Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Closer
par J.B.
Chacun trouvera un écho dans ce périple réussi sur la réparation.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Cette lecture en images a ses vertus, elle inspire le courage et l'endurance.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film épuré et juste.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Denis Imbert adapte librement le récit de Sylvain Tesson écrit après son grave accident. Et offre à Jean Dujardin un rôle d’une grande puissance.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Le film est d’abord une très belle méditation visuelle, loin des routes, où Dujardin donne corps à un homme blessé, diminué, qui cherche à reconstituer le sien.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Au bout de ce voyage, il y a tout simplement un homme qui se plaît à "disparaître dans la géographie", et un acteur qui se plaît à s'y régénérer.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Ce sont le calme monacal des paysages qu’il parcourt, l’interprétation sobre de Dujardin et les mots de Tesson comme compagnons, qui emportent le morceau, et nous avec.
L'Obs
par S. G.
Les aphorismes de Tesson, qui peut citer Napoléon, pourront en irriter certains, mais Dujardin et ses guests d’étape (Duperey, Zaccaï, Higelin) sont bien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Jean Dujardin parvient cependant à nous émouvoir dans les moments difficiles et à nous faire partager son émerveillement devant cette nature encore sauvage où il a choisi de se perdre, et peut-être de se retrouver.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On se laisse happé par la contemplation d’une nature plus belle qu’hostile, un temps qui s’écoule à un autre rythme et des flashbacks qui rappellent que rien ne sera plus comme avant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télé 2 semaines
par Mathilde Aubry
Contemplative et parfois poseuse, cette fuite en avant touche mais manque un peu d'ambition.
Télé Loisirs
par M.Au.
Contemplative, cette fuite en avant touche mais manque d'ambition.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si le film est fidèle à Sylvain Tesson, il passe à côté de sa reconstruction physique après un grave accident, un des thèmes au cœur du texte.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Beauté des horizons, modestie du voyage intérieur, mais aussi flash-back superflus et voix off parfois envahissante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Véronique Cauhapé
De même, l’usage régulier des flash-back (une fête, une rencontre amoureuse, la chute, le lit d’hôpital…) a pour fâcheux effet de rompre le rythme (lent) de la marche et de remplir le vide miraculeux des sentiers évoqués par l’auteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Librement adapté du roman du même nom de Sylvain Tesson, Sur les chemins noirs se révèle creux et superficiel tant dans sa forme que dans son fond.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Frédéric Strauss
Au bout du voyage, Dujardin, malgré l’élan qu’il donne, est un peu seul avec son émotion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si Jean Dujardin ne lésine pas sur les efforts pour rendre crédible et sensible cette marche d’un homme abîmé à travers la France, le film ne parvient pas à dépasser le sentiment d’un reportage touristique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Théo Ribeton
Dans la peau de Sylvain Tesson (...) Dujardin en fait des tonnes sur le mode de “l’écrivain-aventurier” hemingwayen à cigares et regards noyés dans l’horizon, s’abandonne à des aphorismes de haute volée, cite Thoreau au coin du feu, éconduit poliment des bergères émoustillées par son érudition virile, bref, se la joue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Closer
Chacun trouvera un écho dans ce périple réussi sur la réparation.
Femme Actuelle
Cette lecture en images a ses vertus, elle inspire le courage et l'endurance.
Le Dauphiné Libéré
Un film épuré et juste.
Le Figaro
Denis Imbert adapte librement le récit de Sylvain Tesson écrit après son grave accident. Et offre à Jean Dujardin un rôle d’une grande puissance.
Le Parisien
Le film est d’abord une très belle méditation visuelle, loin des routes, où Dujardin donne corps à un homme blessé, diminué, qui cherche à reconstituer le sien.
Le Point
Au bout de ce voyage, il y a tout simplement un homme qui se plaît à "disparaître dans la géographie", et un acteur qui se plaît à s'y régénérer.
Télé 7 Jours
Ce sont le calme monacal des paysages qu’il parcourt, l’interprétation sobre de Dujardin et les mots de Tesson comme compagnons, qui emportent le morceau, et nous avec.
L'Obs
Les aphorismes de Tesson, qui peut citer Napoléon, pourront en irriter certains, mais Dujardin et ses guests d’étape (Duperey, Zaccaï, Higelin) sont bien.
La Croix
Jean Dujardin parvient cependant à nous émouvoir dans les moments difficiles et à nous faire partager son émerveillement devant cette nature encore sauvage où il a choisi de se perdre, et peut-être de se retrouver.
Le Journal du Dimanche
On se laisse happé par la contemplation d’une nature plus belle qu’hostile, un temps qui s’écoule à un autre rythme et des flashbacks qui rappellent que rien ne sera plus comme avant.
Télé 2 semaines
Contemplative et parfois poseuse, cette fuite en avant touche mais manque un peu d'ambition.
Télé Loisirs
Contemplative, cette fuite en avant touche mais manque d'ambition.
Franceinfo Culture
Si le film est fidèle à Sylvain Tesson, il passe à côté de sa reconstruction physique après un grave accident, un des thèmes au cœur du texte.
La Voix du Nord
Beauté des horizons, modestie du voyage intérieur, mais aussi flash-back superflus et voix off parfois envahissante.
Le Monde
De même, l’usage régulier des flash-back (une fête, une rencontre amoureuse, la chute, le lit d’hôpital…) a pour fâcheux effet de rompre le rythme (lent) de la marche et de remplir le vide miraculeux des sentiers évoqués par l’auteur.
Les Fiches du Cinéma
Librement adapté du roman du même nom de Sylvain Tesson, Sur les chemins noirs se révèle creux et superficiel tant dans sa forme que dans son fond.
Télérama
Au bout du voyage, Dujardin, malgré l’élan qu’il donne, est un peu seul avec son émotion.
aVoir-aLire.com
Si Jean Dujardin ne lésine pas sur les efforts pour rendre crédible et sensible cette marche d’un homme abîmé à travers la France, le film ne parvient pas à dépasser le sentiment d’un reportage touristique.
Première
Dans la peau de Sylvain Tesson (...) Dujardin en fait des tonnes sur le mode de “l’écrivain-aventurier” hemingwayen à cigares et regards noyés dans l’horizon, s’abandonne à des aphorismes de haute volée, cite Thoreau au coin du feu, éconduit poliment des bergères émoustillées par son érudition virile, bref, se la joue.