Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Ce décryptage est passionnant, sans langue de bois, d’une lucidité désarmante. Et peu optimiste pour l’avenir du PS.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Le documentaire de Jean-Pierre Pozzi dresse un portrait sans concession du Parti socialiste grâce à des témoignages passionnants et critiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le film évoque sans complaisance les renoncements en pagaille du PS [...] qui expliquent en partie comment l’ex-formation phare de la gauche, déconnectée d’une vaste partie du peuple, a vu sa lumière se tamiser... jusqu’à ne plus être que l’ombre de ce qu’elle fut.
Paris Match
par Mariana Grépinet
Filmé par le réalisateur Jean-Pierre Pozzi, [Mathieu Sapin], crayon à la main, recueille les confidences d’hommes et de femmes de l’ombre.
Télérama
par Jérémie Couston
Le choix s’est au contraire porté sur un nombre très limité de témoins, hommes de l’ombre sélectionnés pour leur truculence et leur franc-parler, interrogés dans des rues de Paris désertes, le plus souvent par une nuit glaciale, comme dans un polar illustré par Tardi. La leçon d’histoire politique n’en est que plus plaisante à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
Tandis que le bédéiste Mathieu Sapin fait des croquis (qui encombrent le film inutilement), Dray raconte l’espoir né avec l’élection de Tonton, la fête de la Bastille, puis la lente décomposition du PS, avec force détails. Après cette déconfiture, malgré tout, il y croit encore, aux lendemains qui chantent. Nous aussi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par S.de.R.
Voilà un documentaire politique assez passionnant sur un ancien monde, celui du PS des années 1970 à 2000. Passionnant en particulier par tout ce qu'il nous laisse entendre, valable aussi bien à droite qu'à gauche.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Vincent Thabourey
Si le récit de cette disparition programmée reste un peu trop sage, il est délicatement ponctué par les dessins de Mathieu Sapin [...].
L'Humanité
par Michaël Melinard
Certes, quelques anecdotes savoureuses de Julien Dray, le franc-parler rabelaisien du communicant Gérard Colé et le propos volontariste de Laure Adler interrogent, intriguent ou parfois amusent. Reste que la mise en scène aux abonnés absents laisse sur sa faim le cinéphile, sans convaincre le citoyen véritablement désireux de comprendre l’effondrement d’un des partis phares de la vie politique française.
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Malgré le plaisir qu’on éprouve à réviser l’histoire récente, reste l’impression de ne jamais dépasser l’entre-soi et le ton de la conversation aimable ressassant de vieilles lunes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le documentaire reste à la surface de son sujet.
Ouest France
par La Rédaction
Un documentaire qui enfonce trop de portes ouvertes.
Première
par Thierry Chèze
On reste tout autant sur sa faim sur le choix des intervenants qui font tous pâle figure face à deux figures écrasantes : le communicant Gérard Colé qu’on adore prendre un malin plaisir à fracasser Séguéla et surtout Julien Dray, le fameux inspirateur de la série Baron noir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
Ce décryptage est passionnant, sans langue de bois, d’une lucidité désarmante. Et peu optimiste pour l’avenir du PS.
Les Fiches du Cinéma
Le documentaire de Jean-Pierre Pozzi dresse un portrait sans concession du Parti socialiste grâce à des témoignages passionnants et critiques.
Marianne
Le film évoque sans complaisance les renoncements en pagaille du PS [...] qui expliquent en partie comment l’ex-formation phare de la gauche, déconnectée d’une vaste partie du peuple, a vu sa lumière se tamiser... jusqu’à ne plus être que l’ombre de ce qu’elle fut.
Paris Match
Filmé par le réalisateur Jean-Pierre Pozzi, [Mathieu Sapin], crayon à la main, recueille les confidences d’hommes et de femmes de l’ombre.
Télérama
Le choix s’est au contraire porté sur un nombre très limité de témoins, hommes de l’ombre sélectionnés pour leur truculence et leur franc-parler, interrogés dans des rues de Paris désertes, le plus souvent par une nuit glaciale, comme dans un polar illustré par Tardi. La leçon d’histoire politique n’en est que plus plaisante à suivre.
L'Obs
Tandis que le bédéiste Mathieu Sapin fait des croquis (qui encombrent le film inutilement), Dray raconte l’espoir né avec l’élection de Tonton, la fête de la Bastille, puis la lente décomposition du PS, avec force détails. Après cette déconfiture, malgré tout, il y croit encore, aux lendemains qui chantent. Nous aussi.
Le Figaro
Voilà un documentaire politique assez passionnant sur un ancien monde, celui du PS des années 1970 à 2000. Passionnant en particulier par tout ce qu'il nous laisse entendre, valable aussi bien à droite qu'à gauche.
Positif
Si le récit de cette disparition programmée reste un peu trop sage, il est délicatement ponctué par les dessins de Mathieu Sapin [...].
L'Humanité
Certes, quelques anecdotes savoureuses de Julien Dray, le franc-parler rabelaisien du communicant Gérard Colé et le propos volontariste de Laure Adler interrogent, intriguent ou parfois amusent. Reste que la mise en scène aux abonnés absents laisse sur sa faim le cinéphile, sans convaincre le citoyen véritablement désireux de comprendre l’effondrement d’un des partis phares de la vie politique française.
La Voix du Nord
Malgré le plaisir qu’on éprouve à réviser l’histoire récente, reste l’impression de ne jamais dépasser l’entre-soi et le ton de la conversation aimable ressassant de vieilles lunes.
Le Monde
Le documentaire reste à la surface de son sujet.
Ouest France
Un documentaire qui enfonce trop de portes ouvertes.
Première
On reste tout autant sur sa faim sur le choix des intervenants qui font tous pâle figure face à deux figures écrasantes : le communicant Gérard Colé qu’on adore prendre un malin plaisir à fracasser Séguéla et surtout Julien Dray, le fameux inspirateur de la série Baron noir.