachant, qui semble s’égarer à dessein.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Télérama

    par Marie Sauvion

    Convenu et décevant.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama
    Les meilleurs films de tous les temps
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