La chance sourit à madame Nikuko : Critique presse
La chance sourit à madame Nikuko
Note moyenne
4,0
21 titres de presse
Ouest France
Voici
20 Minutes
Ecran Large
Femme Actuelle
L'Humanité
L'Obs
La Croix
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Libération
Paris Match
Positif
Première
Sud Ouest
Télé 7 Jours
Télé Loisirs
Télérama
Cahiers du Cinéma
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Ouest France
par Sylvestre Picard
Une grande réussite.
Voici
par La Rédaction
Un film d'animation dans la veine assumée de Miyazaki, et qui aborde avec originalité et délicatesse les rapports mère-fille et les turbulences de l'adolescence, le regard sur soi et celui des autres...
20 Minutes
par Caroline Vié
Conte appétissant et réconfortant, « La Chance sourit à Madame Nikuko » célèbre nourriture et amour avec jovialité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Déborah Lechner
Le nouveau film d'Ayumu Watanabe souffre de quelques inégalités de ton, notamment lorsque le récit s'éloigne de la dynamique mère-fille, mais dresse un magnifique portrait de femme à travers les yeux d'une adolescence que tout oppose.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un double portrait mère-fille, drôle, tendre et savoureux.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un anime attachant, fondé sur la rupture de ton et les ellipses, avec une apparence pop masquant un sous-texte mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une fable picaresque et bariolée qui raconte un Japon de bord de mer, prolétaire et rural. Derrière l’apparente légèreté de cette loufoque chronique maternelle se cache une pertinente réflexion sur le corps de la femme, sa découverte, et la brutalité du regard des autres.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Eclairée par des décors riches en détails colorés et des personnages secondaires aux contours bien dessinés, cette tranche de vie d’un foyer très particulier finit par émouvoir par la sincérité de son regard.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La Rédaction
Formidable portrait croisé d’une mère et d’une fille que tout oppose, nourri aux meilleurs mets du Japon — on mange ici beaucoup —, cette pépite pleine de tendresse et parfois tragique se double d’une ode à la liberté des Japonaises qu’on pourrait presque qualifier de féministe.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un nouveau chef-d’œuvre de Watanabe, où merveilleux et quotidien se subliment.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marius Chapuis
Ayumu Watanabe parle de peurs profondes (du déclassement, de l’isolement, de grandir) mais il le fait en chantonnant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Si le récit semble s'éparpiller au gré de l'appétit du conteur, la dernière demi-heure vous terrassera d'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Bernard Génin
Le mélange des genres ne nuit pas au film : on s’amuse vraiment de la liberté avec laquelle le cinéaste s’offre quelques digressions, s’attardant d’un trait relâché sur un personnage champion de concours de grimaces (désopilant), ou citant soudain un plan de Mon voisin Totoro, tout en abordant au passage des problèmes plus sérieux d’adolescents.
Première
par Sylvestre Picard
C'est fou, généreux, très drôle (idée géniale des petits animaux qui parlent à la lisière du film), et ça finit dans les larmes. Watanabe s'est totalement emparé de son sujet pour en faire un anime en liberté totale, brassant toutes les variations de l'animation sans jamais se paumer. Tout son métier est là.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Très beau film d’animation japonais adapté d’un roman de Kanako Nishi.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
L’animation pleine de poésie et la peinture de la vie quotidienne, au rythme des saisons, parachèvent ce conte humaniste, aussi charmant qu’inattendu.
Télé Loisirs
par Émilie Léoni
Ce récit d'apprentissage plein de drôlerie et de tendresse se savoure avec gourmandise.
Télérama
par Stéphane Jarno
Impossible de ne pas s’attacher aux personnages de ce film d’animation, tout en charme et en tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Maud Gacel
Le défi de Watanabe consiste à rendre une certaine grandeur à ce scénario ordinaire sans toutefois renier le roman original (le film est une commande censée le promouvoir). Rompu à l’exercice (il n’a réalisé que des commandes), Ayumu Watanabe s’y prête avec aisance via une animation extrêmement travaillée et minutieuse.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
Si l’enjeu dramatique tarde à se dévoiler, cette chronique douce-amère, à l’esthétique de manga, lorgne du côté du studio Ghibli, empruntant à l’imaginaire d’Hayao Miyazaki et à l’irrévérence d’Isao Takahata.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ayumu Watanabe est avant tout un artiste du trait, cherchant partout le bon équilibre entre clarté et expressivité. Si son humour a parfois la dent dure avec la mère dodue, quelque peu ridiculisée, il réserve à son héroïne une ascendance étincelante : une touchante affaire de femmes bafouées, unies contre le reste du monde.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
Une grande réussite.
Voici
Un film d'animation dans la veine assumée de Miyazaki, et qui aborde avec originalité et délicatesse les rapports mère-fille et les turbulences de l'adolescence, le regard sur soi et celui des autres...
20 Minutes
Conte appétissant et réconfortant, « La Chance sourit à Madame Nikuko » célèbre nourriture et amour avec jovialité.
Ecran Large
Le nouveau film d'Ayumu Watanabe souffre de quelques inégalités de ton, notamment lorsque le récit s'éloigne de la dynamique mère-fille, mais dresse un magnifique portrait de femme à travers les yeux d'une adolescence que tout oppose.
Femme Actuelle
Un double portrait mère-fille, drôle, tendre et savoureux.
L'Humanité
Un anime attachant, fondé sur la rupture de ton et les ellipses, avec une apparence pop masquant un sous-texte mélancolique.
L'Obs
Une fable picaresque et bariolée qui raconte un Japon de bord de mer, prolétaire et rural. Derrière l’apparente légèreté de cette loufoque chronique maternelle se cache une pertinente réflexion sur le corps de la femme, sa découverte, et la brutalité du regard des autres.
La Croix
Eclairée par des décors riches en détails colorés et des personnages secondaires aux contours bien dessinés, cette tranche de vie d’un foyer très particulier finit par émouvoir par la sincérité de son regard.
Le Parisien
Formidable portrait croisé d’une mère et d’une fille que tout oppose, nourri aux meilleurs mets du Japon — on mange ici beaucoup —, cette pépite pleine de tendresse et parfois tragique se double d’une ode à la liberté des Japonaises qu’on pourrait presque qualifier de féministe.
Les Fiches du Cinéma
Un nouveau chef-d’œuvre de Watanabe, où merveilleux et quotidien se subliment.
Libération
Ayumu Watanabe parle de peurs profondes (du déclassement, de l’isolement, de grandir) mais il le fait en chantonnant.
Paris Match
Si le récit semble s'éparpiller au gré de l'appétit du conteur, la dernière demi-heure vous terrassera d'émotion.
Positif
Le mélange des genres ne nuit pas au film : on s’amuse vraiment de la liberté avec laquelle le cinéaste s’offre quelques digressions, s’attardant d’un trait relâché sur un personnage champion de concours de grimaces (désopilant), ou citant soudain un plan de Mon voisin Totoro, tout en abordant au passage des problèmes plus sérieux d’adolescents.
Première
C'est fou, généreux, très drôle (idée géniale des petits animaux qui parlent à la lisière du film), et ça finit dans les larmes. Watanabe s'est totalement emparé de son sujet pour en faire un anime en liberté totale, brassant toutes les variations de l'animation sans jamais se paumer. Tout son métier est là.
Sud Ouest
Très beau film d’animation japonais adapté d’un roman de Kanako Nishi.
Télé 7 Jours
L’animation pleine de poésie et la peinture de la vie quotidienne, au rythme des saisons, parachèvent ce conte humaniste, aussi charmant qu’inattendu.
Télé Loisirs
Ce récit d'apprentissage plein de drôlerie et de tendresse se savoure avec gourmandise.
Télérama
Impossible de ne pas s’attacher aux personnages de ce film d’animation, tout en charme et en tendresse.
Cahiers du Cinéma
Le défi de Watanabe consiste à rendre une certaine grandeur à ce scénario ordinaire sans toutefois renier le roman original (le film est une commande censée le promouvoir). Rompu à l’exercice (il n’a réalisé que des commandes), Ayumu Watanabe s’y prête avec aisance via une animation extrêmement travaillée et minutieuse.
Le Journal du Dimanche
Si l’enjeu dramatique tarde à se dévoiler, cette chronique douce-amère, à l’esthétique de manga, lorgne du côté du studio Ghibli, empruntant à l’imaginaire d’Hayao Miyazaki et à l’irrévérence d’Isao Takahata.
Le Monde
Ayumu Watanabe est avant tout un artiste du trait, cherchant partout le bon équilibre entre clarté et expressivité. Si son humour a parfois la dent dure avec la mère dodue, quelque peu ridiculisée, il réserve à son héroïne une ascendance étincelante : une touchante affaire de femmes bafouées, unies contre le reste du monde.