Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le sujet est ici abordé sans outrances, avec tendresse, dans les sublimes lumières poudrées de la région des pouilles.
Le Parisien
par La Rédaction
Freiss se distingue sur un autre chapitre, la direction d’acteurs : le beau Riccardo Scamarcio s’avère très juste dans son rôle de cultivateur ténébreux, et Lou Delaâge crève l’écran tout en faisant preuve d’une retenue très à propos…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Voici
par La Rédaction
Une variation subtile sur le poids des héritages.
L'Obs
par X. L.
Si la mise en scène reste un peu trop en retrait, elle est en revanche amoureusement dévouée à ses comédiens, Lou de Lââge et Riccardo Scarmacio.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Stéphane Freiss manifeste un vrai désir de cinéma en passant derrière la caméra. Tu choisiras la vie bénéficie d’une mise en scène sensible et donne envie de prendre un billet pour la Calabre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Un film délicat et sensuel.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par P.C.
Même si le propos est parfois trop appuyé, notamment les références bibliques, ce premier film de Stéphane Freiss laisse une belle place au couple Lou de Laâge/Riccardo Scarmacio, tout en retenue.
La Croix
par Céline Rouden
Un drame romantique touchant mais maladroit sur une femme qui cherche à s’émanciper de sa famille juive ultraorthodoxe.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film sera donc l’histoire d’une double libération, qui pâtit grandement du fait que les causes y soient d’emblée à ce point entendues.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le souci, c’est qu’il manque beaucoup de nuance et d’ambivalence au regard de Freiss pour que cette montée du désir sans cesse réprimée par le monde autour, mais aussi par un cinéaste qui, par excès de pudeur privera ses personnages de toute forme de concrétisation, n’émeuve.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
Une histoire centrée sur la religion, en apparence seulement. Car Stéphane Freiss, qui s’inspire du passé familial, n’est ni pour ni contre le fanatisme dont souffre son héroïne. Plus banal qu’on l’imaginait, son film s’attache surtout aux sentiments, à l’amour naissant, au flirt avec la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Le sujet est ici abordé sans outrances, avec tendresse, dans les sublimes lumières poudrées de la région des pouilles.
Le Parisien
Freiss se distingue sur un autre chapitre, la direction d’acteurs : le beau Riccardo Scamarcio s’avère très juste dans son rôle de cultivateur ténébreux, et Lou Delaâge crève l’écran tout en faisant preuve d’une retenue très à propos…
Voici
Une variation subtile sur le poids des héritages.
L'Obs
Si la mise en scène reste un peu trop en retrait, elle est en revanche amoureusement dévouée à ses comédiens, Lou de Lââge et Riccardo Scarmacio.
Les Fiches du Cinéma
Stéphane Freiss manifeste un vrai désir de cinéma en passant derrière la caméra. Tu choisiras la vie bénéficie d’une mise en scène sensible et donne envie de prendre un billet pour la Calabre.
Sud Ouest
Un film délicat et sensuel.
Télé 2 semaines
Même si le propos est parfois trop appuyé, notamment les références bibliques, ce premier film de Stéphane Freiss laisse une belle place au couple Lou de Laâge/Riccardo Scarmacio, tout en retenue.
La Croix
Un drame romantique touchant mais maladroit sur une femme qui cherche à s’émanciper de sa famille juive ultraorthodoxe.
Le Monde
Le film sera donc l’histoire d’une double libération, qui pâtit grandement du fait que les causes y soient d’emblée à ce point entendues.
Les Inrockuptibles
Le souci, c’est qu’il manque beaucoup de nuance et d’ambivalence au regard de Freiss pour que cette montée du désir sans cesse réprimée par le monde autour, mais aussi par un cinéaste qui, par excès de pudeur privera ses personnages de toute forme de concrétisation, n’émeuve.
Télérama
Une histoire centrée sur la religion, en apparence seulement. Car Stéphane Freiss, qui s’inspire du passé familial, n’est ni pour ni contre le fanatisme dont souffre son héroïne. Plus banal qu’on l’imaginait, son film s’attache surtout aux sentiments, à l’amour naissant, au flirt avec la liberté.