Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Ouest France
par Pascale Vergereau
Une histoire d'amour et une quête de liberté intenses, sous une canicule meurtrière.
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Grande histoire d’amour tragique sur fond de dérèglement climatique, il s’agit d’une fable cruelle et universelle aussi subtile que réussie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Une puissance évocatrice, entre le conte et la légende, renforcée par une mise en scène où l’épure aux couleurs vives vient percuter la contemporanéité, filtrant le naturalisme par le prisme du surnaturel.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
Un conte moderne sur l’émancipation. Lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Libération
par Olivier Lamm
La mise en scène, cadencée et stylisée, parfois à la limite de l’abstraction [...], est au diapason du récit, contemporain et ancré dans le mythe, débordant de symboles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Voici
par La Rédaction
Une vraie découverte.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La cinéaste déploie un soin esthétique raffiné faisant parfois de son film un objet un peu trop chic et clinquant pour convaincre complètement. En revanche, lorsque dans la dernière partie, elle déjoue les a priori narratifs pour faire de son héroïne, victime du patriarcat local, une femme border line et névrotique, son récit bascule dans une ambivalence inattendue et séduisante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un beau film.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Surtout, ce drame au rythme très lent mais aux images magnifiques raconte l’histoire d’un amour qui tente de ne pas étouffer sous le poids de la communauté… Jusqu’à une fin d’une beauté à couper le souffle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Mêlant réalité et onirisme, le premier film de R-T. Sy se présente comme un conte visuellement gracieux, mais dont l’histoire peine à captiver.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Pour son premier long métrage Ramata-Toulaye Sy met en scène la fusion entre ces deux amoureux·euses, fusion naïve et tendre des premières et vives passions dont il est impossible de concevoir la fin, comme il est impossible d’effacer ce “et”. On sait, on sent pourtant, dès le début, que l’issue sera fatale, qu’il y aura bien une séparation, une brisure, imposée par celles et ceux du village qui voudraient rendre Banel – jeune femme qui se rêve libre – esclave de sa condition féminine et de future épouse, titre qu’elle refuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Un récit entre conte cruel immémorial sur le sort réservé aux femmes amoureuses qui refusent de se plier au diktat des hommes et fable écologique contemporaine sur le réchauffement climatique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Quelques longueurs par ici, des affèteries dispensables par là. Mais surtout un désir de cinéma qui transcende tout cela.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Le récit est convenu. Pourtant, on se souviendra de « Banel et Adama », de sa photographie splendide, et de l’interprétation de Khady Mane, impériale en frondeuse amoureuse.
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
Ce premier film arpente le terrain connu, bien que peu diffusé, d'un certain cinéma africain. Son ambition formelle et l'ambiguïté de ses personnages lui permettent d'en éviter les clichés.
Télérama
par Marie Sauvion
Un joli coup d’essai, tourné en langue peule.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le sujet est éminemment d’actualité s’agissant notamment de la question du réchauffement climatique et du poids du déterminisme culturel au Sénégal, la mise en scène manque un peu de punch et paraît bien timide au regard des enjeux que porte le film.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Les effets formels tout en joliesse publicitaire, initialement en décalage avec la radicalité du personnage, s’avèrent en adéquation avec un propos vague, et les phrases définitives de l’impitoyable Banel finissent par sonner creux.
Critikat.com
par Corentin Lê
Ramata-Toulaye Sy n’a hélas pas grand chose de plus à raconter que l'énième chronique d’un amour empêché – et pas grand-chose d’autre à montrer qu’une suite de vignettes très précieusement composées.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une première œuvre stylisée, visuellement époustouflante, qui peine à se libérer de son formalisme.
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Monolithique, l’interprétation de Khady Mane n’offre pas beaucoup de nuances à ce personnage central, quasiment de tous les plans.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La stylisation compte beaucoup ici. Au risque de la désincarnation des personnages, nous semble-t-il. Juste une promesse donc. Mais une jolie promesse.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Banel (performance remarquable de Khady Mane) est un personnage au féminisme moderne, par sa liberté, mais elle échappe aussi à son époque, insaisissable, lointaine comme le récit, dont la maîtrise formelle pétrifie les émotions.
Le Monde
par Cl. F.
C’est en travaillant sur les couleurs, qui pâlissent, ou sur les sons qui disparaissent, que le film fait son deuil de la félicité. En pente douce, pour ne pas dire de manière un peu lisse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
Une histoire d'amour et une quête de liberté intenses, sous une canicule meurtrière.
20 Minutes
Grande histoire d’amour tragique sur fond de dérèglement climatique, il s’agit d’une fable cruelle et universelle aussi subtile que réussie.
CinemaTeaser
Une puissance évocatrice, entre le conte et la légende, renforcée par une mise en scène où l’épure aux couleurs vives vient percuter la contemporanéité, filtrant le naturalisme par le prisme du surnaturel.
Franceinfo Culture
Un conte moderne sur l’émancipation. Lumineux.
Libération
La mise en scène, cadencée et stylisée, parfois à la limite de l’abstraction [...], est au diapason du récit, contemporain et ancré dans le mythe, débordant de symboles.
Voici
Une vraie découverte.
L'Obs
La cinéaste déploie un soin esthétique raffiné faisant parfois de son film un objet un peu trop chic et clinquant pour convaincre complètement. En revanche, lorsque dans la dernière partie, elle déjoue les a priori narratifs pour faire de son héroïne, victime du patriarcat local, une femme border line et névrotique, son récit bascule dans une ambivalence inattendue et séduisante.
Le Figaro
Un beau film.
Le Parisien
Surtout, ce drame au rythme très lent mais aux images magnifiques raconte l’histoire d’un amour qui tente de ne pas étouffer sous le poids de la communauté… Jusqu’à une fin d’une beauté à couper le souffle.
Les Fiches du Cinéma
Mêlant réalité et onirisme, le premier film de R-T. Sy se présente comme un conte visuellement gracieux, mais dont l’histoire peine à captiver.
Les Inrockuptibles
Pour son premier long métrage Ramata-Toulaye Sy met en scène la fusion entre ces deux amoureux·euses, fusion naïve et tendre des premières et vives passions dont il est impossible de concevoir la fin, comme il est impossible d’effacer ce “et”. On sait, on sent pourtant, dès le début, que l’issue sera fatale, qu’il y aura bien une séparation, une brisure, imposée par celles et ceux du village qui voudraient rendre Banel – jeune femme qui se rêve libre – esclave de sa condition féminine et de future épouse, titre qu’elle refuse.
Paris Match
Un récit entre conte cruel immémorial sur le sort réservé aux femmes amoureuses qui refusent de se plier au diktat des hommes et fable écologique contemporaine sur le réchauffement climatique.
Première
Quelques longueurs par ici, des affèteries dispensables par là. Mais surtout un désir de cinéma qui transcende tout cela.
Sud Ouest
Le récit est convenu. Pourtant, on se souviendra de « Banel et Adama », de sa photographie splendide, et de l’interprétation de Khady Mane, impériale en frondeuse amoureuse.
Télé Loisirs
Ce premier film arpente le terrain connu, bien que peu diffusé, d'un certain cinéma africain. Son ambition formelle et l'ambiguïté de ses personnages lui permettent d'en éviter les clichés.
Télérama
Un joli coup d’essai, tourné en langue peule.
aVoir-aLire.com
Si le sujet est éminemment d’actualité s’agissant notamment de la question du réchauffement climatique et du poids du déterminisme culturel au Sénégal, la mise en scène manque un peu de punch et paraît bien timide au regard des enjeux que porte le film.
Cahiers du Cinéma
Les effets formels tout en joliesse publicitaire, initialement en décalage avec la radicalité du personnage, s’avèrent en adéquation avec un propos vague, et les phrases définitives de l’impitoyable Banel finissent par sonner creux.
Critikat.com
Ramata-Toulaye Sy n’a hélas pas grand chose de plus à raconter que l'énième chronique d’un amour empêché – et pas grand-chose d’autre à montrer qu’une suite de vignettes très précieusement composées.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une première œuvre stylisée, visuellement époustouflante, qui peine à se libérer de son formalisme.
La Croix
Monolithique, l’interprétation de Khady Mane n’offre pas beaucoup de nuances à ce personnage central, quasiment de tous les plans.
La Voix du Nord
La stylisation compte beaucoup ici. Au risque de la désincarnation des personnages, nous semble-t-il. Juste une promesse donc. Mais une jolie promesse.
Le Dauphiné Libéré
Banel (performance remarquable de Khady Mane) est un personnage au féminisme moderne, par sa liberté, mais elle échappe aussi à son époque, insaisissable, lointaine comme le récit, dont la maîtrise formelle pétrifie les émotions.
Le Monde
C’est en travaillant sur les couleurs, qui pâlissent, ou sur les sons qui disparaissent, que le film fait son deuil de la félicité. En pente douce, pour ne pas dire de manière un peu lisse.