Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Monde
par Cl. F.
L’idée la plus troublante de Conann consiste à retracer les mues successives de la guerrière féroce, depuis ses 15 ans jusqu’à son dernier jour, à travers six actrices imprimant génialement leur marque. Chaque étape de la vie de Conann ressemble à une mort. « Tuer sa propre jeunesse, tel est le comble de la barbarie. » Un Chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Lelo Jimmy Batista
"Conann" est ce qu’on espérait, un film élégant, délabré, sensuel, putrescent, copulateur, extatique, crispant, lubrique, alourdi d’éléphantiasis, cannibale, germanique et péremptoire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
"Conann" est sans doute l'œuvre la plus aboutie de [Bertrand Mandico], justement parce que le scénario, découpé en segments clairement délimités, permet de conjuguer le meilleur des deux pans de son travail, soit l'ampleur des longs, et le ton insolent et agressifs des courts [...].
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
"Conann", c’est l’histoire humaine jusqu’à nos jours. "Conann", c’est du théâtre somptueux avec quatre euros six sous. Mandico restaure une lignée oubliée du cinéma français, celle de Cocteau, Dulac et autres expérimentateurs sophistiqués.
Cahiers du Cinéma
par Pierre Eugène
Contre le sentiment de continuité qui irrigue toute vie, cette croissance progressive qui fait que l’on change sans savoir, Mandico reconstitue toute la barbarie du coming of age : la violence du reniement, l’oubli plus ou moins décidé de ses convictions d’autrefois, la versatilité cynique où chaque âge a ses raisons et tout pouvoir de trahir son passé.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
L'art de Mandico sort peu à peu de sa chrysalide : ce qui ressemblait à une joliesse à la fois prometteuse et agaçante […] se révèle aujourd'hui comme l'amorce d'un cinéma capable de dépasser ses propres enjeux baroques pour embrasser une réflexion sur la modernité et sur une corporéité capable ou non d'incarner l'abstraction de ses problématiques, passant résolument par le motif de la féminité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
En passant plusieurs genres cinématographiques à la moulinette Mandico les uns après les autres, "Conann" nous montre la beauté morbide d'un art condamné à se cannibaliser. Et une fois de plus, c'est somptueux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Désormais, Conann s’écrit avec deux n et se décline au féminin. En adaptant la saga de Robert E. Howard, le réalisateur signe un film inclassable, iconoclaste. Un objet cinématographique non identifiable des plus réjouissants.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par La rédaction
CONNAN est un véritable volcan en éruption, une centrale électrique qui tourne à vive allure.
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Le dernier rêve de Mandico est ainsi son plus tourmenté, peuplé de succubes, de folies meurtrières, de pactes démoniaques et d’amour impossible. Il laisse cette farouche impression de désordre dans le cœur et dans le ventre, comme la marque qu’une langue de feu noir aurait laissée sur notre peau.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Philippe Rouyer
[...] spectaculaire et décalé.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Baroque, fantasmagorique et follement inventif, le nouveau film de Bertrand Mandico surprend à bien des égards.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Mandico fait du Mandico, follement confiant dans son cinéma. Lequel, parfois, fait des merveilles, et parfois, confine au système.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jérémie Couston
Mandico révèle à l’occasion une facette satirique sur l’art jusqu’alors absente de son univers : l’artiste doit-il accepter toutes les compromissions pour se donner les moyens de créer ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par N. S.
Fait de bric et de broc, le film flamboie visuellement mais quel ennui ! Le décorum tient lieu de mise en scène et rien ne perce de la surface, de ces tableaux clinquants et gore aux dialogues et audaces dignes d’un spectacle de patronage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Damien Leblanc
S’il maîtrise toujours à merveille sa mise en scène et ses images uniques, Mandico peine à captiver durablement avec son fil thématique (ici un portrait métaphorique du capitalisme vorace) et ne recrée pas l’envoûtement des Garçons sauvages, comme si son armure de cinéaste refusait encore de se briser entièrement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Thomas Grignon
Mandico ne parvient pas à sortir de son système en vase clos.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
L’idée la plus troublante de Conann consiste à retracer les mues successives de la guerrière féroce, depuis ses 15 ans jusqu’à son dernier jour, à travers six actrices imprimant génialement leur marque. Chaque étape de la vie de Conann ressemble à une mort. « Tuer sa propre jeunesse, tel est le comble de la barbarie. » Un Chef-d’œuvre.
Libération
"Conann" est ce qu’on espérait, un film élégant, délabré, sensuel, putrescent, copulateur, extatique, crispant, lubrique, alourdi d’éléphantiasis, cannibale, germanique et péremptoire.
Mad Movies
"Conann" est sans doute l'œuvre la plus aboutie de [Bertrand Mandico], justement parce que le scénario, découpé en segments clairement délimités, permet de conjuguer le meilleur des deux pans de son travail, soit l'ampleur des longs, et le ton insolent et agressifs des courts [...].
Transfuge
"Conann", c’est l’histoire humaine jusqu’à nos jours. "Conann", c’est du théâtre somptueux avec quatre euros six sous. Mandico restaure une lignée oubliée du cinéma français, celle de Cocteau, Dulac et autres expérimentateurs sophistiqués.
Cahiers du Cinéma
Contre le sentiment de continuité qui irrigue toute vie, cette croissance progressive qui fait que l’on change sans savoir, Mandico reconstitue toute la barbarie du coming of age : la violence du reniement, l’oubli plus ou moins décidé de ses convictions d’autrefois, la versatilité cynique où chaque âge a ses raisons et tout pouvoir de trahir son passé.
Culturopoing.com
L'art de Mandico sort peu à peu de sa chrysalide : ce qui ressemblait à une joliesse à la fois prometteuse et agaçante […] se révèle aujourd'hui comme l'amorce d'un cinéma capable de dépasser ses propres enjeux baroques pour embrasser une réflexion sur la modernité et sur une corporéité capable ou non d'incarner l'abstraction de ses problématiques, passant résolument par le motif de la féminité.
Ecran Large
En passant plusieurs genres cinématographiques à la moulinette Mandico les uns après les autres, "Conann" nous montre la beauté morbide d'un art condamné à se cannibaliser. Et une fois de plus, c'est somptueux.
L'Humanité
Désormais, Conann s’écrit avec deux n et se décline au féminin. En adaptant la saga de Robert E. Howard, le réalisateur signe un film inclassable, iconoclaste. Un objet cinématographique non identifiable des plus réjouissants.
La Septième Obsession
CONNAN est un véritable volcan en éruption, une centrale électrique qui tourne à vive allure.
Les Inrockuptibles
Le dernier rêve de Mandico est ainsi son plus tourmenté, peuplé de succubes, de folies meurtrières, de pactes démoniaques et d’amour impossible. Il laisse cette farouche impression de désordre dans le cœur et dans le ventre, comme la marque qu’une langue de feu noir aurait laissée sur notre peau.
Positif
[...] spectaculaire et décalé.
aVoir-aLire.com
Baroque, fantasmagorique et follement inventif, le nouveau film de Bertrand Mandico surprend à bien des égards.
Les Fiches du Cinéma
Mandico fait du Mandico, follement confiant dans son cinéma. Lequel, parfois, fait des merveilles, et parfois, confine au système.
Télérama
Mandico révèle à l’occasion une facette satirique sur l’art jusqu’alors absente de son univers : l’artiste doit-il accepter toutes les compromissions pour se donner les moyens de créer ?
L'Obs
Fait de bric et de broc, le film flamboie visuellement mais quel ennui ! Le décorum tient lieu de mise en scène et rien ne perce de la surface, de ces tableaux clinquants et gore aux dialogues et audaces dignes d’un spectacle de patronage.
Première
S’il maîtrise toujours à merveille sa mise en scène et ses images uniques, Mandico peine à captiver durablement avec son fil thématique (ici un portrait métaphorique du capitalisme vorace) et ne recrée pas l’envoûtement des Garçons sauvages, comme si son armure de cinéaste refusait encore de se briser entièrement.
Critikat.com
Mandico ne parvient pas à sortir de son système en vase clos.