Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
IGN France
par Damien Hilaire
Pas parfait mais fait avec du coeur il arrive à surprendre autant dans sa narration que dans son intrigue aux différents rebondissements ne manquant pas de sel.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
L'Ecran Fantastique
par Erwan Bargain
Inutile d’y aller par quatre chemins : Saloum est une véritable surprise. Inaugurant le «Southern», nouveau sous-genre cinématographique mêlant les codes du western et la culture africaine, ce film, réalisé par Jean Luc Herbulot, cinéaste franco-congolais remarqué avec Dealer, son premier long-métrage, se révèle en effet diablement réjouissant à plus d’un titre.
Le Monde
par J. Ma.
On salue donc avec enthousiasme cet esprit aventureux, la liberté qu’il se donne, le bel aplomb de ses comédiens, la tenue stylistique, l’ensorcelante bande musicale avec flûte peule, l’enjeu sociopolitique qui affleure sous les braises du divertissement, et le rapport réel à l’Afrique qui s’y pressent à travers le jeu avec les genres.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
(...) ce long-métrage constitue un savoureux mélange d’action et de fantastique, tout en affichant d’inattendues influences western spaghetti, le tout au milieu de superbes décors naturels.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Mêlant avec panache western, fantastique et mystique ouest-africaine, Saloum constitue le réjouissant acte de naissance d’un nouveau genre cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
D’une histoire de magot sale récupéré par des miliciens de Centrafrique perdus sur la côte sénégalaise à la suite d’un crash d’avion, Herbulot puise un mélange de drame en huis clos intrigant (le récit concentré dans une petite résidence balnéaire isolée) et de thriller horrifique enraciné dans un folklore local réjouissant (les esprits vengeurs sont de sortie).
Critikat.com
par Clément Colliaux
C’est une fois l’agitation retombée et le cadre planté que Saloum révèle peu à peu une certaine singularité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Lino Cassinat
À la croisée des chemins entre le western sauce militaire et le survival surnaturel, cet OVNI sénégalais a beau pâtir de manquements évidents, c'est une étonnante rareté au charme irrésistible et qui mérite vraiment qu'on s'y attarde.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
C’est de la série B, mais de la bonne, réjouissante et survoltée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Sandra Onana
Vif et halluciné, Saloum vaut le coup d’œil, et nous montre assurément ce qu’il a dans le ventre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
Saloum fourmille de plans inédits, d'associations d'idées étonnantes et portées à ébullition dans les règles de l'art.
Première
par Thomas Baurez
Ici, l’approximation scénaristique est sans cesse contrebalancé par une envie farouche d’en découdre avec les esprits rebelles du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Action, trahisons, retournements de situations : rien ne manque, pas même sa pincée de spiritisme pour emballer le tout, voire provoquer quelque tirade ultime (“Je commence à croire que tes fétiches protecteurs sont des aimants à emmerdes.”).
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Forte d’une esthétique soignée, parfois maladroite dans son écriture et son interprétation, cette série B amuse un temps mais finit par se prendre trop au sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Joseph Boinay
Ce trop-plein d’envies disparates donne à ce récit de mercenaires un ton criard et désaccordé, qui étrangle le message politique. C’est d’autant plus triste que le cinéma de genre africain ne court pas les salles en France.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
IGN France
Pas parfait mais fait avec du coeur il arrive à surprendre autant dans sa narration que dans son intrigue aux différents rebondissements ne manquant pas de sel.
L'Ecran Fantastique
Inutile d’y aller par quatre chemins : Saloum est une véritable surprise. Inaugurant le «Southern», nouveau sous-genre cinématographique mêlant les codes du western et la culture africaine, ce film, réalisé par Jean Luc Herbulot, cinéaste franco-congolais remarqué avec Dealer, son premier long-métrage, se révèle en effet diablement réjouissant à plus d’un titre.
Le Monde
On salue donc avec enthousiasme cet esprit aventureux, la liberté qu’il se donne, le bel aplomb de ses comédiens, la tenue stylistique, l’ensorcelante bande musicale avec flûte peule, l’enjeu sociopolitique qui affleure sous les braises du divertissement, et le rapport réel à l’Afrique qui s’y pressent à travers le jeu avec les genres.
Le Parisien
(...) ce long-métrage constitue un savoureux mélange d’action et de fantastique, tout en affichant d’inattendues influences western spaghetti, le tout au milieu de superbes décors naturels.
Les Fiches du Cinéma
Mêlant avec panache western, fantastique et mystique ouest-africaine, Saloum constitue le réjouissant acte de naissance d’un nouveau genre cinématographique.
Cahiers du Cinéma
D’une histoire de magot sale récupéré par des miliciens de Centrafrique perdus sur la côte sénégalaise à la suite d’un crash d’avion, Herbulot puise un mélange de drame en huis clos intrigant (le récit concentré dans une petite résidence balnéaire isolée) et de thriller horrifique enraciné dans un folklore local réjouissant (les esprits vengeurs sont de sortie).
Critikat.com
C’est une fois l’agitation retombée et le cadre planté que Saloum révèle peu à peu une certaine singularité.
Ecran Large
À la croisée des chemins entre le western sauce militaire et le survival surnaturel, cet OVNI sénégalais a beau pâtir de manquements évidents, c'est une étonnante rareté au charme irrésistible et qui mérite vraiment qu'on s'y attarde.
L'Obs
C’est de la série B, mais de la bonne, réjouissante et survoltée.
Libération
Vif et halluciné, Saloum vaut le coup d’œil, et nous montre assurément ce qu’il a dans le ventre.
Mad Movies
Saloum fourmille de plans inédits, d'associations d'idées étonnantes et portées à ébullition dans les règles de l'art.
Première
Ici, l’approximation scénaristique est sans cesse contrebalancé par une envie farouche d’en découdre avec les esprits rebelles du cinéma.
Rolling Stone
Action, trahisons, retournements de situations : rien ne manque, pas même sa pincée de spiritisme pour emballer le tout, voire provoquer quelque tirade ultime (“Je commence à croire que tes fétiches protecteurs sont des aimants à emmerdes.”).
Le Journal du Dimanche
Forte d’une esthétique soignée, parfois maladroite dans son écriture et son interprétation, cette série B amuse un temps mais finit par se prendre trop au sérieux.
Télérama
Ce trop-plein d’envies disparates donne à ce récit de mercenaires un ton criard et désaccordé, qui étrangle le message politique. C’est d’autant plus triste que le cinéma de genre africain ne court pas les salles en France.