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lemiwings
31 abonnés
477 critiques
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0,5
Publiée le 27 août 2007
Pathétique, encore plus nul que le 2......... Vous y croyez vous à V.Peebles en Barbare??? On dirait un travelo sortant du Queen.... Quant à Totof il est égal à lui meme,c'est à dire aussi charismatique qu'une endive...
Pour cette troisième mouture de la saga Highlander, les producteurs ont souhaité oublier le désastreux deuxième film et tout recommencer à zéro... ou presque. En effet, si ce troisième opus ne suit pas le deuxième, il n'y a également aucune référence au premier. On ne sait plus trop où donner de la tête, chaque film n'appartenant à aucun ordre chronologique concret. Qu'à cela ne tienne, Christophe Lambert is back pour décapiter du méchant, c'est le plus important. Plus orienté série B, Highlander III met donc en scène notre célèbre immortel aux prises avec un nouveau méchant encore plus cabotin que d'habitude (quoiqu'il est sacrément difficile de surpasser Michael Ironside), interprété par l'imposant Mario Van Peebles, qu'il va falloir terrasser afin de préserver la paix et la vie de son fils adoptif... Agrémenté d'une enquête policière quelque peu mal fichue en parallèle ainsi que de nouveaux flashbacks sur le passé français de McLeod, nous suivons cette intrigue cousue de fil blanc où se mêlent combats à l'épée, spiritualité ancestrale et magie japonaise. Le long-métrage du totalement inconnu Andy Morahan, réalisateur de clips et de lives musicaux, est donc très simpliste mais reste particulièrement efficace, apportant de nouveaux petits éléments fantastiques à la saga. Ajoutez au casting la magnifique Deborah Kara Unger et le malicieux Mako, pleins d'effets spéciaux réussis et de jolis affrontements aux katanas et vous obtenez un film d'action fantastique tout à fait convenable dont on ne rechignera que la légère similitude avec le premier opus.
Si le second épisode de la franchise était décevant, cet troisième volet est carrément un navet qui aurait gagné haut la main la framboise d'or s'il avait été en compétition à cette époque.
Ce qui est incroyable dans ce 3ème c'est qu'il ne tient même pas compte du second volet !! On zappe le précédent opus et on tente de revenir à ce qui avait fait le succès du 1er opus !! Ca reste du bon nanar mais ça se regarde ...
Le ridicule ne tue pas, preuve ultime en est faite ici. Entre un Totof Lambert qui n'y croit déjà plus et un Mario Van Peebles qui cabotine encore plus que n'importe lequel des chiens d"Hercule et Sherlock", le comble du ridicule est largement atteint ici. A oublier, tellement c'est dramatiquement crétin.
Après l’ovni qu’était Highlander 2 l’immortel écossais joué par notre Christophe Lambert national revient dans une aventure plus proche du premier. Très proche, trop proche même, pour dire vrai c’est même exactement le premier refait en moins bien. MacLeod voit son nouveau mentor assassiné par un méchant immortel percé et tatoué ( oui moi aussi je trouve que cela fait très mauvais genre). On passera aussi rapidement sur le fait qu’à la fin du premier il n’était censé ne plus avoir d’immortels mais bon là il y en avait deux trois gelés dans une grotte donc ça compte pas vraiment. Alors on va faire deux trois scènes en Ecosse parce que les paysages sont jolis, introduire rapidement la nouvelle blonde dont MacLeod va tomber amoureux car si lui est immortel ce n’est pas le cas de ses dulcinées et puis cela permettra de faire une scène d’amour très années 80 (la même que dans le premier en fait mais en plus long). On a aussi quelques flash-back comme dans le premier pour faire remplissage et que le film fasse une heure et demie avant le dernier combat au sabre , mou du genou mais ou MacLeod va décapiter le méchant. Et on se rend compte que l’on vient de revoir le premier avec chaque scène refaite en moins bien et sans l’excellente bo de Queen. C’est donc franchement dispensable.
Si ce troisième opus n’est qu’une modeste copie du premier Highlander, il nous fait revivre avec bonheur les aventures de l’Immortel Connor McLeod. Les scénaristes font marche arrière et oublient l’aspect SF qui fût un échec avec le second épisode. Pourtant, cette aventure ne sera pas à la hauteur du premier film, elle non plus. La fin de cette aventure en Écosse, sur une sublime musique de Loreena McKennitt, est réussie car elle achevait l’histoire de manière potentiellement crédible et propre.
Un gros nanar ultra fauché et bien ridicule (souvent drôle du coup), soutenu par des effets spéciaux merveilleusement ratés (on se croirait revenu 10 ans en arrière a l'époque du premier) et des dialogues aux petits oignons "quoi que vous ayez vu... vous n'avez rien vu". Tout est dit.
Après le désastre du second volet, la franchise semble vouloir corriger le tir en faisant une suite directe au premier film, en omettant les événements du précédent. On y retrouve ainsi Connor McLeod, affrontant un gugusse immortel piégé pendant 4 siècles dans une grotte. Un point de départ un peu difficile à avaler, et ce n'est pas le reste du film qui nous fera changer d'avis. Le scénario regorge d'invraisemblances, les effets spéciaux sont très moches, tandis que Mario Van Peebles cabotine comme jamais dans le rôle du taré de service. Reste Christophe Lambert qui tente d'y croire, et quelques scènes regardables. Mais globalement, "Highlander 3" tient plus d'un mauvais téléfilm que d'une suite potable.
C’est finalement le deuxième film de la série qui aura le plus contribué à faire de Highlander une des pires franchises du cinéma : au moins le 3 a-t-il celle de ne pas tourner autour du pot et de ne même pas essayer de se situer. Sorte de deuxième “2” dans les faits, à moitié remake et à moitié suite, le film de Morahan se taille une place à grands coups de katana dans la mythologie déjà en miettes de l’univers des Immortels. Alors, ça vaut quoi ?
Visuellement, c’est parlant, même si ça n’a rien à voir non plus avec l’esthétique artificielle du 2 ; repartant sur des bases à peu près écossaises et refaisant du Highlander de Lambert quelqu’un qui est ancré dans la tradition de ses ancêtres, le film se trompe surtout dans les genres. C’est peut-être une tentative de se reconnecter à la fantasy punk du film original mais on a juste envie de crier “stop !” pendant le premier quart d’heure tellement on gave le spectateur de facettes mal polies dans différents registres.
Les scènes sont courtes et saccadées, ce qui convient aussi peu à la narration qu’aux combats : la première est en dents de scie, les deuxièmes sont mal bruités, la musique est barbante, et finalement il ne se passe rien. À part l’histoire d’amour copiée-collée du deuxième film et quelques clins d’œil stéroïdés pour le fan service, Morahan nous raconte globalement comment on est passés de quelque chose à rien du tout. Lambert râle qu’il était pourtant le dernier à la fin du premier film et que la récompense était sienne : oui, et ?… Remarquer n’est pas justifier, you know?
On n’a pas le côté navet qui nous permettrait de rire du film comme de son prédécesseur : il est juste mauvais et ennuyeux et piétine allègrement toute logique spatiale ou temporelle. Pas insupportable, car il arrive à nous intéresser aux petits bonds dans le temps créant des liens un peu mystiques, et les quelques minutes (franchement pas davantage) où Lambert se ressource dans ses Highlands natales sont potables. De quoi ne pas prendre sa dernière phrase avec trop d’ironie : “it’s finally over”.
Zappant purement et simplement un second volet décrié par la planète entière, ce troisième opus est pourtant beaucoup plus médiocre, se contentant de reprendre grosso merdo la trame du premier opus, le style en moins mais le ridicule en plus.
Bon, ce troisième opus a le mérite d'être moins minable que le deuxième, même si cela reste horriblement mauvais. Tentant de se rapprocher du style du premier Highlander, ce troisième épisode est un copier-coller foireux de celui-ci. Le scénario est ennuyeux à mourir et bourré d'incohérences, Lambert s'enfonce encore un peu plus (ce qui est dommage, lui qui avait du potentiel), les autres acteurs sont terriblement mauvais, les CGI sont médiocres, les personnages creux et la mise en scène abominable. Le peu que le film a à nous offrir sont des combats divertissants, mais qui ne cassent pas trois pattes à un canard (surtout l'affrontement final, bouclé en 5 minutes). Une suite inutile encore une fois, qui pousse la saga vers la médiocrité la plus totale.
Si le premier Highlander est indubitablement un chef d’œuvre et le second devient un honorable divertissement grâce à la version Renegade, ce troisième opus et sans intérêt et la saga highlander pâti ici d'une histoire tiré par les cheveux et médiocre et seul Mario Van Peeble, populaire à l'époque du film via la série Sonny Spoon reste l'attraction de ce film très oubliable.....
La recette est complètement épuisé avec ce nanar médiocre ou Christophe Lambert a perdu toute crédibilité dans ce troisième film qui n'a aucune cohérence avec le précédent . C'est dingue ! Des trois films c'est le pire . Le scénario a dépasser le stade de la médiocrité pure , ça empire !!! Le réalisateur inconnu du public, n'a aucun talents et les effets mal foutus n’arrange pas du tous les choses . Un clinquant échec auquel nous aurions put nous en passés.