Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
C’est pourquoi ces 3h40 divisées en trois parties (dont chacune a sa cohérence) passent si vite : les êtres filmés, la forme du film et notre regard de spectateur ne cessent d’évoluer ensemble, pris dans un même élan vital.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Changeant et instable, le film touche par sa fragilité, le contraste entre des moments de poésie pure, comme une escapade amoureuse à la frontière portugaise, et des scènes plus brutes, qu’on pourrait croire volées. Une passionnante immersion dans l’âge des possibles.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Hybride et ouvert à l'imprévu, Qui à part nous filme la jeunesse tout à la fois avec euphorie et mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
Si ce mélange d’artifice et d’authenticité peut décontenancer de prime abord, laissant craindre une domination du simulacre sur le réel, il apparaît finalement comme le dispositif adéquat pour le cinéma de l’exploration recherché par l’auteur : atteindre non pas la vérité des faits mais la justesse d’une émotion.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Céline Rouden
Un récit immersif et plein de surprises qui nous place au plus près de cet âge de tous les possibles et en fait une expérience cinématographique à part entière.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
Qui à part nous offre l’exemple d’un film merveilleusement imprévisible, qui semble se construire en cours de route, au gré des retrouvailles et des circonstances. Une petite république de cinéma où le collectif ne s’invente jamais au détriment de l’individu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Qui à part nous est avant tout un grand film de parole, d’action, un film au présent permanent, et ce malgré les années qui défilent à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Entre ces décrochages improvisés, ce tâtonnement et ces discours redondants de jeunesse réactivée, Trueba agrandit sa toile en reliant les fils de son film araignée, des âges et des protagonistes, les fictions et les autoportraits. Des échos résonnent de loin en loin, la concordance des temps, de l’amour et du hasard – et des générations. C’est l’éloge d’un cinéma qui aime travailler à la paresse. Qui aime laisser du temps au temps folâtre, et mater le nonchalant qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une longue odyssée au cœur d’une bande d’adolescents espagnols où, sous prétexte de cinéma, c’est une société occidentale toute entière que le cinéaste Jonás Trueba capture dans sa caméra.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En bousculant la chronologie, en mélangeant les temporalités, le cinéaste filme le chemin complexe entre ce qu’ils et elles ambitionnent d’être et ce que la réalité les contraint à devenir. Fallait-il faire si long ? Pas sûr. Mais l’acuité et l’empathie de Trueba justifient grandement le projet.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Tout n’est pas passionnant dans ce film expérimental, du fait de sa durée fleuve et du nombre de protagonistes conviés, mais avec son approche audacieuse, collective et empathique, il capte quelque chose d’unique de cette période où l’on se construit.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Jonas Trueba revient à l’adolescence après l’inédit La Reconquista avec un film qui mêle documentaire et fiction à Madrid. Pluriel dans son expression, Qui à part nous emmène sur des chemins inattendus qui peinent à convaincre complètement.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Adrien Gombeaud
Parfois très beau et émouvant, Qui à part nous n’est que partiellement intéressant.
Première
par Thierry Chèze
Tant sur la forme que sur le fond, Qui à part nous laisse un sentiment d’inabouti.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Michel Bezbakh
On se noie dans cette longue performance désordonnée, sauvée toutefois par quelques moments de grâce et d’amusantes expérimentations narratives.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par La Rédaction
Le pendant espagnol du Adolescentes de Lifhstiz face auquel ce documentaire fait pâle figure.
Cahiers du Cinéma
C’est pourquoi ces 3h40 divisées en trois parties (dont chacune a sa cohérence) passent si vite : les êtres filmés, la forme du film et notre regard de spectateur ne cessent d’évoluer ensemble, pris dans un même élan vital.
L'Humanité
Changeant et instable, le film touche par sa fragilité, le contraste entre des moments de poésie pure, comme une escapade amoureuse à la frontière portugaise, et des scènes plus brutes, qu’on pourrait croire volées. Une passionnante immersion dans l’âge des possibles.
Critikat.com
Hybride et ouvert à l'imprévu, Qui à part nous filme la jeunesse tout à la fois avec euphorie et mélancolie.
Culturopoing.com
Si ce mélange d’artifice et d’authenticité peut décontenancer de prime abord, laissant craindre une domination du simulacre sur le réel, il apparaît finalement comme le dispositif adéquat pour le cinéma de l’exploration recherché par l’auteur : atteindre non pas la vérité des faits mais la justesse d’une émotion.
La Croix
Un récit immersif et plein de surprises qui nous place au plus près de cet âge de tous les possibles et en fait une expérience cinématographique à part entière.
Le Monde
Qui à part nous offre l’exemple d’un film merveilleusement imprévisible, qui semble se construire en cours de route, au gré des retrouvailles et des circonstances. Une petite république de cinéma où le collectif ne s’invente jamais au détriment de l’individu.
Les Inrockuptibles
Qui à part nous est avant tout un grand film de parole, d’action, un film au présent permanent, et ce malgré les années qui défilent à l’écran.
Libération
Entre ces décrochages improvisés, ce tâtonnement et ces discours redondants de jeunesse réactivée, Trueba agrandit sa toile en reliant les fils de son film araignée, des âges et des protagonistes, les fictions et les autoportraits. Des échos résonnent de loin en loin, la concordance des temps, de l’amour et du hasard – et des générations. C’est l’éloge d’un cinéma qui aime travailler à la paresse. Qui aime laisser du temps au temps folâtre, et mater le nonchalant qui passe.
aVoir-aLire.com
Une longue odyssée au cœur d’une bande d’adolescents espagnols où, sous prétexte de cinéma, c’est une société occidentale toute entière que le cinéaste Jonás Trueba capture dans sa caméra.
L'Obs
En bousculant la chronologie, en mélangeant les temporalités, le cinéaste filme le chemin complexe entre ce qu’ils et elles ambitionnent d’être et ce que la réalité les contraint à devenir. Fallait-il faire si long ? Pas sûr. Mais l’acuité et l’empathie de Trueba justifient grandement le projet.
Le Journal du Dimanche
Tout n’est pas passionnant dans ce film expérimental, du fait de sa durée fleuve et du nombre de protagonistes conviés, mais avec son approche audacieuse, collective et empathique, il capte quelque chose d’unique de cette période où l’on se construit.
Les Fiches du Cinéma
Jonas Trueba revient à l’adolescence après l’inédit La Reconquista avec un film qui mêle documentaire et fiction à Madrid. Pluriel dans son expression, Qui à part nous emmène sur des chemins inattendus qui peinent à convaincre complètement.
Positif
Parfois très beau et émouvant, Qui à part nous n’est que partiellement intéressant.
Première
Tant sur la forme que sur le fond, Qui à part nous laisse un sentiment d’inabouti.
Télérama
On se noie dans cette longue performance désordonnée, sauvée toutefois par quelques moments de grâce et d’amusantes expérimentations narratives.
Ouest France
Le pendant espagnol du Adolescentes de Lifhstiz face auquel ce documentaire fait pâle figure.