Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Penny
4 abonnés
17 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 7 octobre 2022
Et bien c'est une bonne surprise, j'en ai presque oublié que c'est un film Marvel donc bien joué. Le rendu en noir et blanc fait vraiment le taff, les acteurs au top et enfin de l'originalité. Donc c'est validé 👍
Cette production du mcu a le mérite d être original et de tenter quelque chose de différent. Mais c est tout. Les 45 minutes de ce film ne sont guère passionnantes, les personnages inintéressants au possible, et le rythme mou malgré le format très court du film... Bref en point positif c est gore, le style vieux film d horreur fait son effet... Et puis basta... Encore une fois je n arrive pas à voir où va le mcu...
Format efficace bien qu'on ne sente pas de ferveur à s'épanouir dans le temps. Sujet léger indiscutablement, avec une bande de chasseurs de monstres réunis pour élire celui qui optiendra la pierre anti-monstre. Une vive adhésion côté fantastique et pour cet univers différencié côté Marvel bien qu'il n'en porterait pas l'étiquette que ça ne surprendrait plus. Un style rétro qui ne se distingue pas des récits Universal mais vient l'alimenter. Donc si vous regrettez La Ligue Des Gentlemen, Werewolf vous séduira.
Ce projet fait totalement figure d’anomalie chez Marvel et préfigure probablement l’arrivée d’un nouveau groupe de personnages issus de l’univers des monstres (qui pourtant appartiennent à Universal et non à Disney). A moins que ce ne soit qu’un projet déconnecté du reste, à la faveur d’Halloween, mais connaissant la Maison des idées et son besoin de tout connecter cela semble de toute évidence peu probable. En tout état de cause nous voilà à une époque passée, incertaine et révolue qui ressemble aux années 50 lors d’une réunion de chasseurs de monstres pour une traque organisée de manière à succéder au plus célèbre d’entre eux. L’argument tient sur un timbre-poste et avec la durée extrêmement courte de « Werewolf by night » il était de toute façon bien compliqué de développer davantage cette trame et les personnages présents ici. Et c’est d’ailleurs le gros point faible en forme d’incompréhension pour ce film : pourquoi dure-t-il à peine une heure? Ce n’est pas un pilote de série ni un moyen-métrage et il aurait pu être tellement plus que cette simple récréation avec une durée double. Des protagonistes plus creusés, un scénario moins simpliste et linéaire et surtout un univers qui semblait tellement bourré de potentiel et plein de possibles qui aurait gagné à être bien plus étendu et riche. C’est presque frustrant surtout qu’on ne voit aucune raison à ce choix étrange si ce n’est la paresse ou vouloir faire original. Un début de réponse se trouve dans la durée très courte également des films d’antan auquel celui-ci fait hommage mais à ce point...
En revanche pour ce qui est de la forme, c’est beau à se damner, c’est le cas de le dire. Le compositeur Michael Giacchino, pour son premier film, a su capter toute l’essence de ces œuvres de monstres d’antan (ceux de la Hammer ou même de manière plus ancienne de l’illustre « Nosferatu » de Murnau) et la faire revivre grâce aux techniques d’aujourd’hui de la plus admirable des manières. Le grain épais de l’image, la pellicule abîmée ou encore les effets spéciaux et maquillages à l’ancienne sont ici impeccablement restitués dans un hommage sincère et probant à tout ce pan du cinéma fantastique d’antan. Il n’y a qu’à voir la transformation du loup-garou, tout en sublime jeu d’ombres, pour s’en convaincre. Alors oui, on est probablement plus proche d’un exercice de style voire d’un entraînement ou d’une préparation à quelque chose, ce qui est très dommage, mais c’est visuellement très abouti et l’hommage et l’amour sincère à tout un pan de ce cinéma disparu est vraiment bien foutu.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Techniquement, Werewolf by Night ne marque pas les premiers pas de Michael Giacchino derrière la caméra (il a signé un épisode de la web-série Star Trek : Short Treks). Disons que la pastille Disney+ lui permet de passer en catégorie poids moyen. Pas une raison pour négliger l'expérience d'autant qu'elle a tout du ballon d'essai pour la plateforme de SVOD. Et c'est plutôt une bonne trouvaille pour la chaîne, pas réputée pour la qualité de ces feuilletons.
Giacchino a bien assez de 52 minutes pour ouvrir une brèche dans le répertoire super-héroïque à dormir debout et aller flâner du côté des monstres. Bon, le top départ est trop vif, les personnages secondaires font de la figuration, et les divers accès de violence sont encore gentillets. Je suis également sceptique sur le rendu du fameux loup-garou, certes fait à l'ancienne mais très éloigné du colosse sauvage du mésestimé Wolfman (2010). Malgré tout, l'ensemble ravive avec déférence l'ambiance gothique des productions Universal d'antan : noir et blanc, cigarette burns et de fausses traces d'usure sur l'image numérique (tâchant de reproduire la pellicule argentique).
Bonne nouvelle, le réalisateur ne se contente pas de l'effet madeleine de proust et propose quelques idées de mise en scène, notamment dans le dernier tiers. Au détour d'une transformation hors-champ, d'effets de lumière malin, d'une utilisation intelligente du décor et d'un découpage plus économe, Werewolf by Night gagne de beaux points. Le script de Heather Quinn a également la bonne idée de retourner légèrement le concept de chasse aux monstres, ce qui donne un peu d'air au moyen-métrage. Dernièrement, le casting s'amuse beaucoup, de Gael Garcia Bernal à Laura Donnelly mais je retiendrai surtout l'épatante Harriet Sansom Harris.
Le génial compositeur de Là-Haut, La Planète des Singes ou The Batman prouve qu'il a également un bel avenir en tant que metteur en scène. Ce feuilleton spécial n'a pas l'ambition ou la stature d'un modèle en devenir, cependant il pourrait être l'initiateur d'un programme (enfin) plus stimulant. Soyons compréhensifs et avec un peu de chance d'autres suivront avec encore plus de qualités.
Première réalisation du compositeur Michael Giacchino, un moyen-métrage tranchant (un peu) avec les derniers ratages Marvel et renouant avec un certain esprit des films de monstres Universal.
Un récit fantastico-horrifique sympatoche, parasité parfois par l'humour Marvelien habituel, mais accompagné d'un noir et blanc soigné. Une petite production qui se laisse regarder, sans véritablement marquer non plus.
Probablement ce que le MCU a produit de mieux sur la phase 4... Et c'est pas fameux. Scénaristiquement pauvre, l'ensemble est sauvé par une bonne réal, des acteurs qui jouent et une proposition inédite de Disney. Vu une fois, voila.
L'ambiance est là et le côté noir et blanc rend plutôt bien avec la présence de couleur comme le rouge de la pierre.
Niveau histoire, l'élite des chasseurs de monstres était là en compétition pour "gagner" un artéfact très puissant. Mais malheureusement ils sont tous plus nul les uns que les autres et décrédibilisent totalement l'idée. Dommage.
Malgré cela, le film reste agréable à regarder (pour beaucoup pour la présence de Man-Thing) surtout qu'avec 52 minutes, il va droit à l'essentiel.
Ce moyen-métrage, réalisé par Michael Giacchino et sorti tout récemment sur Disney+ n'est vraiment pas mal du tout ! C'est d'ailleurs surprenant car je dois avouer que j'ai lâché l'affaire Marvel depuis quelques temps, tout en continuant à aller les voir. Mais, trouvant une baisse dans la qualité de ces derniers ou peut-être tout simplement le fait d'être lassé de voir toujours le même schéma de films en films, je n'avais pas de grands espoirs envers ce film. Film qui est d'ailleurs le premier "spécial", également ancré dans le MCU, au même titre que les films et les séries. D'ailleurs, au bout d'un moment, il va être compliqué de tout suivre correctement tellement la franchise devient de plus en plus riche en contenus. Enfin, ça, c'est un autre problème. Bref, pour en revenir à ce "spécial", je le trouve très bien écrit et réalisé ! Nous avons en effet une patte bien marquée d'Universal Monsters, la série de films centrée sur les monstres produite par Universal majoritairement dans les années 30 et 40, ce que confirme d'ailleurs la mise en scène, avec son noir et blanc, son effet grain de pellicule, ainsi que les repères de changement de bobine. Ensuite, le film est bien rythmé, on ne s'ennuie pas, on rentre tout de suite dans l'action et on s'attache assez rapidement aux personnages. Concernant les acteurs, nous retrouvons principalement Gael García Bernal et Laura Donnelly qui jouent très bien. "Warewolf by Night" n'est donc pas extraordinaire mais reste malgré tout très correct dans son ensemble.
Werewolf By Night est une petite surprise pour le MCU. Avec très peu de communication autour, je ne savais pas trop à quoi m'attendre, mais on retrouve au final une sorte de hors série spécial Halloween assez sympathique. Michael Giacchino (désolé si j'ecorche son nom) signe sa première réalisation et l'harmonie entre photographie et musique est assez dingue comparé au reste du MCU. La violence est elle aussi plus assumée pour des scènes d'action très correctes ! Alors évidemment, en une heure, le scénario n'a pas le temps de raconter grand chose et ce Werewolf est plus proche d'un petit divertissement oubliable que d'une réelle masterclass de la part du MCU, mais ça reste pour autant un vrai changement de ton qui fait du bien et qui prouve que Marvel gagnerait à prendre plus de risques dans ses grosses productions. grâce à ce film Marvel lance un univers beaucoup plus sombre pour peut-être mettre en place de futur héros et d'autres films ils nous font donc découvrir des héros méconnus de leur univers et peut-être même qu'il reviendront dans le futur à la télé dans des séries ou au cinéma. Et puis le film ne fait pas si'peur que sa c'est plus violent effrayant mais léger.
C’est une réalisation de Michael Giacchino qui a été compositeur sur des films de super héros comme The Batman et Spider-Man: No Way Home. Le scénario a été écrit par Peter Cameron (VII) pour adapter le personnage créé par Roy Thomas et Gerry Conway (scénario) et Mike Ploog (dessin) Jack Russell est apparu pour la première fois dans le comic book Marvel Spotlight #2 en 1972. Ce film horrifique américain est sorti le 7 octobre 2022 sur Disney+.
On reproche souvent à Marvel de s’empâter, cela fait donc plaisir de les voir oser. Que l’on aime ou pas cette nouvelle exclusivité Disney+, il faut reconnaître que la franchise ne se repose pas sur ses lauriers.
L’ambiance est le premier élément qui marque. Dès le départ, le ton en noir et blanc fait son effet. Il appuie parfaitement le style horrifique se mettant en place. Dans cette lignée, nous allons avoir droit à des combats violent pour attraper la bête. Le sang va couler. Dommage que le concept du white and blood ne soit pas mieux exploité car cela manque d’impact visuellement.
La durée de Werewolf By Night est trop courte. Elle empêche de développer une histoire qui se tient. On va rester à la surface de ce rassemblement de chasseur de monstres. L’univers aurait mérité d’être plus exploré. C’est uniquement du divertissement. Cela peut créer un sentiment de frustration. Marvel tente mais ne joue pas la carte à fond.
L’idée de prendre Gaël García Bernal au casting est excellente. L’acteur Mexicain est génial. Son jeu est loin des standards habituels de Marvel. Laura Donnelly est une bonne surprise dans la peau de Elsa Bloodstone. L’ouverture du MCU à ces nouveaux personnages est une perspective intéressante. Espérons que nous aurons l’occasion de revoir Man-Thing par la suite.
J’attendais pas énormément ce film spécial Halloween, mais j’étais quand même vraiment curieux de voir un compositeur à la tête d’un projet. Et je suis vraiment agréablement surpris par ce moyen métrage car il est vraiment excellent et mélange la modernité de la mise en scène et l’ancienneté du scénario.
Effectivement, j’ai trouvé que la réalisation avait un parti pris très modernes avec des mouvements de caméra doux et des effets spéciaux actuels face à un noir et blanc juste et de légers grains qui n’entâchent pas le plaisir de visionnage. Ensuite, la musique a un vrai impact sur l’histoire car elle est représentative de ce que pense le personnage d’Elsa. D’ailleurs, le décor de cette histoire est vraiment chouette et très beau.
Et le scénario, quant à lui, peut être vu comme classique mais il y a de belles touches d’originalité. C’est sans grande surprise que le scénario est vraiment intriguant mais non moins intéressant ; le rythme est lent mais le récit est prenant. Les personnages principaux n’ont pas un caractère trop stéréotypé et rien n’est exagéré ; excepté leur expression faciale pour certains, mais cela va avec le style ; sans compter que ces protagonistes sont plutôt attachants. Par contre, l’humour propre à Marvel a tendance à être en trop et le film aurait été meilleur sans cela.
Je vais recommander ce film car ce n’est pas l’humour qui m’a empêché de l’apprécier ; mais juste qu’il faut préciser que c’est agaçant. En tout cas, l’histoire intègre de vraies bonnes idées et Michael Giacchino a un réel potentiel dans la réalisation.