Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Candide et existentiel, exigeant et rassembleur… Pompo The Cinephile est un grand divertissement doublé d’une splendide déclaration d’amour au septième art.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une jolie surprise, originale et entraînante, comme c'est souvent le cas de l'animation japonaise.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
IGN France
par Damien Hilaire
C'est techniquement très propre, avec un soin particulier sur le montage, sujet majeur du film qui doit faire autant écho au réalisateur que celui du manque de confiance. Le positivisme général du traitement peut faire sourire, mais on ne peut nier qu'il fait aussi du bien.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
Le Monde
par J-F.R
Mêlant par instants le réalisme figuratif et une forme d’abstraction, le film témoigne d’une dimension didactique plutôt réussie, apte à passionner tout en instruisant un public jeune.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un humour à plusieurs degrés, avec des répliques et situations clairement destinées aux adultes qui électrisent ce tableau onirique mû par l’amour du cinéma…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Pompo The Cinephile tient à la fois de l'hommage au grand cinéma américain et de la satire amusé.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Takayuki Hirao se lâche avec un film bourré d’idées qui raconte le tournage d’un premier film. Épique et trivial, déjanté, mais au service d’une vraie réflexion sur le cinéma, Pompo the Cinephile pourrait séduire un public bien au-delà des fans d’anime japonais.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par A.P.
Les trois actes du récit respectent intelligemment la chronologie créative d'un film (...), en donnant au spectateur novice les armes pour comprendre les enjeux de chaque étape. Mais en plus de cela, le dernier tiers, voyant le héros rechercher à tout prix un point de vue, une thématique et une signification profonde dans la montagne de rushes qu'il a accumulée, suffit à propulser Pompo The Cinephile au-dessus de la mêlée des comédies dramatiques méta.
Positif
par Nicolas Geneix
Le film est fougueux, joyeux, sérieux, et pose, comme Stanley Cavell," la" grande question : pourquoi le cinéma emporte-t-il, importe-t-il tant ?
Première
par Sylvestre Picard
Le film va s'engager dans une ode affolante à la création et la bidouille en mode shonen, en s'interrogeant au passage sur la notion même de film — ou même d'œuvre d'art en général, tiens.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un animé baroque, inspiré, démesuré, mais un peu criard, en hommage (pointu) au septième art et à la cinéphilie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cet ovni de l'animation japonaise, qui emprunte son esthétique et son énergie au manga, transpire l'amour du septième art en opérant une savoureuse mise en abyme qui balaie toutes les étapes de la fabrication d'un long métrage.
Le Point
par La rédaction
Le résultat est une friandise acidulée et réconfortante, un plaisir loin d'être négligeable par les temps qui courent.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Yannick Vely
Destiné aux jeunes cinéphiles, ce film d’animation survolté (ou hystérique selon les affinités) offre un cours en accéléré pour comprendre les différentes étapes de fabrication d’un film, du casting de l’actrice principale à la bande-annonce spectaculaire pour attirer un public nombreux dans les salles.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Caroline Besse
Pompo the Cinephile est une véritable plongée dans les rouages de la fabrication d’un film, et notamment le montage. Mieux vaut, toutefois, avoir des affinités avec la culture et l’esthétique du manga pour pleinement apprécier cette œuvre hybride, entre pédagogie et divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par D.B.
Avec ce sujet peu commun, cette animation japonaise mène les spectateurs dans les coulisses fantasmées de la création d'un film Nyallywood. L'histoire est parfois très simple, mais la mise en images déborde tellement d'idées que Pompo se révèle, au final, plutôt plaisant à suivre.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
Takayuki Hirao assume pleinement son ton résolument sentimental et naïf dans sa célébration du septième art. Il en ressort une légèreté qui se dissipera en souvenir fugace.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Le réalisateur entend exalter la joie et l’euphorie qui accompagnent la création collective d’un film.
Culturopoing.com
Candide et existentiel, exigeant et rassembleur… Pompo The Cinephile est un grand divertissement doublé d’une splendide déclaration d’amour au septième art.
Franceinfo Culture
Une jolie surprise, originale et entraînante, comme c'est souvent le cas de l'animation japonaise.
IGN France
C'est techniquement très propre, avec un soin particulier sur le montage, sujet majeur du film qui doit faire autant écho au réalisateur que celui du manque de confiance. Le positivisme général du traitement peut faire sourire, mais on ne peut nier qu'il fait aussi du bien.
Le Monde
Mêlant par instants le réalisme figuratif et une forme d’abstraction, le film témoigne d’une dimension didactique plutôt réussie, apte à passionner tout en instruisant un public jeune.
Le Parisien
Un humour à plusieurs degrés, avec des répliques et situations clairement destinées aux adultes qui électrisent ce tableau onirique mû par l’amour du cinéma…
Les Echos
Pompo The Cinephile tient à la fois de l'hommage au grand cinéma américain et de la satire amusé.
Les Fiches du Cinéma
Takayuki Hirao se lâche avec un film bourré d’idées qui raconte le tournage d’un premier film. Épique et trivial, déjanté, mais au service d’une vraie réflexion sur le cinéma, Pompo the Cinephile pourrait séduire un public bien au-delà des fans d’anime japonais.
Mad Movies
Les trois actes du récit respectent intelligemment la chronologie créative d'un film (...), en donnant au spectateur novice les armes pour comprendre les enjeux de chaque étape. Mais en plus de cela, le dernier tiers, voyant le héros rechercher à tout prix un point de vue, une thématique et une signification profonde dans la montagne de rushes qu'il a accumulée, suffit à propulser Pompo The Cinephile au-dessus de la mêlée des comédies dramatiques méta.
Positif
Le film est fougueux, joyeux, sérieux, et pose, comme Stanley Cavell," la" grande question : pourquoi le cinéma emporte-t-il, importe-t-il tant ?
Première
Le film va s'engager dans une ode affolante à la création et la bidouille en mode shonen, en s'interrogeant au passage sur la notion même de film — ou même d'œuvre d'art en général, tiens.
L'Obs
Un animé baroque, inspiré, démesuré, mais un peu criard, en hommage (pointu) au septième art et à la cinéphilie.
Le Journal du Dimanche
Cet ovni de l'animation japonaise, qui emprunte son esthétique et son énergie au manga, transpire l'amour du septième art en opérant une savoureuse mise en abyme qui balaie toutes les étapes de la fabrication d'un long métrage.
Le Point
Le résultat est une friandise acidulée et réconfortante, un plaisir loin d'être négligeable par les temps qui courent.
Paris Match
Destiné aux jeunes cinéphiles, ce film d’animation survolté (ou hystérique selon les affinités) offre un cours en accéléré pour comprendre les différentes étapes de fabrication d’un film, du casting de l’actrice principale à la bande-annonce spectaculaire pour attirer un public nombreux dans les salles.
Télérama
Pompo the Cinephile est une véritable plongée dans les rouages de la fabrication d’un film, et notamment le montage. Mieux vaut, toutefois, avoir des affinités avec la culture et l’esthétique du manga pour pleinement apprécier cette œuvre hybride, entre pédagogie et divertissement.
Voici
Avec ce sujet peu commun, cette animation japonaise mène les spectateurs dans les coulisses fantasmées de la création d'un film Nyallywood. L'histoire est parfois très simple, mais la mise en images déborde tellement d'idées que Pompo se révèle, au final, plutôt plaisant à suivre.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Takayuki Hirao assume pleinement son ton résolument sentimental et naïf dans sa célébration du septième art. Il en ressort une légèreté qui se dissipera en souvenir fugace.
Le Dauphiné Libéré
Le réalisateur entend exalter la joie et l’euphorie qui accompagnent la création collective d’un film.