Avis sur Le Beau jeu

Fondée en 2001, la Coupe du monde des sans-abris permet à des personnes du monde entier de se rassembler autour de leur passion pour le football. Le but est avant tout de les faire sortir de leur quotidien et de changer leur état d'esprit grâce au sport qui est capable de faire des miracles. "The Beautiful Game" est inspiré de la véritable histoire de certains participants. Il s'agit d'un drame sportif bien intentionné, mais au scénario trop convenu et sans surprise. Le scénario de Frank Cottrell Boyce respecte un peu trop le cahier des charges du genre avec les outsiders qui se révèlent, le solitaire qui s'ouvre aux autres, et les différentes histoires personnelles sur fond d'esprit de camaraderie. Dans le même genre, il y a eu "Dream", un feel good movie coréen léger et amusant, ce que n'est jamais le film de Thea Sharrock qui lui aussi souffre de longueurs inutiles. Ce n'est pas mauvais, mais c'est un film trop artificiel avec des enjeux faiblards et une bande pas assez attachante.

Je reviens après ma critique du précédent long métrage de Théâtre Sharrock intitulé : "Scandaleusement vôtre". Pareillement à son prédécesseur, "The beautiful game" est inspiré d'une histoire vraie, celle de la coupe du monde de football des sans-abris. Durant 2 heures, Thea Sharrock nous emmène dans un univers réaliste, où l'on ressent toutes les émotions des personnages. C'est à dire la joie, le stress, la peur etc.... Même si ce long métrage ne changera pas ma vision du monde et celle du cinéma en général j'ai quand même passé un vrai bon moment aux côtés de nos antagonistes préférés. En résumé regardez-le si vous avez aimé "Scandaleusement vôtre" et vous passerez un bon moment. 🥳

Un film qui nous fait découvrir la coupe du monde des SDF avec ce que chacun cherche à en tirer. Un bel esprit qui humanise les gens de la rue car au départ ce n'est jamais un choix.

Tiré de faits réels, une histoire sur la coupe du monde de foot des sans abris sympathique à suivre !! On reste dans la moyenne pour ce genre de film ni plus ni moins !!

Inspiré de faits réels avec des tournois de mini-foot destinés aux SDF, le film raconte comment des joueurs en décalage avec la société vont donner un sens à leur vie lors d’un tournoi international. Des joueurs qui ont des vies difficiles, souvent faites de souffrance et en perte d'identité et de confiance en eux.
Le film nous sensibilise sur la notion de seconde chance. Il est question de faire partie d'un projet autour d'un groupe car on n’est rien seul dans son coin.
Le film regorge de bon sentiment, c’est très feel good
Au niveau des regrets : j’ai trouvé le scénario un peu trop linéaire et prévisible. Les personnages sont intéressants et on développe beaucoup d'empathie à leur égard mais il manque un peu de sel et de poivre, voire de piquant.
La caméra est aussi trop axée sur le terrain de foot contrairement à une autre référence dans le même esprit : Ted Lasso. Même si ici encore, pas besoin de comprendre les règles du foot pour apprécier le film : l’intérêt n’est pas là.
Très beau film malgré tout, que je recommande pour son côté réconfortant et sa légère dérision façon humour Anglais face aux difficultés.

Typiquement le film anglais qui va du drame social à la comédie douce amère. Un joli film avec de beaux sentiments. C est bien joué de toutes et tous même si parfois on peut trouver le temps un peu long surtout vers la fin .

Un film humaniste et touchant. Nul besoin d'apprécier le football pour être ému par ce Beau jeu, l'histoire, le casting et le cadre romain suffisent à nous faire passer un bon moment.

c'est vraiment nul. Deux heures de perdu, ça n'a ni queue ni tête. Il y a très peu de développements entre les personnages. Vinny est insupportable tout le long du film.

Merci à cet excellent film de faire connaître la coupe du Monde des sans-abris, créée en 2001.
Je ne suis pas fou de foot, mais maintenant je ne le vois plus pareil.
Inspiré de faits réels avec des tournois de mini-foot destinés aux SDF. Une leçon de vie, sur la force de la solidarité et de la cohésion. Comme rapporte Vinny "Personne ne peu s’en sortir tout seul, on y arrive grâce aux autre"