7 chapitres dont 6 dédiés à la vengeance de "Casque d'Or" (ISAAZ). Chaque chapitre a son annonce musicale pour la plupart anachronique (Johnny Hallyday, Philippe LAVIL, Lollypop,...). Des séquences cinématographiques se succèdent sans trop de lien ni de cohérence (archives de la Belle Epoque, apparitions de Sarah Bernardt, un N&B muet sur une tuerie commise par les Apaches à l'exposition universelle de 1907). Et puis des sottises inutiles : apparition d'un bison, animation onirique, 2ème roulette russe pas logique, assassinat de commissaire en public, animation d'un portrait, religieuse qui accepte sans mot dire d'être poignardée, très gros plans, ralentis, ... ARTUS est excellent à contre-emploi, de même que PARADOT en amoureux transi. SCHNEIDER est coiffé bizarrement par rapport à l'époque mais joue bien son rôle de chef voyou... Et bravo pour les décors, les costumes et la photographie,... Dommage qu'il y ait toutes ces pertes de cohérence...
Un navet intersidéral ! Déjà l'affiche ressemble à un film de Kev Adams et tout est à jeter, acteurs, costumes, décors (la Tour Eiffel omniprésente) et cette mode que je croyais disparue, la musique moderne hors époque, le film commence sur Iggy Pop quand même ! Le ridicule à tous les étages qui donne la nausée, ouvrez la poubelle !!!
Tôt ou tard, on s'attendait à voir apparaitre de mauvais copycats des Peaky Blinders. En voici un ! Qui cherche par son esthétique de carton pâte à masquer son néant scénaristique et la médiocrité de sa direction d'acteurs. Le talent, ça s'apprend, mais pas en singeant, mal, le travail des autres par faute d'imagination et d’exigence. La seule chose à retenir de ce film c'est... le vide abyssal de la caractérisation, l'absence totale de background ou d'exposition de la réalité des conditions de vies à cette époque qui a donné naissance à ces "apaches". Film à oublier, sinon : à éviter.
Waoooo, que dire ? Ce film est quasiment parfait je ne vois pas ce qu’on pourrait y rajouter pour l’améliorer. On est plongé dans ce Paris du début du siècle dernier. L’histoire, le décor, les personnages, le jeu d’acteurs, le découpage du film…tout est bon
Film révélation, TOUT est réussi ! L'histoire, le scénario, les dialogues, la réalisation, le casting, les personnages, les décors... TOUT. Mentions spéciales, d'avoir diviser le film en plusieurs chapitres et aux passages en noir et blanc qui sont une claque visuelle ! Cela faisait très longtemps que je n'avais pas ressenti l'envie de retourner voir un film une deuxième fois, merci Apaches.
Apaches. Une époque sans pitié, sans congés payés, sans couverture médicale, sans arrêts maladie bidon. Le film en lui-même est noyé par une photographie pas top et des scènes ternes. Deux étoiles et demie.
Et ben, comme d'habitude, les critiques n'y vont pas de mains mortes. Ce film est pourtant méritant (comme le dernier voyage), c'est esthétique, c'est bien joué, l'écriture des personnages est, pour moi à la hauteur. Peut-être qu'on aimerait un peu plus de panache (comme le dernier voyage) pour qu'il ressemble à ses aînés et ses références.
Mais dois-je vous rappeler ce que le cinéma coûte (surtout pour un film d'époque). Comme souvent, les films français, dès que ça sort de la comédie franchouillarde ou du film d'auteur, souffrent trop de la comparaison avec le cinéma américain. J'espère qu'il se vendra mieux à l'étranger...
Dans ce film il y a la forme et le fond. La forme est de très bonne facture. Images, couleurs, son, montage, effets spéciaux sont très bons. Concernant le fond, le scénario est aussi épais qu'une feuille de cigarette, les dialogues sont parfois peu convainquant. Et il y a de nombreuses invraisemblances. Alice Isaaz en fait souvent un peu trop, Niels Schneider manque de charisme (dans un rôle de méchant), Artus est beaucoup trop gentil pour son rôle. Finalement l'actrice qui a un super charisme est la jeune Chloé Peillex qui joue le rôle d'Alice Isaaz jeune. Dommage qu'on ne la voit pas très longtemps. Avec un scénario un peu mieux travaillé ce film aurait été plus mémorable.
Honnêtement ce film est une révélation, j'ai toujours été fan de films américains et négligeant les films français parceque je trouvais qu'ils n'avaient pas de créativité. Mais après ce film son décor réussi qui dès le début vous plonge dans l'atmosphère même de la France des années 1900, franchement je suis bluffé par un tel talent, s'il ne fallait juger que le décor je donnerai directement une note de 5/5. Maintenant il ya aussi le scénario, les acteurs, l'histoire. Pour ma part tout es réussi mais l'histoire est très logique et j'ai quelques peu aimé le suspense qui ya reigné pendant un moment mais pas d'émotion forte. Même les scènes d'émotion du film ne plongent pas le spectateur dans l'émotion, pour moi c'était beaucoup superficielle.
Malgré un casting alléchant, ce film frise parfois la parodie, son scénario est à la peine et reste toujours trop en surface, à l'image de ses dialogues faméliques.
Muni de décors bien reconstitués (notamment ceux du Paris de 1889, en pleine exposition universelle), de protagonistes ayant véritablement existé (Sarah Bernhardt), de beaux costumes, ainsi que doté d’acteurs très bons (dont Artus et Niels Schneider, tous deux utilisés à contre-emploi), « Apaches » souffre néanmoins d’un scénario malingre (une simple histoire de vengeance s’étalant sur quinze ans) et de personnages (hormis le curé interprété par le toujours très bon Bruno Lochet) peu empathiques car pas très bien brossés, nuisant grandement à l’ensemble. Pourtant, voir le Paname de 1900 avec ses anarchistes, ses prostitués et ses progrès fulgurants n’était pas dénué d’un certain intérêt il faut le dire, mais c’est juste le script qui pêchait un peu car pas assez développé !
De bonnes idées mais très mal exécutées, que ce soit dans les mouvements de caméras, comme dans le senarios, on ne traite rien en profondeur, on passe en revue tout très vite, c'est presque bâclé
J'étais pourtant de bonne composition et les premières images étaient plutôt encourageantes; mais après le générique, pourtant fort bien fait, rien ne va plus dans cette histoire si peu crédible et dont on se demande comment elle a pu convaincre des producteurs...
Après la science-fiction (Le Dernier Voyage), Romain Quirot s'attaque aux gangsters durant la Belle Epoque à Paris. Après avoir vu son frère se faire tuer enfant, Billie intègre le gang des années plus tard pour se venger mais devient de plus en plus fascinée par celui qui est à la tête du groupe. Dans une mise en scène soignée, une musique qui décape et des costumes honorables, "Apaches" est un film de bonne facture. Néanmoins, le scénario se veut surtout démonstratif et pêche du côté de ses dialogues.