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Votre avis sur Sur les chemins noirs ?
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pour moins de dix euros vous pouvez acheter et lire le livre de Tesson. Quand au film c'est un ratage avec une erreur de casting avec un Dujardin peu crédible en randonneur. Loin de la poésie et du souffle du livre, le film n'est qu'une illustration du désir commercial de faire des entrées avec un acteur et un auteur connus. Rien que le style du randonneur fait rire avec sa chemise blanche et sa doudoune en plein cagnard ! Un film pour les urbains qui aiment se prendre pour des baroudeurs. Pleins de clichés (voir le scénes avec la bergère et le paysan ).
Quelle déception! J'attendais ce film avec enthousiasme mais la façon dont l'histoire est traitée empêche d'y rentrer : on reste en spectateur perturbé par une voix off constante et surtout par des flash back toutes les 15 secondes parfois, curieux montage ... C'est comme si on se baladait dans ces paysages superbes et qu'un téléphone sonne constamment... Un drôle de parti pris du metteur en scène, qui gâche plus qu'il n'apporte.... Heureusement Jean Dujardin fait ce qu'il peut pour porter le film et le sauver!
J'aime la randonnée j'aurais pu aimer ce film. Ça s'annonçait bien pourtant....de beaux décors....une histoire qui semblait intéressante... Mais en fait j'ai décroché au bout de 15 minutes. Il ne se passe rien c'est très ennuyeux et très égocentré.
Ce film, qui porte à l'écran le récit éponyme de la renaissance morale et physique de Sylvain Tesson (après une chute qui a failli le tuer ou le laisser paralysé) manque à mon sens deux objectifs majeurs, qu’il vise pourtant : transmettre la grandeur des paysages et une liberté jubilatoire ; faire vivre la grandeur du bonhomme sur son « chemin de croix »... La faute à une certaine littéralité qui vient lisser l’expérience humaine proposée: des paysages trop évidemment beaux (mais sur lesquels la caméra, presque indifférente, glisse sans s’attarder), des bivouacs trop évidemment romantiques (avec l'incontournable feu de camp, à chaque fois!), une voix off qui récite trop de trop belles formules extraites du livre de Tesson,... Au final, on assite et on ne vit pas les choses, on reste spectateur de scènes tièdes. Un film, pour moi, beaucoup trop timide, avec un Dujardin qui semble beaucoup plus habité par le vide que torturé. Tout ça manque de tripes et d’éclat ; je suis ressorti avec le sentiment d’avoir vu un docu sur une GR.
Pratiquant la randonnée depuis très longtemps et appréciant Sylvain Tesson, je suis allée voir le film avec beaucoup d’enthousiasme. Le livre m'avait enchantée. Je suis sortie de là dubitative. Oui les paysages sont beaux, oui le scenario respecte à peu près le déroulé du livre mais il n'y a rien de la légèreté, de l'humour, de l'auto-dérision qui font le charme des livres de Tesson. C'est assez plombant. Le réalisateur insiste sur la difficulté du défit physique et pas sur la rédemption qu'apporte la contemplation de la nature. Et puis il y a trop de flash-back. Pourquoi avoir mis une égérie de service ? Pour le reste les rencontres faites par le héros durant son périple restent dans une écologie convenue et sont pesantes.
Je n'ai pas reconnu le Tesson individualiste, drôle, pessimiste actif dont la philosophie peut se résumer dans ces quelques mots de son livre, "Sur les chemins noirs" : Le passé m'oblige, le présent me guérit, je me fous de l'avenir.
Je n'ai pas reconnu le Tesson individualiste, drôle, pessimiste actif dont la philosophie peut se résumer dans ces quelques mots de son livre, "Sur les chemins noirs" : Le passé m'oblige, le présent me guérit, je me fous de l'avenir.
Lorsque je me remémorerai le film, je ne verrai qu'un homme qui marche. Si j'ai, un jour ou l'autre, l'opportunité de le revoir, j'essaierai de l'éviter. Mon temps est précieux et je ne veux pas le gaspiller. Nous avons tous vécu des histoires personnelles compliquées, mais cela ne justifie pas d'en faire un film. Je n'ai pas trouvé l'universalité qui convient à un spectacle destiné à tous.
J'aime énormément les livres de Sylvain Tesson Et aussi la personne
Le probleme est le choix de l'acteur
Il n'est pas credible ne ressemble pas à un randonneur très blessé
Le probleme est le choix de l'acteur
Il n'est pas credible ne ressemble pas à un randonneur très blessé
Une deception
c'est long, le personnage est antipatique imbu de sa personne
La caricature du parisien qui veut decrire la france profonde,
Le film ne raconte rien et raconte mal le peu de chose qui s'y passe.
c'est long, le personnage est antipatique imbu de sa personne
La caricature du parisien qui veut decrire la france profonde,
Le film ne raconte rien et raconte mal le peu de chose qui s'y passe.
Certainement pas le film que je retiendrai de la filmographie de JDJ. Une histoire certes touchante mais le film est à mon goût trop tourné sur l'aspect philosophique et pas suffisamment sur l'accident, la rééducation et la nouvelle vie qu'il a été contraint d'accepter.
Dommage, on ne peut pas marquer les esprits à chaque fois !
Dommage, on ne peut pas marquer les esprits à chaque fois !
Un film qui se regarde avec légèreté, on s'assoit et l'on contemple de jolis paysages avec quelques dialogues sympathiques.
Le gros problème que j'ai ressenti, c'est que le spectateur n'est pas assez impliqué dans le périple et dans les émotions
et les ressentis du personnage. Je m'explique; le fait de comprendre l'accident aves des flashbacks est bien amené, mais très peu approfondi quant à la douleur, le temps de rééducation et sa difficulté a s'en remettre. Il aura aussi manqué des informations que je trouve nécessaire pour bien suivre et être plus immiscer dans le film, telles que la temporalité lors de cette traversée de la France, mais aussi une carte pour visualiser son avancée.
Pour conclure, le film est comme la scène de la chute du 8ème étage, pas ouf.
Le gros problème que j'ai ressenti, c'est que le spectateur n'est pas assez impliqué dans le périple et dans les émotions
et les ressentis du personnage. Je m'explique; le fait de comprendre l'accident aves des flashbacks est bien amené, mais très peu approfondi quant à la douleur, le temps de rééducation et sa difficulté a s'en remettre. Il aura aussi manqué des informations que je trouve nécessaire pour bien suivre et être plus immiscer dans le film, telles que la temporalité lors de cette traversée de la France, mais aussi une carte pour visualiser son avancée.
Pour conclure, le film est comme la scène de la chute du 8ème étage, pas ouf.
Superficiel, et, surtout, ce qui va avec, inintéressant. Les chemins noirs le restent. Aucune lumière ne vient nous éclairer, à part celles, salvatrices, de la salle de cinéma qui se rallument à la fin du film. Une belle photographie, une réalisation qui tient la route, et un Jean Dujardin bien, par respect duquel on reste jusqu’à la fin, mais dont on se demande comment il a pu accepter un rôle si insipide dans un scénario de si faible envergure.
Je l'ai trouvé très lent, le personnage ne colle pas du tout a Jean Dujardin, on ne voit pas de beau paysage comme on aurai pu s'imaginer... déception totale
On écrit partout que ce film ravira les amateurs de randonnée et de nature. Rien n'est plus faux. Au contraire, c'est presque un manque de respect, tant la mise en scène est fausse, inauthentique et peu crédible.
J'ai apprécié le récit de Tesson, même si l'authenticité affichée n'est qu'un vernis. Peu importe, tant que c'est bien écrit et qu'on y prend plaisir. Mais voilà, ce qu'on peut se permetttre en littérature n'est pas forcément offert au cinéma.
Ici, nous sommes supposés suivre une aventure osée - traverser la France "périphérique", inconnue, en empruntant des "chemins noirs" - une aventure de longue haleine, aléatoire, risquée même pour un homme en convalescence, assortie d'une cartographie hésitante et d'une modernité galopante qui ronge les zones sauvages, tout cela en autonomie et en dormant à la belle étoile. Autant dire, une rando qui ne se destine pas au premier venu. Et justement, notre brave Jean Dujardin national, que j'apprécie par ailleurs, ressemble et agit ici comme le premier venu, comme le promeneur du dimanche.
Son équipement fait rire (au mieux, cela convient pour une journée...), il est toujours propre sur lui. Tout cela manque de sueur ! Pas une goutte de transpiration, si si regardez bien. On nous prend pour des billes. On se croirait dans les années 80 avec des héros qui garde leur permanente même dans le désert (coucou Mad Max dans le Thunderdome). Au moins Predator finissait dans la gadoue...
Et de la France en diagonale, on ne verra finalement que des paysages du Sud, probablement l'image que les parisiens ont de la France "du vide", avec ses haitants forcément rieurs et bon-vivants. Tout cela baigne dans un optimisme lumineux. Un stage dans la Nièvre, l'Allier ou l'Orne permettrait au réalisateur de revenir au réel.
Le film est totalement vide de tout ce qui occupe tout l'esprit du randonneur au long cours : trouver un lieu où dormir, préparer son feu et sa popote, réfléchir à l'itinéraire, etc. Ces activités banales (elles répondent en fait aux besoins primaires) deviennent une monomanie pour le randonneur véritable. Tout ceux qui savent comprendront. Je ne parle pas de la contrainte de devoir emporter sa nourriture et son couchage... Jean Dujardin fait rire avec son petit sac de 20L tout neuf. Sans compter non plus le matériel d'escalade sorti comme par enchantement, probablement de son camel-bag Decat'. Gros LOL, comme disent les vieux.
Film sans saveur, sans sueur, profondément trompeur, qui vend une expérience fantasmée pour un public, évidemment parisien et peu averti. Les mauvaises langues diront : comme les romans de Sylvain Tesson.
PS : Et puis franchement, refuser l'invitation à dormir de la petite vendeuse en pleine montagne, à des kilomètres de tout, faut vraiment être ***, voire même manquer cruellement d'empathie et de solidarité humaine !
J'ai apprécié le récit de Tesson, même si l'authenticité affichée n'est qu'un vernis. Peu importe, tant que c'est bien écrit et qu'on y prend plaisir. Mais voilà, ce qu'on peut se permetttre en littérature n'est pas forcément offert au cinéma.
Ici, nous sommes supposés suivre une aventure osée - traverser la France "périphérique", inconnue, en empruntant des "chemins noirs" - une aventure de longue haleine, aléatoire, risquée même pour un homme en convalescence, assortie d'une cartographie hésitante et d'une modernité galopante qui ronge les zones sauvages, tout cela en autonomie et en dormant à la belle étoile. Autant dire, une rando qui ne se destine pas au premier venu. Et justement, notre brave Jean Dujardin national, que j'apprécie par ailleurs, ressemble et agit ici comme le premier venu, comme le promeneur du dimanche.
Son équipement fait rire (au mieux, cela convient pour une journée...), il est toujours propre sur lui. Tout cela manque de sueur ! Pas une goutte de transpiration, si si regardez bien. On nous prend pour des billes. On se croirait dans les années 80 avec des héros qui garde leur permanente même dans le désert (coucou Mad Max dans le Thunderdome). Au moins Predator finissait dans la gadoue...
Et de la France en diagonale, on ne verra finalement que des paysages du Sud, probablement l'image que les parisiens ont de la France "du vide", avec ses haitants forcément rieurs et bon-vivants. Tout cela baigne dans un optimisme lumineux. Un stage dans la Nièvre, l'Allier ou l'Orne permettrait au réalisateur de revenir au réel.
Le film est totalement vide de tout ce qui occupe tout l'esprit du randonneur au long cours : trouver un lieu où dormir, préparer son feu et sa popote, réfléchir à l'itinéraire, etc. Ces activités banales (elles répondent en fait aux besoins primaires) deviennent une monomanie pour le randonneur véritable. Tout ceux qui savent comprendront. Je ne parle pas de la contrainte de devoir emporter sa nourriture et son couchage... Jean Dujardin fait rire avec son petit sac de 20L tout neuf. Sans compter non plus le matériel d'escalade sorti comme par enchantement, probablement de son camel-bag Decat'. Gros LOL, comme disent les vieux.
Film sans saveur, sans sueur, profondément trompeur, qui vend une expérience fantasmée pour un public, évidemment parisien et peu averti. Les mauvaises langues diront : comme les romans de Sylvain Tesson.
PS : Et puis franchement, refuser l'invitation à dormir de la petite vendeuse en pleine montagne, à des kilomètres de tout, faut vraiment être ***, voire même manquer cruellement d'empathie et de solidarité humaine !
Long très long... beau paysage de belle citation mais de trop nombreuses longueurs. Franchement le senar manque d'action
Je n'ai pas lu le livre donc j'ai découvert l'histoire mais je n'ai pas apprécié les paysages autant que j'aurai voulu .
spoiler:
J'avais l'impression que le protagoniste ne les appréciait pas lui- même. Pourtant quand on arrive en haut d'une colline on est souvent émerveillé mais je n'ai pas ressenti cet émerveillement. Etre capable de faire cela après un accident ce n'est pas donné à tout le monde.
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