AlloCiné
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Votre avis sur Sur les chemins noirs ?
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Bien que j'aime dujardin et la montagne, je n'ai malheureusement pas été en mesure de mener à terme le visionnage de ce film qui s'avère tellement soporifique.
Cela en devient même insupportable, je n'ai cessé de m'endormir. Le personnage qu'incarne Dujardin, un écrivain légèrement condescendant et peu attachant, ne parvient pas à retenir mon intérêt pendant une durée de 1h30 devant l'écran, même si je reconnais qu'il y a de très belles phrases.
Cela en devient même insupportable, je n'ai cessé de m'endormir. Le personnage qu'incarne Dujardin, un écrivain légèrement condescendant et peu attachant, ne parvient pas à retenir mon intérêt pendant une durée de 1h30 devant l'écran, même si je reconnais qu'il y a de très belles phrases.
C'est un film très apaisant : les actions sont lentes, les plans sont longs, la musique est douce, les gens ne crient pas. Et pourtant, le film n'est pas du tout emmerdant.
14/20.
14/20.
C'est une excellente pub Decathlon d'1h30! Plus sérieusement aucun scénario, musique pas terrible, dialogues inintéressants...
Un superbe film qui nous pousse à la marche et à découvrir les beautés inégalées de la campagne française , Jean Dujardin joue très bien son rôle
Un film où il ne se passe rien ... j espérai "comprendre" cet auteur, on se trouve devant un exercice auto-centre d un promeneur dans les montagnes qui s épanche sur son cas ... oui alors enfin bof ! Ce n est pas contre Dujardin, il s efface derrière ce personnage, juste un film très ennuyeux...
Très beau film, sur le fond comme sur la forme. Des paysages magnifiquement filmés. Une très belle histoire. Bref, un film inspirant et inspiré qui invite à prendre du recul. A voir sans modération.
passionné de randonné et adorant jean Dujardin j 'étais quasi sur de passer un bon moment , et pourtant ... :/ c 'est plutôt lent et ennuyeux . Et même la façon dont son filmé les paysages ne sont pas top .... pour connaitres les lieux en question ,'un youtubeur avec un drône aurait probablement réussi de meilleur images ....
L'histoire d'un écrivain alcoolique homosexuel refoulé en crise de la cinquantaine qui préfère le confort de la facilité dans un système qui exploite son ego (romancier) et qui prend conscience de son environnement à la suite d'un accident brutal le soir d'une surconsommation d'alcool (beuveries multiples).
Rien de transcendant mais de beaux paysages une histoire lente et un acting correct.
En résumé on pourrait dire qu'avant son accident, ses relations humaines sont limitées à la facilité et aux relations platoniques avec les hommes, mais plus charnelles avec les femmes insipides faciles et un peu stupides ... c'est le maximum qu'il soutient du genre humain sans aucune exigence. C'est la trame. Il mène une vie égoïste dissoute centrée sur lui-même faite de consommation d'alcool et de relations superficielles jusqu'à ce que la vie le rappelle à l'ordre et le défi qu'il s'impose pour défier le sort.
Un bon moment sans plus si vous aimez Dujardin, moi je trouve qu'il a une tete de c... dont forcément ca fait pas ! .
Rien de transcendant mais de beaux paysages une histoire lente et un acting correct.
En résumé on pourrait dire qu'avant son accident, ses relations humaines sont limitées à la facilité et aux relations platoniques avec les hommes, mais plus charnelles avec les femmes insipides faciles et un peu stupides ... c'est le maximum qu'il soutient du genre humain sans aucune exigence. C'est la trame. Il mène une vie égoïste dissoute centrée sur lui-même faite de consommation d'alcool et de relations superficielles jusqu'à ce que la vie le rappelle à l'ordre et le défi qu'il s'impose pour défier le sort.
Un bon moment sans plus si vous aimez Dujardin, moi je trouve qu'il a une tete de c... dont forcément ca fait pas ! .
Beau film, j'ai fini le livre juste avant de regarder le film et j'ai bien aimé le fait d'entendre en voix off certains passages.
Très belle performance de Jean Dujardin, qui après Novembre confirme qu'il sait très bien nous convaincre dans les rôles drama !
Très belle performance de Jean Dujardin, qui après Novembre confirme qu'il sait très bien nous convaincre dans les rôles drama !
Superbes paysages. Jean Dujardin tout en nuances. On se laisse entrainer par ce film tiré d'une expérience vécue
Ce film est aux images et du cinema Francais, et de Jean Dujardin. Vide et pretentieux. Ca ne raconte rien, ca ne declenche rien. Une multitude de cliches sans interet saupoudres d une voix off sans profondeur. Eh ben bravo.
Quelle déception! J'attendais ce film avec enthousiasme mais la façon dont l'histoire est traitée empêche d'y rentrer : on reste en spectateur perturbé par une voix off constante et surtout par des flash back toutes les 15 secondes parfois, curieux montage ... C'est comme si on se baladait dans ces paysages superbes et qu'un téléphone sonne constamment... Un drôle de parti pris du metteur en scène, qui gâche plus qu'il n'apporte.... Heureusement Jean Dujardin fait ce qu'il peut pour porter le film et le sauver!
On écrit partout que ce film ravira les amateurs de randonnée et de nature. Rien n'est plus faux. Au contraire, c'est presque un manque de respect, tant la mise en scène est fausse, inauthentique et peu crédible.
J'ai apprécié le récit de Tesson, même si l'authenticité affichée n'est qu'un vernis. Peu importe, tant que c'est bien écrit et qu'on y prend plaisir. Mais voilà, ce qu'on peut se permetttre en littérature n'est pas forcément offert au cinéma.
Ici, nous sommes supposés suivre une aventure osée - traverser la France "périphérique", inconnue, en empruntant des "chemins noirs" - une aventure de longue haleine, aléatoire, risquée même pour un homme en convalescence, assortie d'une cartographie hésitante et d'une modernité galopante qui ronge les zones sauvages, tout cela en autonomie et en dormant à la belle étoile. Autant dire, une rando qui ne se destine pas au premier venu. Et justement, notre brave Jean Dujardin national, que j'apprécie par ailleurs, ressemble et agit ici comme le premier venu, comme le promeneur du dimanche.
Son équipement fait rire (au mieux, cela convient pour une journée...), il est toujours propre sur lui. Tout cela manque de sueur ! Pas une goutte de transpiration, si si regardez bien. On nous prend pour des billes. On se croirait dans les années 80 avec des héros qui garde leur permanente même dans le désert (coucou Mad Max dans le Thunderdome). Au moins Predator finissait dans la gadoue...
Et de la France en diagonale, on ne verra finalement que des paysages du Sud, probablement l'image que les parisiens ont de la France "du vide", avec ses haitants forcément rieurs et bon-vivants. Tout cela baigne dans un optimisme lumineux. Un stage dans la Nièvre, l'Allier ou l'Orne permettrait au réalisateur de revenir au réel.
Le film est totalement vide de tout ce qui occupe tout l'esprit du randonneur au long cours : trouver un lieu où dormir, préparer son feu et sa popote, réfléchir à l'itinéraire, etc. Ces activités banales (elles répondent en fait aux besoins primaires) deviennent une monomanie pour le randonneur véritable. Tout ceux qui savent comprendront. Je ne parle pas de la contrainte de devoir emporter sa nourriture et son couchage... Jean Dujardin fait rire avec son petit sac de 20L tout neuf. Sans compter non plus le matériel d'escalade sorti comme par enchantement, probablement de son camel-bag Decat'. Gros LOL, comme disent les vieux.
Film sans saveur, sans sueur, profondément trompeur, qui vend une expérience fantasmée pour un public, évidemment parisien et peu averti. Les mauvaises langues diront : comme les romans de Sylvain Tesson.
PS : Et puis franchement, refuser l'invitation à dormir de la petite vendeuse en pleine montagne, à des kilomètres de tout, faut vraiment être ***, voire même manquer cruellement d'empathie et de solidarité humaine !
J'ai apprécié le récit de Tesson, même si l'authenticité affichée n'est qu'un vernis. Peu importe, tant que c'est bien écrit et qu'on y prend plaisir. Mais voilà, ce qu'on peut se permetttre en littérature n'est pas forcément offert au cinéma.
Ici, nous sommes supposés suivre une aventure osée - traverser la France "périphérique", inconnue, en empruntant des "chemins noirs" - une aventure de longue haleine, aléatoire, risquée même pour un homme en convalescence, assortie d'une cartographie hésitante et d'une modernité galopante qui ronge les zones sauvages, tout cela en autonomie et en dormant à la belle étoile. Autant dire, une rando qui ne se destine pas au premier venu. Et justement, notre brave Jean Dujardin national, que j'apprécie par ailleurs, ressemble et agit ici comme le premier venu, comme le promeneur du dimanche.
Son équipement fait rire (au mieux, cela convient pour une journée...), il est toujours propre sur lui. Tout cela manque de sueur ! Pas une goutte de transpiration, si si regardez bien. On nous prend pour des billes. On se croirait dans les années 80 avec des héros qui garde leur permanente même dans le désert (coucou Mad Max dans le Thunderdome). Au moins Predator finissait dans la gadoue...
Et de la France en diagonale, on ne verra finalement que des paysages du Sud, probablement l'image que les parisiens ont de la France "du vide", avec ses haitants forcément rieurs et bon-vivants. Tout cela baigne dans un optimisme lumineux. Un stage dans la Nièvre, l'Allier ou l'Orne permettrait au réalisateur de revenir au réel.
Le film est totalement vide de tout ce qui occupe tout l'esprit du randonneur au long cours : trouver un lieu où dormir, préparer son feu et sa popote, réfléchir à l'itinéraire, etc. Ces activités banales (elles répondent en fait aux besoins primaires) deviennent une monomanie pour le randonneur véritable. Tout ceux qui savent comprendront. Je ne parle pas de la contrainte de devoir emporter sa nourriture et son couchage... Jean Dujardin fait rire avec son petit sac de 20L tout neuf. Sans compter non plus le matériel d'escalade sorti comme par enchantement, probablement de son camel-bag Decat'. Gros LOL, comme disent les vieux.
Film sans saveur, sans sueur, profondément trompeur, qui vend une expérience fantasmée pour un public, évidemment parisien et peu averti. Les mauvaises langues diront : comme les romans de Sylvain Tesson.
PS : Et puis franchement, refuser l'invitation à dormir de la petite vendeuse en pleine montagne, à des kilomètres de tout, faut vraiment être ***, voire même manquer cruellement d'empathie et de solidarité humaine !
Des paysages magnifiques, un Jean Dujardin habité par son rôle, une histoire simple, mais poignante ... Un bon film !
Hommage réussi aux diverses beautés de nos paysages nationaux, le récit questionne notre rapport à la nature, à ce qui se nomme civilisation et surtout à notre sève propre. Un sympathique panel de comédiens entoure un Jean Dujardin investi - quoi que la langue littéraire de Sylvain Tesson raisonne avec moins de naturel à l'oral. Sans fidélité absolue, cette adaptation conserve l'essence d'un livre offrant les pensées intimes d'un homme désireux de se remettre en marche dans sa propre vie, de renouer avec ses aspirations et son élan existentiel. Nécessairement contemplative puisque le cheminement est intérieur, la mise en scène se dynamise avec les analepses judicieusement insérées dans la narration. Un joli retour sur soi.
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