Une bonne comédie qui traite très intelligemment et de manière drôle les péripéties d un village face à la désertification de leurs territoires qui engendrent de véritables problèmes pour les habitants. Dans les petites victoires julia piaton joue l edile d un village breton, et aussi institutrice se bat chaque pour faire vivre son village mortifère, mais en plus de cela elle doit faire face à un habitant irrascible joué par le déjà regretté michel blanc toujours génial et d ou on a une certaine nostalgie, et un plaisir de le voir pour son dernier film me semble t il. Une bonne comédie de Mélanie Auffray qui a reçu le prix du jury au festival d Alpes d huez totalement mérité.
Agréable comédie pleine de tonus et de drôlerie sensible, en demi-teinte. On côtoie avec réalisme le monde des villages qui périclitent et des campagnes qui se désertifient tragiquement. Mais la détermination de nos deux héros si différents mais si unis va illuminer l’histoire. C’est douloureux mais pas triste, la réalité est affligeante mais c’est drôle car tous positivent, même en râlant comme Michel Blanc, très subtil comme toujours. Julia Piaton - fille de Charlotte de Turckheim - est impeccable dans son rôle dynamique et généreux. On ne trouve rien de convenu, de misérabiliste et on aime ce film plein de bienveillance.
C'est pas un blockbuster, c'est un bon petit film gentil, doux, qui relaxe et fait du bien. Il y a des bons sentiments, c'est un peu attendu et c'est mielleux. Et alors, c'est très agréable et ça change les idées en nous rappelant quelques soucis des petites communes de campagne. Un bon film, une petite victoire.
Voilà le chapitre 'Hommage à Michel Blanc' se termine avec ce film ! Après avoir regardé 'Marie Line et son juge' (que j'ai adoré) puis 'Docteur' (que j'ai détesté) je me suis lancé dans cette histoire de petit village qui tente de faire survivre ses commerces et son école et franchement ça a beau ne pas être le film du siècle, ca se laisse regarder. Michel Blanc y campe un homme illettré un peu bourru qui force la maitresse d'école à lui donner des cours en meme temps que les enfants et même si c'est gros et pas toujours drôle, c'est émouvant et ca passe. Et puis Mr Blanc va tellement nous manquer qu'on lui pardonne un peu tout... RIP Michel !
Les thêmes larmoyants de la France périphérique qui meure et souffre, l'invraisemblance du sénario et la mise en scène indigente. Ce film avait-il la prétention de décrocher la palme de la mièvrerie ? La seule possible...
l'idée de départ est interressante, helas p s'ennuie des le début: mal ecrit, mal joué, mal réalisé. Et meme michel blanc ne nous sort pas de cette galère. ça transpire les bons sentiments, ça dégouline de belle morale. on n'y croit pas une seconde. cest dun niveau telefilm.
C'est une petite victoire pour Mélanie Auffret que son film. Il parle de la désertification des campagnes (ici la costarmoricaine) et l'illettrisme. C'est plein de bons sentiments et d'émotion. Bon casting, bonne interprétation de Julia Piaton en maire-institutrice dévouée à son village et de Michel Blanc en vieux gars illettré.
Magnifique film avec une histoire touchante. Réalisation très intéressante sur la mise en avant des personnages. Les émotions sont présentes et ressenties
Les Petites victoires justifie sa médiocrité par les petites gens qu’il représente, et recouvre son discours social d’une couche de miel des plus écœurantes à même d’agglutiner les cœurs sensibles, les bienveillances, les larmoyants. Voilà un film avec lequel le spectateur ne peut qu’être d’accord : soit le combat mené par une femme seule pour spoiler: maintenir à flots sa mairie et la classe unique qui permet à dix élèves de suivre une scolarité locale et non dans la ville voisine, une femme définie par sa persévérance et sa gentillesse, une maire courage en somme, modeste en plus. Les comédiens s’avèrent convaincants, en particulier le duo formé par Julia Piaton et Michel Blanc ; mais fallait-il imposer à l’ensemble une musique aussi sirupeuse ? des ficelles scénaristiques dignes des téléfilms pour ménagers et ménagères diffusés en programmes d’après-midi ? La réalisatrice Mélanie Auffret, sous couvert de pensée positive, refuse les âpretés de son sujet et remplace spoiler: l’évincement terminal de notre héroïne par une fuite en avant, direction l’Italie, à vélo svp ! Ça fait du bien au moral, surtout en ces temps difficiles, n’est-ce pas ? Au cinéma, moins sûr...