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Votre avis sur Sur les chemins noirs ?
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Finalement proche de " into the wild", " sur les chemins noirs" adaptation d'un recit de S.Tesson, ravira les amoureux des grands espaces, de la randonnee et aussi de la philosophie existentielle.
Les citations qui bercent le film se marient aux images et a cette aventure situee dans les contrees eloignees du progres.
Le resultat final n'etait pas gagne d'avance et le cineaste parvient a susciter une grande emotion.
Napoleon diisait qu'il y avait deux types d'homme, ceux qui commandent et ceux qui obeissent. Il y en a peut etre un troisieme : ceux qui preferent la fuite
" sur les chemins..." renvoit aux ecrits de Bruce Chatwin, du nomadisme et seduira les etres qui se reconnaissent dans le troisieme type ; celui qui ne faisait pas partie de l'univers mental de l'Empereur.
Les citations qui bercent le film se marient aux images et a cette aventure situee dans les contrees eloignees du progres.
Le resultat final n'etait pas gagne d'avance et le cineaste parvient a susciter une grande emotion.
Napoleon diisait qu'il y avait deux types d'homme, ceux qui commandent et ceux qui obeissent. Il y en a peut etre un troisieme : ceux qui preferent la fuite
" sur les chemins..." renvoit aux ecrits de Bruce Chatwin, du nomadisme et seduira les etres qui se reconnaissent dans le troisieme type ; celui qui ne faisait pas partie de l'univers mental de l'Empereur.
Très bon film Jean Dujardin est comme d habitude simple juste efficace. Les paysages sont magnifiques et on se laisse baisser par le récit de Sylvain Tesson. Bravo de l avoir mis en lumière.
Un très bon film ... si on a pas lu le livre dont est inspiré l histoire. Sinon bien sur on ne peut que conseiller de découvrir l'oeuvre originale afin d apprécier pleinement la pensée de Sylvain Tesson. Bref un film a voir mais encore plus un livre a lire. !
De Denis Imbert avec Jean Dujardin, adapté du roman autobiographique de Sylvain Tesson.
🥾 Avec la polémique sur les accointances de certains auteurs (Houellebecq, Moix, Tesson) avec l'extrême droite, avec Brice de Nice en tête d'affiche, avec un sujet pas vraiment glamour (les ampoules aux pieds), avec quelques propos franchouillards sur la bravitude de nos campagnes, le film a tout pour recueillir les plus mauvaises critiques.
Mais voilà, ça cause de marche à pied ... alors on chausse les bâtons et on y va.
Pour finalement découvrir un petit film qui s'avère un agréable moment de cinéma : Denis Imbert et Jean Dujardin ont su s'affranchir du narcissisme nombrilique de Tesson et ont réussi un film sur la marche au long cours.
La fameuse diagonale du vide qui traverse nos territoires, 1300 km du sud au nord sur les chemins de traverse (les petits traits noirs des cartes IGN), loin des voies de communication et loin de la plupart des hommes.
Une marche douloureuse, solitaire, répétitive qui rappelle beaucoup celle de Raynor et Moth Winn que l'on vient tout juste de lire sur Le chemin de sel.
Bien sûr il y a un peu de texte en voix off : du Tesson pour jus avec parfois de belles formules (ne pas entrer dans l'histoire mais se perdre dans la géographie) mais aussi de lourdes et prétentieuses sentences, c'est du Tesson dans le texte, mais là encore, Denis Imbert ne se laisse pas envahir.
Bref, un agréable moment.
🥾 Avec la polémique sur les accointances de certains auteurs (Houellebecq, Moix, Tesson) avec l'extrême droite, avec Brice de Nice en tête d'affiche, avec un sujet pas vraiment glamour (les ampoules aux pieds), avec quelques propos franchouillards sur la bravitude de nos campagnes, le film a tout pour recueillir les plus mauvaises critiques.
Mais voilà, ça cause de marche à pied ... alors on chausse les bâtons et on y va.
Pour finalement découvrir un petit film qui s'avère un agréable moment de cinéma : Denis Imbert et Jean Dujardin ont su s'affranchir du narcissisme nombrilique de Tesson et ont réussi un film sur la marche au long cours.
La fameuse diagonale du vide qui traverse nos territoires, 1300 km du sud au nord sur les chemins de traverse (les petits traits noirs des cartes IGN), loin des voies de communication et loin de la plupart des hommes.
Une marche douloureuse, solitaire, répétitive qui rappelle beaucoup celle de Raynor et Moth Winn que l'on vient tout juste de lire sur Le chemin de sel.
Bien sûr il y a un peu de texte en voix off : du Tesson pour jus avec parfois de belles formules (ne pas entrer dans l'histoire mais se perdre dans la géographie) mais aussi de lourdes et prétentieuses sentences, c'est du Tesson dans le texte, mais là encore, Denis Imbert ne se laisse pas envahir.
Bref, un agréable moment.
On attend toujours une réincarnation littéraire dans une adaptation de roman.
Ainsi une certaine presse s’acharne à comparer une sortie cinéma issue d’un livre éponyme.
Et au lieu d’en souligner sa lecture cinématographique originale, elle le réduit à la pâle copie d’une histoire réservée à une élite de lecteurs.
On pourrait ainsi comparer peinture et musique danse de rue et opéra ….bref encore deux arts dont le point commun réside dans le titre et semble semer la discorde quand il devient accessible et populaire.
Sylvain Tesson est l’auteur de Sur les chemins noirs, il a participé à la réalisation de ce film librement adapté de son livre.
Il y est d’ailleurs présent dans une très belle scène du film où il lègue son témoignage à Jean Dujardin qui entame les chemins de cette diagonale du vide.
L’idée est simple et cette aventure humaine de reconstruction tant physique que psychique n’a que faire de quelques états d’âme de critiques frustrés de voir échapper cette œuvre dont ils pensaient qu’elle resterait confidentielle.
J’ai beaucoup aimé ce film qui donne envie de lire ce livre.
Le cinéma de Denis Imbert nous réserve ainsi cette magie de l’image et ce désir d’emprunter même partiellement cette route semée d’introspection et de dépassement de soi.
Le but est atteint que l’on soit spectateur ou acteur.
Ainsi une certaine presse s’acharne à comparer une sortie cinéma issue d’un livre éponyme.
Et au lieu d’en souligner sa lecture cinématographique originale, elle le réduit à la pâle copie d’une histoire réservée à une élite de lecteurs.
On pourrait ainsi comparer peinture et musique danse de rue et opéra ….bref encore deux arts dont le point commun réside dans le titre et semble semer la discorde quand il devient accessible et populaire.
Sylvain Tesson est l’auteur de Sur les chemins noirs, il a participé à la réalisation de ce film librement adapté de son livre.
Il y est d’ailleurs présent dans une très belle scène du film où il lègue son témoignage à Jean Dujardin qui entame les chemins de cette diagonale du vide.
L’idée est simple et cette aventure humaine de reconstruction tant physique que psychique n’a que faire de quelques états d’âme de critiques frustrés de voir échapper cette œuvre dont ils pensaient qu’elle resterait confidentielle.
J’ai beaucoup aimé ce film qui donne envie de lire ce livre.
Le cinéma de Denis Imbert nous réserve ainsi cette magie de l’image et ce désir d’emprunter même partiellement cette route semée d’introspection et de dépassement de soi.
Le but est atteint que l’on soit spectateur ou acteur.
Merveilleux film merveilleux interpretes et les decors splendides. Jean Dujardin est exceptionnel. Bonne continuation.
C'est avec grand plaisir que je recommande ce film. Mêlant de magnifiques paysages français à une formidable histoire, je suis ressorti avec l'envie de faire la même chose.
Belle prestation de Jean Dujardin .. tout en sobriété .. fan de Sylvain Tesson .. j'ai trouvé ce chemin initiatique très tendre finalement malgré une grande intériorité..
la nature nous permet de nous évader dans cette France si belle et di sauvage parfois
la nature nous permet de nous évader dans cette France si belle et di sauvage parfois
Jean Dujardin est un grand acteur
Ces chemins noirs sont enchanteurs et émouvants
Une pépite
La bande originale contribue
Ces chemins noirs sont enchanteurs et émouvants
Une pépite
La bande originale contribue
JEAN Dujardin interprète magnifiquement ce film Beaucoup de sensibilite et d'interiorité un homme a la fois solitaire et sociable qui se nourrit de bonheurs simples et d'affection authentique Un voyage français avec des paysages epoustouflants. De belles références littéraires
Une adaptation qui présente de belles images, servie par une bonne distribution. Ce film manque un peu d energie et de souffle en regard du dynamisme de Sylvain Tesson et de sa reconstruction.
Très bon film retranscrit très bien le livre de Sylvain tesson une belle ambiance de randonnée dans toute la France
Ayant eu la meme histoire je ne suis pas arrivé à rentrer dans le film, le retour à la marche, aligner un pas aprés l'autre, surmonter la douleur, le soufle retrouver le souffle tout cela n'apparait pas vraiment dans le film.
Tout les retours en arriere n'améne rien au recit, des phrases toutes faites alignées de ci de la,
je suis resté à quai.
Tout les retours en arriere n'améne rien au recit, des phrases toutes faites alignées de ci de la,
je suis resté à quai.
Ce film, qui porte à l'écran le récit éponyme de la renaissance morale et physique de Sylvain Tesson (après une chute qui a failli le tuer ou le laisser paralysé) manque à mon sens deux objectifs majeurs, qu’il vise pourtant : transmettre la grandeur des paysages et une liberté jubilatoire ; faire vivre la grandeur du bonhomme sur son « chemin de croix »... La faute à une certaine littéralité qui vient lisser l’expérience humaine proposée: des paysages trop évidemment beaux (mais sur lesquels la caméra, presque indifférente, glisse sans s’attarder), des bivouacs trop évidemment romantiques (avec l'incontournable feu de camp, à chaque fois!), une voix off qui récite trop de trop belles formules extraites du livre de Tesson,... Au final, on assite et on ne vit pas les choses, on reste spectateur de scènes tièdes. Un film, pour moi, beaucoup trop timide, avec un Dujardin qui semble beaucoup plus habité par le vide que torturé. Tout ça manque de tripes et d’éclat ; je suis ressorti avec le sentiment d’avoir vu un docu sur une GR.
De magnifiques paysages qui donnent envie de chausser ses pataugas et de partir immédiatement mais c'est à peu près tout... Jean Dujardin sonne juste mais en fait de rencontres il n'y en a pas vraiment et la réflexion sur la solitude reste très superficielle. On s'attendait à plus en voyant la bande annonce. Dommage.
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