Une série B complètement fauchée (mais le plus gros budget de Stuart Gordon !) et franchement à la masse mais curieusement très sympathique une fois vue au 1000ème degré et dôtée d'un casting de pures gueules !
Rah la science fiction. Premier opus bien meilleur que le 2eme, imprégné d'un univers à la new York 1997 et d'une certaine nostalgie des années 80, tout bon.
Un des rares films avec Christophe Lambert que j'ai revu avec plaisir, malheuresement les années sont passées et une étoile c'est envolée. Tous de même indispensable à ma vidèothèque. Nous retiendrons une scène culte: L'explosion du détenu 697. 3 sur 4. ----Septembre 2010----
Une anticipation sur le millieu carceral bien futuriste. Un plaisir de le revoir. 4 étoiles. ----Novembre 2014----. A tout de même pris un grand coup de vieux en 2020, 3/5. ----Août 2020----
Un film bourrain pourri. C'est à mourir de rire dans sa première partie, tant c'est impossible de s'échapper. Et pourtant ils le font. Le directeur est un sadique qui torture ses prisonniers (mort de rire) et s'éprend de la femme de Christophe Lambert (il déconne, là, quand même ! Christophe Lambert, quoi, merde ! Il ne respecte donc rien). Il y a marqué tout public sur le DVD, et le film en angleterre est interdit aux moins de 18 ans. Donc 12 ans me semble la juste mesure, tant le film est ridicule. et n'oubliez pas : LE CRIME NE PAYE PAS !!!
Un sujet intéressant (la surpopulation dans le monde et les méthodes radicales pour y remédier) qui n'est pas sans rappeler le problème actuel que subit la Chine. Fortress est une "bonne oeuvre" dans la filmographie de Christophe Lambert. A la fois sombre et animé, ce film de science-fiction se regarde sans complexe.
Très bonne série B, qui n'a pas trop viellie avec un assez bon Christophe(r) Lambert, un génial Jeffrey Combs et un terrifiant Kurtwood Smith. Un peu dommage que la fin soit vite expédiée, mais le talent de Stuart Gordon assure le spectacle.
Le scénario est pas mal du tout, il y a de bons moments mais bon la mise en scène c'est pas ça. Fortress c'est une solide série B qui nous détend, dans le même style je préfére Absolom 2022.
Excellent film, bien joué et angoissant à souhait. J'ai apprécié les nombreuses touches d'humour noir. On est sur les nerfs de bout en bout, on se prend à l'histoire dès la première scène et jusqu'à la dernière. La fin, avec le camion est géniale. Grande réussite, rien à redire. "Crime does not pay" excellent.
Alors attention j’annonce tout de suite : oui j’aime quand même pas mal "Fortress" alors qu’il a tous les ingrédients de la grosse série B. Rien n’est inventif, peu de choses sont bien faites, tout pue la caricature comme ce n’est pas permis… Mais je sais pas pourquoi ça ne me dérange pas. Je ne vois rien d’extraordinaire à ce film mais rien ne me choque vraiment non plus. Peut-être est-ce le charme des vieux produits…Peut-être est-ce la bêtise de la nostalgie...
Continuant dans la science-fiction, le réalisateur américain Stuart Gordon nous livre en 1993 Fortress, œuvre futuriste intéressante où la surpopulation de la Terre a forcé ses dirigeants à prendre des mesures draconiennes envers les habitants et a forcé les lois jusque dans leurs derniers retranchements. Il est ainsi notamment interdit d'avoir un deuxième enfant. Accusés à tort, l'ex-capitaine des Bérets Noirs John Brennick (Christophe Lambert, quand on se l'arrachait encore pour un film d'action) et sa femme Karen (Loryn Locklin, une jolie inconnue qui restera inconnue) sont incarcérés dans la Forteresse, prison ultra-perfectionnée dont personne ne s'en est encore évadé. Dirigé d'une main de fer par un directeur aussi sadique que lubrique (le génial Kurtwood Smith, habitué aux rôles de bad guy dégueulasse depuis RoboCop), le bâtiment situé en plein désert contient ce qu'il faut de règles quasi-nazi et de taulards vicieux pour faire froid dans le dos. C'est donc à travers un film carcéral futuriste que Stuart Gordon revient en force, l'univers glacé et dangereux de cette prison étant parfaitement palpable. Notre héros au regard vide va donc se lier avec quelques codétenus sympathiques (dont le jeune Clifton Collins Jr. et l'inévitable Jeffrey Combs, fidèle au réalisateur depuis Re-Animator) pour en premier lieu tenter de survivre à un impitoyable taulard adepte de la sodomie (le toujours aussi cabotin Vernon Wells) et par la suite tenter de s'évader de cet enfer en embarquant sa femme, retenue prisonnière par le méchant directeur. Si le scénario n'a rien d'original, quelques bonnes surprises bien pensées telles l'implant intestinal ou encore les gardes bioniques et leurs flingues absolument bandant ainsi que des scènes d'action réussies font de Fortress une bonne série B d'action sanglante et efficace, annonçant malgré elle le glas pour Lambert et Gordon...