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FaRem
Deux adolescents placés dans un foyer décident de prendre leur liberté et de partir vivre dans la forêt, là où ils ne pourront pas être abandonnés comme par le passé... Ce vaste environnement devient alors leur zone de confort et le symbole de leur passage à l'âge adulte. "Le coeur noir des forêts" s'articule en trois parties qui permettent de voir l'histoire sous un autre angle, pour les deux premières parties du moins. Serge Mirzabekiantz maintient une certaine distance avec les personnages qui sont très réservés et pas spécialement bavards, mais on va dire que c'est leur manière d'être après tout ce qu'ils ont vécu. Leur relation ambiguë est quand même intrigante, car on ne sait pas comment elle va tourner et si cette union de circonstance va durer. Là où je suis resté sur ma faim, c'est concernant l'utilisation du cadre qui est sous-exploité. Il y a une volonté de créer une ambiance inquiétante et onirique au sein de cet environnement, mais cela ne fonctionne jamais. D'ailleurs, je n'ai pas eu l'impression d'être dans cette forêt alors que la majorité du film s'y passe... Bref, un petit film qui est pas mal bien que j'aurais aimé être plus transporté et touché par cette histoire.
Une véritable claque !
A l'heure ou l'on prône l'avortement à tout bout de champs, ce film Respire la Vie.
Ce film est une célébration de la Vie, de la Paternité, de la Maternité, de la Conception et de l'Acceptation.
Mes respects, Merci la fine équipe de tournage pour ce film courageux et Digne.
A l'heure ou l'on prône l'avortement à tout bout de champs, ce film Respire la Vie.
Ce film est une célébration de la Vie, de la Paternité, de la Maternité, de la Conception et de l'Acceptation.
Mes respects, Merci la fine équipe de tournage pour ce film courageux et Digne.
Rien à rattraper : l'ennui total !
Deux ados paumés fuguent en forêt et se retrouvent à 3.
Le scénario n'a aucun intérêt, les acteurs et les images non plus : une forêt sombre comme le coeur des deux adolescents .... mouais bof.
Deux ados paumés fuguent en forêt et se retrouvent à 3.
Le scénario n'a aucun intérêt, les acteurs et les images non plus : une forêt sombre comme le coeur des deux adolescents .... mouais bof.
Si vous aimez les images de forêts sombres, vous allez adorer!
Cette fugue d'ados à 2 qui finira peut-être à 3 est désespérante : noirceurs dans leurs coeurs d'ados paumés rebelles, images à la nuit tombée ou dans les chaumières mal éclairées par des bougies, sous-bois sans lumière allusifs d'esprits tourmentés,....
Noir c'est noir! Les déprimés fuyez!
Cette fugue d'ados à 2 qui finira peut-être à 3 est désespérante : noirceurs dans leurs coeurs d'ados paumés rebelles, images à la nuit tombée ou dans les chaumières mal éclairées par des bougies, sous-bois sans lumière allusifs d'esprits tourmentés,....
Noir c'est noir! Les déprimés fuyez!
un supplice. c'est mou, c'est long. le jeu d'acteur complément raté. j'ai eu beaucoup de mal à arriver au bout.
Que le début est long
2 ados paumes vont s enfuir d un foyer de jeunes délinquants pour se réfugier dans une forêt. On sort le manuel de survie en mode castor Junior .L intrigue est sans suspens mais rester 1:48 pour voir la fin qui se devine au bout d une heure c est perdre son temps
2 ados paumes vont s enfuir d un foyer de jeunes délinquants pour se réfugier dans une forêt. On sort le manuel de survie en mode castor Junior .L intrigue est sans suspens mais rester 1:48 pour voir la fin qui se devine au bout d une heure c est perdre son temps
traversay1
Dans Le cœur noir des forêts, tout est question d'alchimie. Tout d'abord entre les deux jeunes comédiens principaux du premier long-métrage du Bruxellois Serge Mirzabekiantz, Elsa Houben et Quito Rayon Richter, qui ont à interpréter un nombre important de scènes à deux, y compris certaines très délicates. Sans être le point fort du film, la première a beaucoup plus d'expérience que le second, qui était novice au moment du tournage, et cela se voit, leur couple fonctionne de mieux en mieux au fil des minutes. L'autre alchimie concerne les deux styles opposés du récit : réaliste quand il s'agit des séquences au foyer pour jeunes mineurs ; onirique pour toutes les scènes au fond des bois qui s'éloignent peu ou prou de la vraisemblance. Quant à la forêt, elle constitue clairement le troisième personnage essentiel du film, à la fois protectrice et inquiétante, dont le caractère mystérieux est rehaussé par la qualité des prises de vue. Cette histoire,
spoiler:
autour de la jeune parentalité, du passage à l'âge adulte et de la construction de sa propre famille, à l'écart des schémas traditionnels
, s'enferme peut-être trop dans sa logique intrinsèque, en négligeant le regard de son environnement et les conséquences des choix radicaux de ses deux héros, mais c'est un choix narratif fort qui se respecte et qui témoigne d'une sensibilité avérée. Il y manque cependant un petit quelque chose pour que l'émotion soit pleinement au rendez-vous.
, s'enferme peut-être trop dans sa logique intrinsèque, en négligeant le regard de son environnement et les conséquences des choix radicaux de ses deux héros, mais c'est un choix narratif fort qui se respecte et qui témoigne d'une sensibilité avérée. Il y manque cependant un petit quelque chose pour que l'émotion soit pleinement au rendez-vous.
Même si le scénario manque cruellement de rebondissement et est finalement prévisible, on se laisse prendre au jeu de cette histoire humaine. Le cœur noir des forets évoque 2 jeunes en manque de repère qui tentent de se projeter à travers un projet commun : "avoir un enfant ensemble" alors que rien ne les relie si ce n'est l'abandon.
Guillaume
"Le Cœur Noir des forêts" est un film reposant essentiellement sur sa mise en scène et sa post-productioon pour un insuffler cette ambiance aux confins de la réalité, entre ombres et lumières, entre deux personnages à l'existence tourmentée.
Ce n'est guère suffisant pour captiver une constante attention, l'ensemble manquant de conviction, de dynamisme.
Ce n'est guère suffisant pour captiver une constante attention, l'ensemble manquant de conviction, de dynamisme.
un film d'un ennui total, que cela dans le scénario, les personnages ou les images, c'est très pauvre ...
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