Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Les questions morales se posent, sur fond de cruauté et de barbarie inimaginables. Bouleversant et dérangeant : un documentaire exceptionnel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un documentaire exceptionnel, bouleversant toutes nos certitudes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Nicolas Geneix
Par sa démarche, son montage et les discussions qu'il peut susciter, le film ose affronter les zones grises et souffrances inguérissables résultant du système totalitaire-concentrationnaire.
Le Monde
par J. Ma.
Un film monstrueux du point de vue de la méthodologie documentaire, dont la vertu aura été de nous instruire de cette histoire sans toutefois franchir le seuil des questions vertigineuses qu’elle nous pose.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le documentaire de la réalisatrice israélienne Maya Sarfaty est passionnant par son sujet, qui perturbe notre vision conventionnelle des choses, davantage que par sa forme, au fond très classique : témoignages, images d’archives, témoignages…
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Estelle Aubin
Mais le documentaire émeut encore plus quand il raconte la sororité difficile, ambiguë, impossible entre les prisonnières du camp. Ou quand, à l’écran, apparaissent et témoignent des femmes âgées, joliment ridées, nombreuses. Rare et si doux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
À l’aide d’interviews d’archives et de collages photo pour reconstituer les séquences manquantes (le SS lui aussi découpait et recollait la fameuse image pour reconstruire leur réalité), la réalisatrice pose brillamment les enjeux de cette relation impossible. Amour ou survie ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Laura Tuillier
Sur un tel sujet, il est difficile de ne pas passionner mais peut-être encore plus de réussir un bon film, c’est-à-dire de passer après Claude Lanzmann. Force est de constater qu’ici la maladresse est omniprésente, de la musique sirupeuse qui baigne les transitions à une utilisation douteuses des archives sous forme de photographies redécoupées.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
Les questions morales se posent, sur fond de cruauté et de barbarie inimaginables. Bouleversant et dérangeant : un documentaire exceptionnel.
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire exceptionnel, bouleversant toutes nos certitudes.
Positif
Par sa démarche, son montage et les discussions qu'il peut susciter, le film ose affronter les zones grises et souffrances inguérissables résultant du système totalitaire-concentrationnaire.
Le Monde
Un film monstrueux du point de vue de la méthodologie documentaire, dont la vertu aura été de nous instruire de cette histoire sans toutefois franchir le seuil des questions vertigineuses qu’elle nous pose.
Les Inrockuptibles
Le documentaire de la réalisatrice israélienne Maya Sarfaty est passionnant par son sujet, qui perturbe notre vision conventionnelle des choses, davantage que par sa forme, au fond très classique : témoignages, images d’archives, témoignages…
Première
Mais le documentaire émeut encore plus quand il raconte la sororité difficile, ambiguë, impossible entre les prisonnières du camp. Ou quand, à l’écran, apparaissent et témoignent des femmes âgées, joliment ridées, nombreuses. Rare et si doux.
Télérama
À l’aide d’interviews d’archives et de collages photo pour reconstituer les séquences manquantes (le SS lui aussi découpait et recollait la fameuse image pour reconstruire leur réalité), la réalisatrice pose brillamment les enjeux de cette relation impossible. Amour ou survie ?
Libération
Sur un tel sujet, il est difficile de ne pas passionner mais peut-être encore plus de réussir un bon film, c’est-à-dire de passer après Claude Lanzmann. Force est de constater qu’ici la maladresse est omniprésente, de la musique sirupeuse qui baigne les transitions à une utilisation douteuses des archives sous forme de photographies redécoupées.