Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Le Parisien
par Marie Poussel
La nouvelle comédie américaine de la plate-forme, emmenée par les comiques Jonah Hill et Eddie Murphy, aurait pu être un petit bijou du genre. Dommage qu’elle perde son rythme après un début attrayant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thierry Cheze
Même si on reste sur sa faim, la première heure de You people mérite vraiment à elle seule le visionnage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Axelle Vacher
Au final, You People n'est qu'une triste collection de clichés ethniques, manifestement moins soucieux de faire rire que de susciter le malaise.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
À trop s’étirer, le film perd de sa saveur.
Télérama
par Joseph Boinay
On se prend à regretter la rage d’un Spike Lee, qui savait parler avec raffinement des joies et des peines du douloureux métissage américain. Surtout, on aurait voulu continuer à rire avec autant d’entrain que pendant l’excellente première partie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
La nouvelle comédie américaine de la plate-forme, emmenée par les comiques Jonah Hill et Eddie Murphy, aurait pu être un petit bijou du genre. Dommage qu’elle perde son rythme après un début attrayant.
Première
Même si on reste sur sa faim, la première heure de You people mérite vraiment à elle seule le visionnage.
Ecran Large
Au final, You People n'est qu'une triste collection de clichés ethniques, manifestement moins soucieux de faire rire que de susciter le malaise.
Télé 7 Jours
À trop s’étirer, le film perd de sa saveur.
Télérama
On se prend à regretter la rage d’un Spike Lee, qui savait parler avec raffinement des joies et des peines du douloureux métissage américain. Surtout, on aurait voulu continuer à rire avec autant d’entrain que pendant l’excellente première partie.