Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
La Septième Obsession
par Véronique Bergen
Porté par des acteurs percutants (Paul Hamy, Françoise Lebrun, Suliane Brahim…), ce premier long-métrage novateur, sombre, prend aux tripes. A découvrir d’urgence.
La critique complète est disponible sur le site La Septième Obsession
Ouest France
par La Rédaction
Un thriller noir haletant.
Positif
par Yann Tobin
Du coup, on y croit, on se laisse embarquer. Ce n’est pas si courant.
Cahiers du Cinéma
par Mathilde Grasset
La réussite du film est d’entretenir sur la durée et à l’abri d’un lyrisme convenu des sentiments vacillants, à peine formés, attisés in extremis par les événements, et de laisser Jean et son couffin sur le seuil d’un amour plus franc.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Premier film de Gallien Guibert, Rien ni personne, s’il ne révolutionnera pas le genre de la série noire, prend assez de biais ce dernier pour transcender son origine policière et, ce faisant, pour intriguer.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Première
par Bastien Assié
Et parce qu’il ne dépasse pas une heure vingt, Rien ni personne ne s’étale jamais sur son scénario et ne garde que l’essentiel : une histoire efficace qui ne cherche pas être novatrice, une photographie vibrante et des personnages charismatiques. Une réussite instantanée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par C.B.
Si ce premier film, porté par des acteurs remarquables, n'est pas parfait, il a le mérite de tenir son cap dans les bas-fonds et la nuit du Havre.
aVoir-aLire.com
par Robin Berthelot
Un premier long métrage prometteur avec moins de fond que de forme certes. Mais quelle forme !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
C’est un premier film, donc indulgence. Mais ce polar dans lequel un petit dealer pète les plombs, s’empare du stock de came et s’enfuit avec son bébé dans les bras est victime d’un manque de moyens évident et d’une maladresse désolante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par M. Jo.
L’énergie noire du film se trouve finalement prisonnière d’une mise en scène qui se contente d’illustrer platement un scénario fonçant vers le prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Le premier film de Gallien Guibert joue la carte du film noir, tourmenté et violent. Si les premières pulsations s’annoncent prometteuses, la suite, maladroite, s’enlise dans les facilités.
Libération
par Camille Nevers
Mais le costume est trop grand pour la mise en scène falote de Gallien Guibert. Les cadres ne sont pas acérés mais balourds ou incertains, la misogynie sans doute involontaire (c’est le genre qui voudrait ça ?) n’aide pas. La morale de l’histoire, c’est qu’il n’y a que les femmes qui savent faire un biberon.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Les lois du polar le plus banal plombent ce questionnement sur la paternité et la maturité, qui pâtit des artifices de la cavale et ne trouve pas vraiment de substance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Septième Obsession
Porté par des acteurs percutants (Paul Hamy, Françoise Lebrun, Suliane Brahim…), ce premier long-métrage novateur, sombre, prend aux tripes. A découvrir d’urgence.
Ouest France
Un thriller noir haletant.
Positif
Du coup, on y croit, on se laisse embarquer. Ce n’est pas si courant.
Cahiers du Cinéma
La réussite du film est d’entretenir sur la durée et à l’abri d’un lyrisme convenu des sentiments vacillants, à peine formés, attisés in extremis par les événements, et de laisser Jean et son couffin sur le seuil d’un amour plus franc.
Culturopoing.com
Premier film de Gallien Guibert, Rien ni personne, s’il ne révolutionnera pas le genre de la série noire, prend assez de biais ce dernier pour transcender son origine policière et, ce faisant, pour intriguer.
Première
Et parce qu’il ne dépasse pas une heure vingt, Rien ni personne ne s’étale jamais sur son scénario et ne garde que l’essentiel : une histoire efficace qui ne cherche pas être novatrice, une photographie vibrante et des personnages charismatiques. Une réussite instantanée.
Télé Loisirs
Si ce premier film, porté par des acteurs remarquables, n'est pas parfait, il a le mérite de tenir son cap dans les bas-fonds et la nuit du Havre.
aVoir-aLire.com
Un premier long métrage prometteur avec moins de fond que de forme certes. Mais quelle forme !
L'Obs
C’est un premier film, donc indulgence. Mais ce polar dans lequel un petit dealer pète les plombs, s’empare du stock de came et s’enfuit avec son bébé dans les bras est victime d’un manque de moyens évident et d’une maladresse désolante.
Le Monde
L’énergie noire du film se trouve finalement prisonnière d’une mise en scène qui se contente d’illustrer platement un scénario fonçant vers le prévisible.
Les Fiches du Cinéma
Le premier film de Gallien Guibert joue la carte du film noir, tourmenté et violent. Si les premières pulsations s’annoncent prometteuses, la suite, maladroite, s’enlise dans les facilités.
Libération
Mais le costume est trop grand pour la mise en scène falote de Gallien Guibert. Les cadres ne sont pas acérés mais balourds ou incertains, la misogynie sans doute involontaire (c’est le genre qui voudrait ça ?) n’aide pas. La morale de l’histoire, c’est qu’il n’y a que les femmes qui savent faire un biberon.
Télérama
Les lois du polar le plus banal plombent ce questionnement sur la paternité et la maturité, qui pâtit des artifices de la cavale et ne trouve pas vraiment de substance.