Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
La pêche et la maestria de la mise en scène électrisent le film : ambiance polar en survoltage garantie. Un régal.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
Sous forte influence scorsesienne ou fincherienne, Robin Pront réussit une fresque romanesque sur la grandeur et la décadence d’un génie informatique qui décide de créer sa propre boîte de nuit, ce qui fera naître autour de lui jalousies et trahisons.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par La Rédaction
Un biopic grisant façon grandeur et décadence.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Zillion replonge dans la folie des nuits anversoises avec enthousiasme. Trop d'enthousiasme pour être plus qu'une reconstitution fantasmée.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Première
par François Léger
Pas toujours une réussite, surtout quand Robin Pront veut se donner des airs de Guy Ritchie époque Arnaques, Crimes et Botanique. Un peu plus de modestie n'aurait pas fait de mal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
De la ravissante idiote qui tombe dans la cocaïne à l’inspecteur du fisc « répugnace » (répugnant et pugnace), en passant par le videur albanais ultra violent, tous les personnages sont de grossières caricatures. « Sexe, drogue et musique techno », promet l’affiche. Mais Zillion ne laisse qu’une grosse gueule de bois.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par M. Jo.
Hanté par l’œuvre scorsesienne, le film cite aussi bien Les Affranchis, Casino, que Le Loup de Wall Street. Autant de références écrasantes face auxquelles Zillion fait figure de très pâle contrefaçon, faisant sienne la vulgarité de son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Obs
La pêche et la maestria de la mise en scène électrisent le film : ambiance polar en survoltage garantie. Un régal.
Les Fiches du Cinéma
Sous forte influence scorsesienne ou fincherienne, Robin Pront réussit une fresque romanesque sur la grandeur et la décadence d’un génie informatique qui décide de créer sa propre boîte de nuit, ce qui fera naître autour de lui jalousies et trahisons.
Voici
Un biopic grisant façon grandeur et décadence.
Ecran Large
Zillion replonge dans la folie des nuits anversoises avec enthousiasme. Trop d'enthousiasme pour être plus qu'une reconstitution fantasmée.
Première
Pas toujours une réussite, surtout quand Robin Pront veut se donner des airs de Guy Ritchie époque Arnaques, Crimes et Botanique. Un peu plus de modestie n'aurait pas fait de mal.
Télérama
De la ravissante idiote qui tombe dans la cocaïne à l’inspecteur du fisc « répugnace » (répugnant et pugnace), en passant par le videur albanais ultra violent, tous les personnages sont de grossières caricatures. « Sexe, drogue et musique techno », promet l’affiche. Mais Zillion ne laisse qu’une grosse gueule de bois.
Le Monde
Hanté par l’œuvre scorsesienne, le film cite aussi bien Les Affranchis, Casino, que Le Loup de Wall Street. Autant de références écrasantes face auxquelles Zillion fait figure de très pâle contrefaçon, faisant sienne la vulgarité de son personnage.