Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
L’Été nucléaire, grâce à la rigueur de la mise en scène de Gaël Lépingle, trouve une voie singulière entre huis clos mélancolique et science-fiction réaliste, malgré quelques longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Pierre Eugène
Étrange préscience : bien qu’imaginé et réalisé avant la pandémie, le film rappelle avec exactitude notre angoisse des contaminations, l’espace public déserté et ces adolescents barricadés dans leur chambre que nous sommes, un temps, devenus, sans clés pour appréhender l’extérieur.
Critikat.com
par Thomas Choury
L’association de deux sujets ultracontemporains et le sérieux avec lequel ils sont ici fictionnalisés donnent presque à L'Été Nucléaire les allures d’un film d’intervention.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Bien qu’écrit et réalisé avant la crise sanitaire, L’Eté nucléaire travaille une matière qui coïncide remarquablement avec certaines des expériences et représentations que celle-ci a imprimées en nous.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Teen movie confiné sous couvre-feu nucléaire, un film gracieux mais sans surprise.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
Comme la centrale, cet Été nucléaire a pourtant des ratés et frôle parfois la série Z. C’est l’atmosphère extérieure que le réalisateur réussit le mieux à filmer, notamment dans ces plans sur une campagne paisible, théâtre d’un sentiment de panique infinie, comme dans La Mort aux trousses.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Camille Nevers
Après une fuite radioactive, de jeunes amis se retrouvent coincés, à l’image du film de Gaël Lépingle, engoncé dans son sérieux et son manque d’inventivité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
L’entame est très réussie, créant un climat d’angoisse prenant qui n’aura ensuite de cesse de se déliter. Car Lépingle ne cessera de tergiverser, n’allant jamais au bout du pur film d’home invasion qui s’annonçait et laissant trop de place à des relations chiches en relief entre des personnages manquant eux de consistance.
La critique complète est disponible sur le site Première
Mad Movies
par Vincent Malausa
Plus que par son excès de sérieux, c'est par son manque total d'ambition que L'Été nucléaire parvient à ce triste prodige d'être autant une caritcature de film de genre qu'une parodie de cinéma d'auteur à la française.
Les Fiches du Cinéma
L’Été nucléaire, grâce à la rigueur de la mise en scène de Gaël Lépingle, trouve une voie singulière entre huis clos mélancolique et science-fiction réaliste, malgré quelques longueurs.
Cahiers du Cinéma
Étrange préscience : bien qu’imaginé et réalisé avant la pandémie, le film rappelle avec exactitude notre angoisse des contaminations, l’espace public déserté et ces adolescents barricadés dans leur chambre que nous sommes, un temps, devenus, sans clés pour appréhender l’extérieur.
Critikat.com
L’association de deux sujets ultracontemporains et le sérieux avec lequel ils sont ici fictionnalisés donnent presque à L'Été Nucléaire les allures d’un film d’intervention.
Le Monde
Bien qu’écrit et réalisé avant la crise sanitaire, L’Eté nucléaire travaille une matière qui coïncide remarquablement avec certaines des expériences et représentations que celle-ci a imprimées en nous.
Les Inrockuptibles
Teen movie confiné sous couvre-feu nucléaire, un film gracieux mais sans surprise.
Télérama
Comme la centrale, cet Été nucléaire a pourtant des ratés et frôle parfois la série Z. C’est l’atmosphère extérieure que le réalisateur réussit le mieux à filmer, notamment dans ces plans sur une campagne paisible, théâtre d’un sentiment de panique infinie, comme dans La Mort aux trousses.
Libération
Après une fuite radioactive, de jeunes amis se retrouvent coincés, à l’image du film de Gaël Lépingle, engoncé dans son sérieux et son manque d’inventivité.
Première
L’entame est très réussie, créant un climat d’angoisse prenant qui n’aura ensuite de cesse de se déliter. Car Lépingle ne cessera de tergiverser, n’allant jamais au bout du pur film d’home invasion qui s’annonçait et laissant trop de place à des relations chiches en relief entre des personnages manquant eux de consistance.
Mad Movies
Plus que par son excès de sérieux, c'est par son manque total d'ambition que L'Été nucléaire parvient à ce triste prodige d'être autant une caritcature de film de genre qu'une parodie de cinéma d'auteur à la française.