Spectre: Sanity, Madness & the Family : Critique presse
Spectre: Sanity, Madness & the Family
Note moyenne
3,1
9 titres de presse
Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
Libération
Télérama
Critikat.com
Le Monde
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Jean-Baptiste de Laubier alias Para One nous fait nous engouffrer haut la main dans ce trip à la fois souterrain et aérien (...) "Spectre" est aussi magnétique que les bandes dont il suit les confidences et souvenirs, réels ou inventés.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Sur la piste d’un secret autour de son père, Jean-Baptiste de Laubier alias Para One s’inspire de son histoire familiale pour réaliser une enquête musicale mêlant archives réelles et reconstituées. Premier long métrage, Spectre est un voyage hypnotique réussi.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
La force du film tient ainsi à sa façon, toute markerienne, de tisser l’intime, l’imaginaire, l’ethnographie et un écheveau personnel d’œuvres d’art qui forment, ensemble, une carte au trésor.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Maddalen Riou
Para One signe ici une première œuvre à la fois personnelle et complexe, envoûtante et lumineuse. Véritable hymne à la tolérance, le film porte un message d’amour universel, qui se révèle très touchant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Olivier Lamm
Que Spectre… tienne à cœur à son auteur ne fait pas de doute ; mais la naïveté avec laquelle il finit par se livrer, abandonnant toutes les pistes qui le présentaient au début du film en faussaire de son histoire, achève de faire dérailler le kaléidoscope en confession intime. Frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jérémie Couston
Sous la double influence de Chris Marker et de Jonas Mekas, le cinéaste diariste, présent en voix off, réalise une œuvre apaisée, presque zen, sur une histoire familiale douloureuse — la force de la catharsis. En avant-programme, Dustin, de Naïla Guiguet, divagation nocturne dans une rave party, évoque aussi une quête d’identité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Corentin Lê
Derrière ses atours de mashup fiévreux, le film se révèle prévisible dans son déroulement et systématique dans ses effets.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Si la quête identitaire intrigue, le film pâtit d'une volonté appuyée de faire vivre, à qui s'y frotte, la grande aventure psychédélique.
Première
par Thierry Chèze
Et ce flou artistique assumé qu’on retrouve dans la matière disparate qui le compose - entre documents réels (il filme sa famille depuis 20 ans) et extraits de films (Akira…) - intrigue et fascine autant qu’il nous laisse sur notre faim.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Jean-Baptiste de Laubier alias Para One nous fait nous engouffrer haut la main dans ce trip à la fois souterrain et aérien (...) "Spectre" est aussi magnétique que les bandes dont il suit les confidences et souvenirs, réels ou inventés.
Les Fiches du Cinéma
Sur la piste d’un secret autour de son père, Jean-Baptiste de Laubier alias Para One s’inspire de son histoire familiale pour réaliser une enquête musicale mêlant archives réelles et reconstituées. Premier long métrage, Spectre est un voyage hypnotique réussi.
Les Inrockuptibles
La force du film tient ainsi à sa façon, toute markerienne, de tisser l’intime, l’imaginaire, l’ethnographie et un écheveau personnel d’œuvres d’art qui forment, ensemble, une carte au trésor.
aVoir-aLire.com
Para One signe ici une première œuvre à la fois personnelle et complexe, envoûtante et lumineuse. Véritable hymne à la tolérance, le film porte un message d’amour universel, qui se révèle très touchant.
Libération
Que Spectre… tienne à cœur à son auteur ne fait pas de doute ; mais la naïveté avec laquelle il finit par se livrer, abandonnant toutes les pistes qui le présentaient au début du film en faussaire de son histoire, achève de faire dérailler le kaléidoscope en confession intime. Frustrant.
Télérama
Sous la double influence de Chris Marker et de Jonas Mekas, le cinéaste diariste, présent en voix off, réalise une œuvre apaisée, presque zen, sur une histoire familiale douloureuse — la force de la catharsis. En avant-programme, Dustin, de Naïla Guiguet, divagation nocturne dans une rave party, évoque aussi une quête d’identité.
Critikat.com
Derrière ses atours de mashup fiévreux, le film se révèle prévisible dans son déroulement et systématique dans ses effets.
Le Monde
Si la quête identitaire intrigue, le film pâtit d'une volonté appuyée de faire vivre, à qui s'y frotte, la grande aventure psychédélique.
Première
Et ce flou artistique assumé qu’on retrouve dans la matière disparate qui le compose - entre documents réels (il filme sa famille depuis 20 ans) et extraits de films (Akira…) - intrigue et fascine autant qu’il nous laisse sur notre faim.