Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Bande à part
par Mary Noelle Dana
Est-ce la mise en scène ? Est-ce la douleur sourde qui hurle silencieusement ? Est-ce l’extraordinaire puissance d’un récit universel qu’on refuse d’admettre ? Débâcle est un premier film très réussi.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Veerle Baetens maîtrise la devinette en tant que motif dramatique avec une ingéniosité remarquable pour déployer le crescendo, sans doute l’essence de Débâcle.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
Cri désespéré, "Débâcle" est un film d’une puissance inouïe. Un geste contre le silence et qui appelle les femmes au refus d’être là uniquement pour ne pas faire défaut.
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Un film maîtrisé, porté par deux formidables comédiennes, dont on sort sonné.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
La double temporalité du récit, l’angoisse lente et le crescendo, la représentation de la violence sans concession ni complaisance : rien n’est laissé au hasard dans le premier film de Veerle Baetens, qui, passées les maladresses d’usage, démontre une force indéniable.
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Le terrain est glissant, mais le film ne se dérobe que rarement. Toujours juste et inspiré dans sa représentation de la préadolescence, qui joue beaucoup sur les atmosphères familières, le geste anodin, et doit beaucoup en ce sens à la fantastique Rosa Marchant, dans le rôle de la jeune Eva.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Myriam Perfetti
Déroulant patiemment sa trame narrative, Veerle Baetens remonte aux origines du drame, à ce moment où Eva devient (à jamais) prisonnière d’un passé traumatique. Les gros plans cadrent les acteurs, enserrés par les non-dits, les lâchetés des adultes, l’emprise perverse des amitiés, au plus près, scrutant leurs émotions et abritant une violence latente qui ne demande qu’à exploser.
Ouest France
par Thierry Cheze
Un film coup de poing qui évite tout voyeurisme.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Un portrait qui prend immanquablement aux tripes.
Télé 2 semaines
par S.O.
Passage réussi derrière la caméra de l'actrice Veerle Baetens qui nous tient en haleine en distillant les éléments du trauma d'Eva.
aVoir-aLire.com
par Jean-Baptiste Doulcet
L’exploration indicible du drame de l’enfance trouve ici une réalisatrice à suivre : Veerle Baetens y observe avec une attention rare le glissement progressif de l’innocence vers la culpabilité. Un film important, bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce drame déchirant sur l'adolescence et ses jeux dangereux aborde la cruauté enfantine, les amitiés toxiques, l'éveil au désir sous l'effet des changements du corps à la puberté, mais surtout, regarde de front une violence qui dérange.
L'Obs
par Sophie Grassin
Ce drame sur la perte de l’innocence dérange, notamment avec le plan insoutenable d’un visage d’enfant durant un viol. Et celui qui le suit. On y voit les choses se mettre en place. Et Eva, l’enterrée vive, a un parcours trop monolithique. Mais le film – très actuel – a de la puissance et l’interprétation de Rosa Marchant (prix à Sundance) retient.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
A la manière de son compatriote Lukas Dhont (Girl, Close), Veerle Baetens filme la vie perdue d'une jeune fille sans complaisance, sans voyeurisme.
Le Monde
par M. DI.
En simplifiant la trame du roman, la réalisatrice Veerle Baetens livre un premier film âpre, où l’éveil des sens n’a plus rien de charmant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Veerle Baetens filme toujours à bonne distance et avec des choix de cadre pertinents la violence morale et physique ici distillée, ne détournant jamais hypocritement le regard.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
par Renaud Baronian
Même si la démarche — éveiller les consciences à l’horreur et aux terribles conséquences des traumatismes d’enfance dus à des agressions — est louable, le film, en appuyant en permanence sur le champignon de l’écœurement, risque d’être contre-productif – sauf pour ceux qui aiment aller au cinéma pour se faire mal…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Samuel Douhaire
Et malheureusement, par la faute d’un symbolisme lourdaud et d’une durée étirée jusqu’à la complaisance, la néo-réalisatrice la rate…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
Est-ce la mise en scène ? Est-ce la douleur sourde qui hurle silencieusement ? Est-ce l’extraordinaire puissance d’un récit universel qu’on refuse d’admettre ? Débâcle est un premier film très réussi.
Culturopoing.com
Veerle Baetens maîtrise la devinette en tant que motif dramatique avec une ingéniosité remarquable pour déployer le crescendo, sans doute l’essence de Débâcle.
La Septième Obsession
Cri désespéré, "Débâcle" est un film d’une puissance inouïe. Un geste contre le silence et qui appelle les femmes au refus d’être là uniquement pour ne pas faire défaut.
La Voix du Nord
Un film maîtrisé, porté par deux formidables comédiennes, dont on sort sonné.
Les Fiches du Cinéma
La double temporalité du récit, l’angoisse lente et le crescendo, la représentation de la violence sans concession ni complaisance : rien n’est laissé au hasard dans le premier film de Veerle Baetens, qui, passées les maladresses d’usage, démontre une force indéniable.
Libération
Le terrain est glissant, mais le film ne se dérobe que rarement. Toujours juste et inspiré dans sa représentation de la préadolescence, qui joue beaucoup sur les atmosphères familières, le geste anodin, et doit beaucoup en ce sens à la fantastique Rosa Marchant, dans le rôle de la jeune Eva.
Marianne
Déroulant patiemment sa trame narrative, Veerle Baetens remonte aux origines du drame, à ce moment où Eva devient (à jamais) prisonnière d’un passé traumatique. Les gros plans cadrent les acteurs, enserrés par les non-dits, les lâchetés des adultes, l’emprise perverse des amitiés, au plus près, scrutant leurs émotions et abritant une violence latente qui ne demande qu’à exploser.
Ouest France
Un film coup de poing qui évite tout voyeurisme.
Rolling Stone
Un portrait qui prend immanquablement aux tripes.
Télé 2 semaines
Passage réussi derrière la caméra de l'actrice Veerle Baetens qui nous tient en haleine en distillant les éléments du trauma d'Eva.
aVoir-aLire.com
L’exploration indicible du drame de l’enfance trouve ici une réalisatrice à suivre : Veerle Baetens y observe avec une attention rare le glissement progressif de l’innocence vers la culpabilité. Un film important, bouleversant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce drame déchirant sur l'adolescence et ses jeux dangereux aborde la cruauté enfantine, les amitiés toxiques, l'éveil au désir sous l'effet des changements du corps à la puberté, mais surtout, regarde de front une violence qui dérange.
L'Obs
Ce drame sur la perte de l’innocence dérange, notamment avec le plan insoutenable d’un visage d’enfant durant un viol. Et celui qui le suit. On y voit les choses se mettre en place. Et Eva, l’enterrée vive, a un parcours trop monolithique. Mais le film – très actuel – a de la puissance et l’interprétation de Rosa Marchant (prix à Sundance) retient.
Le Dauphiné Libéré
A la manière de son compatriote Lukas Dhont (Girl, Close), Veerle Baetens filme la vie perdue d'une jeune fille sans complaisance, sans voyeurisme.
Le Monde
En simplifiant la trame du roman, la réalisatrice Veerle Baetens livre un premier film âpre, où l’éveil des sens n’a plus rien de charmant.
Première
Veerle Baetens filme toujours à bonne distance et avec des choix de cadre pertinents la violence morale et physique ici distillée, ne détournant jamais hypocritement le regard.
Le Parisien
Même si la démarche — éveiller les consciences à l’horreur et aux terribles conséquences des traumatismes d’enfance dus à des agressions — est louable, le film, en appuyant en permanence sur le champignon de l’écœurement, risque d’être contre-productif – sauf pour ceux qui aiment aller au cinéma pour se faire mal…
Télérama
Et malheureusement, par la faute d’un symbolisme lourdaud et d’une durée étirée jusqu’à la complaisance, la néo-réalisatrice la rate…