Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce thriller lève le voile sur le trafic d’êtres humains et de drogue en France, un sujet rebattu mais transcendé par une mise en scène inspirée, entre puissance et grâce, et surtout le charisme de son acteur principal, Jérémie Laheurte.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Camille Nevers
Débutant en film de banlieue de plus [...], le récit désespéré d’avance prend bientôt la tangente d’un road-movie patient, autre forme plus contemplative et attentive.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Adapté du roman éponyme (Ex Aequo, 2017) de l’auteur de polars, et policier, Rémy Lasource, Du crépitement sous les néons a le mérite d’installer très vite, par le feu de l’action et le réalisme qui l’accompagnent, une atmosphère épaisse, fébrile, suant le danger.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Jérémie Couston
La raideur des ellipses et le jeu parfois approximatif d’acteurs débutants trahissent la précarité et l’urgence du tournage, notamment dans les scènes de groupe. Mais les moments plus intimes sont réussis et l’ensemble tient la route, au fil des classiques embûches d’une mission suicide.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
S’ils entendent défendre une noirceur et une violence réalistes, les cinéastes n’esquivent pas les facilités narratives et se laissent aller à une certaine gratuité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Et si on ne peut nier l’ambition visuelle plutôt convaincante en dépit de l’absence de moyens, Du crépitement sous les néons souffre d’un récit trop cousu de fil blanc, tant dans ses rebondissements téléphonés que dans ses personnages réduits à des archétypes sans jamais s’en libérer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
Ce thriller lève le voile sur le trafic d’êtres humains et de drogue en France, un sujet rebattu mais transcendé par une mise en scène inspirée, entre puissance et grâce, et surtout le charisme de son acteur principal, Jérémie Laheurte.
Libération
Débutant en film de banlieue de plus [...], le récit désespéré d’avance prend bientôt la tangente d’un road-movie patient, autre forme plus contemplative et attentive.
Le Monde
Adapté du roman éponyme (Ex Aequo, 2017) de l’auteur de polars, et policier, Rémy Lasource, Du crépitement sous les néons a le mérite d’installer très vite, par le feu de l’action et le réalisme qui l’accompagnent, une atmosphère épaisse, fébrile, suant le danger.
Télérama
La raideur des ellipses et le jeu parfois approximatif d’acteurs débutants trahissent la précarité et l’urgence du tournage, notamment dans les scènes de groupe. Mais les moments plus intimes sont réussis et l’ensemble tient la route, au fil des classiques embûches d’une mission suicide.
Les Fiches du Cinéma
S’ils entendent défendre une noirceur et une violence réalistes, les cinéastes n’esquivent pas les facilités narratives et se laissent aller à une certaine gratuité.
Première
Et si on ne peut nier l’ambition visuelle plutôt convaincante en dépit de l’absence de moyens, Du crépitement sous les néons souffre d’un récit trop cousu de fil blanc, tant dans ses rebondissements téléphonés que dans ses personnages réduits à des archétypes sans jamais s’en libérer.