Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Culturopoing.com
par Frédérique Lambert
À mille lieues des univers formatés ou violents des blockbusters ou films d’animation, Gondola propose une lecture émerveillée, enfantine, délicate du réel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Sans aucun dialogue, Gondola réussit à créer une belle comédie burlesque et une romance touchante entre deux jeunes femmes.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec cette ode pétillante à la liberté d’aimer, l’esprit de Jacques Tati ressurgit dans les majestueux paysages géorgiens.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Benjamin Milpartis
Sur le papier, le cinéma de boursouflé de Veit Helmer n’a rien de particulièrement vibrant. On peut donc ne pas être sensible à l’univers d’un cinéaste, et trouver une porte d’entrée singulière dans l’un de ses films. Devant Gondola, film délicat et généreux, on ressent un intérêt heureux pour cette fable onirique qui assume toute la poésie dont elle est capable.
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Avec une réalisation virevoltante et deux excellentes comédiennes, Gondola est une belle surprise estivale.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le réalisateur allemand Veit Helmer dépeint deux employées d'une ligne de téléphérique qui, sans prononcer un mot, entament une histoire amoureuse et érotique. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une comédie à l’inventivité roborative.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste allemand Veit Helmer n’a pas besoin de longs discours pour raconter une fascinante romance sentimentale et sensuelle.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
L'Obs
par Isabelle Danel
Cette comédie burlesque ne fonctionne pas toujours – son dispositif s’épuise vite et son systématisme peut irriter. Mais, si on l’accepte, son univers naïf et coloré est empreint d’une poésie à contre-courant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Gondola n’a rien d’un chef-d’œuvre, mais c’est un joli long métrage. Film libre, légèrement déjanté (pas suffisamment peut-être ?), il réserve quelques scènes d’amour de toute beauté et propose un discours anti-patriarcal sans lourdeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eugénie Zvonkine
Si l'idée est jolie et le film inventif, au bout d'un moment, le principe se met, hélas !, à tourner à vide. On aurait aimé qu'à la fin, le récit s'étoffe d'une épaisseur nouvelle.
Télérama
par Hélène Marzolf
Pur exercice de style gracieux et aérien, Gondola exploite l’expressivité et le charme de ses comédiennes, la beauté des paysages, pour célébrer la liberté d’aimer et la créativité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Charmant et singulier, ce long métrage se situe dans lignée des cinémas de Tati et Iosseliani. Sa poésie un brin fabriquée et ses situations redondantes sont compensées par une louable concision.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Lulas Moreau
L'amour suspendu que le film figure se limite à la superficialité de décors minutieusement composés.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Point
par La rédaction
Gondola fait partie de ces œuvres poétiques aux allures de carte postale – la position du téléphérique confère à l'image la splendeur des montagnes géorgiennes – dont le récit plutôt faible est rattrapé par des choix artistiques audacieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Camille Nevers
Gondola plane au-dessus de son artificialité répétitive, lambinant comme les interminables trajets allers-retours vers nulle part, des cimes à une vallée hypothétique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
L'humour burlesque règne en maître dans cette comédie romantique de Viet Helmer.
Première
par Emma Poesy
Le résultat se révèle plutôt agréable, surtout grâce aux deux personnages féminins, pour lesquels on se prend volontiers d’affection. Dommage que la longueur de l’ensemble achève d’en tuer le rythme, et donc le charme…
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Ma. Mt
Sous le vernis d’une fable queer parfaitement inoffensive, le décor géorgien ne déchaîne chez lui qu’un goût immodéré du pittoresque et une poésie frelatée de brocanteur, férue de rouages mal huilés et autres mécanismes crispants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Culturopoing.com
À mille lieues des univers formatés ou violents des blockbusters ou films d’animation, Gondola propose une lecture émerveillée, enfantine, délicate du réel.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sans aucun dialogue, Gondola réussit à créer une belle comédie burlesque et une romance touchante entre deux jeunes femmes.
La Croix
Avec cette ode pétillante à la liberté d’aimer, l’esprit de Jacques Tati ressurgit dans les majestueux paysages géorgiens.
La Septième Obsession
Sur le papier, le cinéma de boursouflé de Veit Helmer n’a rien de particulièrement vibrant. On peut donc ne pas être sensible à l’univers d’un cinéaste, et trouver une porte d’entrée singulière dans l’un de ses films. Devant Gondola, film délicat et généreux, on ressent un intérêt heureux pour cette fable onirique qui assume toute la poésie dont elle est capable.
Le Dauphiné Libéré
Avec une réalisation virevoltante et deux excellentes comédiennes, Gondola est une belle surprise estivale.
Les Echos
Le réalisateur allemand Veit Helmer dépeint deux employées d'une ligne de téléphérique qui, sans prononcer un mot, entament une histoire amoureuse et érotique. Une réussite.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie à l’inventivité roborative.
Marianne
Le cinéaste allemand Veit Helmer n’a pas besoin de longs discours pour raconter une fascinante romance sentimentale et sensuelle.
L'Obs
Cette comédie burlesque ne fonctionne pas toujours – son dispositif s’épuise vite et son systématisme peut irriter. Mais, si on l’accepte, son univers naïf et coloré est empreint d’une poésie à contre-courant.
Les Inrockuptibles
Gondola n’a rien d’un chef-d’œuvre, mais c’est un joli long métrage. Film libre, légèrement déjanté (pas suffisamment peut-être ?), il réserve quelques scènes d’amour de toute beauté et propose un discours anti-patriarcal sans lourdeur.
Positif
Si l'idée est jolie et le film inventif, au bout d'un moment, le principe se met, hélas !, à tourner à vide. On aurait aimé qu'à la fin, le récit s'étoffe d'une épaisseur nouvelle.
Télérama
Pur exercice de style gracieux et aérien, Gondola exploite l’expressivité et le charme de ses comédiennes, la beauté des paysages, pour célébrer la liberté d’aimer et la créativité.
aVoir-aLire.com
Charmant et singulier, ce long métrage se situe dans lignée des cinémas de Tati et Iosseliani. Sa poésie un brin fabriquée et ses situations redondantes sont compensées par une louable concision.
Critikat.com
L'amour suspendu que le film figure se limite à la superficialité de décors minutieusement composés.
Le Point
Gondola fait partie de ces œuvres poétiques aux allures de carte postale – la position du téléphérique confère à l'image la splendeur des montagnes géorgiennes – dont le récit plutôt faible est rattrapé par des choix artistiques audacieux.
Libération
Gondola plane au-dessus de son artificialité répétitive, lambinant comme les interminables trajets allers-retours vers nulle part, des cimes à une vallée hypothétique.
Ouest France
L'humour burlesque règne en maître dans cette comédie romantique de Viet Helmer.
Première
Le résultat se révèle plutôt agréable, surtout grâce aux deux personnages féminins, pour lesquels on se prend volontiers d’affection. Dommage que la longueur de l’ensemble achève d’en tuer le rythme, et donc le charme…
Le Monde
Sous le vernis d’une fable queer parfaitement inoffensive, le décor géorgien ne déchaîne chez lui qu’un goût immodéré du pittoresque et une poésie frelatée de brocanteur, férue de rouages mal huilés et autres mécanismes crispants.