La Merveilleuse odyssée de l'idiot toboggan : Critique presse
La Merveilleuse odyssée de l'idiot toboggan
Note moyenne
2,6
16 titres de presse
L'Humanité
Le Parisien
Télérama
Cine Libre
Le Monde
Première
Studio Magazine
Aden
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
Ciné Live
L'Express
Le Figaro
Libération
MCinéma.com
Zurban
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dans un cinéma d'auteur français tenté par la pornographie, Ravalec est peut-être le seul à avoir trouvé une voie singulière.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) Vincent Ravalec, ce sympathique créatif, joyeusement désespéré, a tricoté un objet de cinéma qui n'est pas sans rappeler Godard. On aime bien ce côté professeur Nimbus.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Marine Landrot
Compilation des courts métrages réalisés par Vincent Ravalec depuis quinze ans. Sombre et mordant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cine Libre
par Philippe Leclercq
Un collage de courts-métrages qualitativement inégal à voir surtout comme une variation expérimentale sur le thème de la trivialité de la chair déchirée entre plaisir et (petite) mort.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Le Monde
par Thomas Sotinel
On croise ou entrevoit des visages connus vite remplacés par des horreurs quotidiennes. C'est le monde comme le voit Ravalec, qui de toute façon ne fait pas mystère de son pessimisme dans le commentaire emphatique et souvent redondant qui accompagne les séquences "atypiques", pour reprendre un terme utilisé par l'auteur lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christophe Narbonne
Ravalec parle de sexe et de mort avec un sens de la provoc un rien compassé. (...) On préfère ses historiettes déconnantes (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Laure Croiset
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par Philippe Piazzo
(...) cette succession de films courts, avec quelques scènes apparemment inédites, n'évite pas le ressassement des mêmes thèmes. Leur enchaînement paraît bâclé : des plans de nuages en guise de transition avec des voix off, cela rappelle les plus paresseux des films à sketches. Pour apprécier ces quelques "contes", mieux vaut franchement les aborder séparément.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Alzabert
La Merveilleuse Odyssée de l'idiot Toboggan souffre surtout d'un vrai manque de cohérence plastique, qui en fait un film difforme et bancal.
Chronic'art.com
par Elysabeth François
(...) l'ensemble, patchwork pompeux où se côtoient plongées morbides dans le réel (la visite à l'abattoir et au musée des pathologies) et fictions bouffonnes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Patrick Artus
L'ensemble de ce patchwork, égayé de jolis plans de nuages en accéléré, a des airs recousus de colique esthétique devant laquelle il conviendra de passer son chemin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Remy Batteault
A ne voir que si vous êtes fan de l'auteur, âgé de plus de 18 ans, majeur, vacciné, sain d'esprit, mais un rien maso...
Zurban
par Véronique Le Bris
Ses films, d'un intérêt très inégal, se perdent trop souvent dans un verbiage ennuyeux, malgré quelques bonnes idées et prestations d'actrices intéressantes (Elodie Bouchez ou Marianne Denicourt).
L'Humanité
Dans un cinéma d'auteur français tenté par la pornographie, Ravalec est peut-être le seul à avoir trouvé une voie singulière.
Le Parisien
(...) Vincent Ravalec, ce sympathique créatif, joyeusement désespéré, a tricoté un objet de cinéma qui n'est pas sans rappeler Godard. On aime bien ce côté professeur Nimbus.
Télérama
Compilation des courts métrages réalisés par Vincent Ravalec depuis quinze ans. Sombre et mordant.
Cine Libre
Un collage de courts-métrages qualitativement inégal à voir surtout comme une variation expérimentale sur le thème de la trivialité de la chair déchirée entre plaisir et (petite) mort.
Le Monde
On croise ou entrevoit des visages connus vite remplacés par des horreurs quotidiennes. C'est le monde comme le voit Ravalec, qui de toute façon ne fait pas mystère de son pessimisme dans le commentaire emphatique et souvent redondant qui accompagne les séquences "atypiques", pour reprendre un terme utilisé par l'auteur lui-même.
Première
Ravalec parle de sexe et de mort avec un sens de la provoc un rien compassé. (...) On préfère ses historiettes déconnantes (...).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
(...) cette succession de films courts, avec quelques scènes apparemment inédites, n'évite pas le ressassement des mêmes thèmes. Leur enchaînement paraît bâclé : des plans de nuages en guise de transition avec des voix off, cela rappelle les plus paresseux des films à sketches. Pour apprécier ces quelques "contes", mieux vaut franchement les aborder séparément.
Cahiers du Cinéma
La Merveilleuse Odyssée de l'idiot Toboggan souffre surtout d'un vrai manque de cohérence plastique, qui en fait un film difforme et bancal.
Chronic'art.com
(...) l'ensemble, patchwork pompeux où se côtoient plongées morbides dans le réel (la visite à l'abattoir et au musée des pathologies) et fictions bouffonnes.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
L'ensemble de ce patchwork, égayé de jolis plans de nuages en accéléré, a des airs recousus de colique esthétique devant laquelle il conviendra de passer son chemin.
MCinéma.com
A ne voir que si vous êtes fan de l'auteur, âgé de plus de 18 ans, majeur, vacciné, sain d'esprit, mais un rien maso...
Zurban
Ses films, d'un intérêt très inégal, se perdent trop souvent dans un verbiage ennuyeux, malgré quelques bonnes idées et prestations d'actrices intéressantes (Elodie Bouchez ou Marianne Denicourt).