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FaRem
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3,5
Publiée le 14 juillet 2023
Si les choses arrivent parfois pour une raison, ce n'est pas de cette façon que Léopold a pris son échec pour intégrer médecine. Alors qu'il doit décider de la prochaine étape de son cursus, il choisit l'école des sages-femmes dans l'unique espoir de retrouver médecine deux ans plus tard. Alors que les clichés ont la vie dure, il va découvrir un métier bien loin de celui qu'il imaginait. Pour son premier film depuis plus de dix ans, Jennifer Devoldère va au-delà des préjugés pour proposer un film sincère et touchant qui aborde de nombreuses choses. Cela commence par l'importance de la transmission afin de susciter des vocations, ce qui est caractérisé par cette attendrissante relation entre Léopold et Nathalie, qui est remarquablement incarnée par Karin Viard. Le film montre aussi le rôle des sages-femmes dans son ensemble qui va au-delà du médical puisqu'il s'agit aussi d'un métier d'écoute. Étant donné la situation dans le pays, la réalisatrice dénonce également les conditions de travail difficiles de ces personnes. On pourrait englober le tout avec les infirmiers qui sont en première ligne et servent très souvent de poudre à canon. "Sage homme" est un beau film qui est à la fois tendre, amusant et attachant, mais c'est surtout un bel hommage à cette profession qu'elle soit exercée par des femmes ou par des hommes.
Un très beau film qui nous émeut beaucoup et met en lumière ce métier indispensable dans sa dureté et ses règles. L'approche d'un homme qui l'exerce à contre-coeur ajoute un plus non négligeable. Viard et Boomer forment un duo parfait. Je ne m'attendais à un récit aussi fort. A voir !
Un film sans grande surprise, on comprend rapidement où l on va et par où on va passer. Le côté maître apprenti fonctionne bien et l on en profite pour en apprendre plus sur une profession rarement mise en valeur. Dans le premier rôle Melvin Boomer est une belle découverte alors qu à l inverse j ai trouvé Karin Viard étonnamment fausse dans plusieurs scènes. Un film qui n est jamais mauvais mais qui s avère bien trop sage et balisé pour me laisser une vraie trace.
Un film juste, émouvant, amusant et très humain, récit initiatique qui fait fi des clichés, porté par un excellent Melvin Boomer et une Karin Viard parfaite en mentor qui a de la bouteille.
Un récit d'apprentissage au scénario prévisible mais divertissant, touchant et instructif, qui nous immerge dans un métier essentiel et difficile grâce au duo attachant Karine Viard/Melvin Boomer. 2,75
Bon film qui nous plonge dans le monde medical après examen. Un peu difficile de croire a cette histoire mais ca marche bien avec un bon rendu du milieu medical , un peu d'humour , un peu d’émotion. Rien a redire sur la prestation de karin viard car il fallait bien une tête connue pour attirer des spectateurs , mais des inconnues aurait était encore plus fort.
Le film s'amuse à se jouer des stéréotypes. Sur le machisme, la fierté masculine, les professions réservées aux femmes. Bonne idée mais il est dommage que l'écriture ne soit pas plus abouti , cela manque souvent de naturel. Même Karine Viard n'est pas aussi à son aise que d'habitude. Très inégal donc mais on a pas envie d'être trop sévère car l'ensemble demeure sympathique, le héros devient attachant au fur et à mesure, tout comme sa famille .
«La maternité, c'est le seul endroit où il y a plus de bonnes que de mauvaises nouvelles.»
Avec cette plongée dans ce métier (pas) comme les autres vu à travers les yeux du jeune Léopold, la réalisatrice-scénariste Jennifer Devoldere va au-delà de la blouse rose.
Dressant un portrait intime et sincère de cette profession et de son fonctionnement intérieur, pas toujours reconnu à sa juste valeur, le film se concentre principalement sur le rapport humain entre la sage-femme et sa patiente, comment la première va mettre en confiance la seconde, être à son écoute et lui donner la force nécessaire pour donner la vie. Et chaque patiente, chaque femme est différente, et demande pour cela un traitement spécifique. Être là à un moment bien précis (et important) de la vie de ces femmes pour s'effacer aussitôt une fois que l'accouchement est accompli.
Entre le film d'apprentissage et la comédie dramatique, cette œuvre n'évite pas certains poncifs du genre dans sa narration, mais sa manière, frontale et bienveillante, de traiter son sujet dans ses bons (les accouchements en eux-même, entre larmes de douleur et de joie) comme dans ses mauvais aspects (manque de personnel dans un hôpital déjà sous tension) finit par l'emporter.
Rajoutez à cela le très bon binôme Melvin Boomer-Karin Viard, et vous obtenez l'une des belles surprises de ce mois de mars, nous démontrant qu'il n'y a pas de sous-métier, et encore moins dans le milieu hospitalier.
A la fois parcours étudiant (par défaut) et immersion dans un service de CHU, Sage-homme montre la condition d'un métier si particulier, avec une quête de sens. Ainsi, le film est rendu réaliste mais il est également technique. Les personnages sont attachants, avec notamment la force de K. Viard. Pour autant, le déroulement de ce drame est plutôt prévisible.
Immersion dans le milieu hospitalier avec naissance d'une vocation...Karine Viard est excellente et le jeune acteur qui lui donne la réplique est à la hauteur. J'ai passé un bon moment
Karin Viard est souvent au casting de comédie sociale interessante qui alterne entre de bons sentiments et comédie de circonstances. Elle dynamise "Sage-Homme" dans chacune de ses scènes et forme un duo interessant avec le jeune Melvin Boomer. On est dans l'univers très féminin des Sage-Femme, métier hautement important. C'est attendrissant. avec des bébés et des accouchements à tout va.
J'ai vu un film... "Sage-Homme", qui m'a bouleversé... C'est humain, tendre, émouvant, et une ode à la vie, à l'espoir de ces femmes qui accouchent, aidées par des Sages-Femmes...
Et par un Sage-Homme... Un banlieusard, black qui a raté médecine, et qui se retrouve là, pétri de préjugés sur ce métier de femmes.. Et qui va découvrir la douceur, le courage, l'engagement et la capacité à donner la vie... Un privilège, un honneur...
C'est un parcours initiatique d'un jeune homme, qui va mieux comprendre les femmes... Et c'est un film particulièrement bien écrit, les dialogues sont fins, subtils... On n'en sort pas intact... On rit, on pleure d'une séquence à l'autre...
Karine Viard est absolument merveilleuse, une mère veilleuse qui va prendre en charge ce sale gosse, et va faire émerger son potentiel... Une Maïeuticienne de luxe qui va faire naître un meilleur humain (Melvin Boomer, excellent).
D'ailleurs, Le Sage-femme a le sens suivant : - "Sage" est dérivé du mot "sapiens" qui veut dire "celui qui a la connaissance, l’expérience", - "femme" désigne "la femme dont on s’occupe". Ainsi, on peut dire la ou le sage-femme.
Un merveilleux film.. qui traite de la vie... ça fait du bien !
Un film très juste et sensible, avec de beaux personnages parfaitement rendus. Le scénario tout en étant dans une conception traditionnelle arrive à nous emporter et nous émouvoir. Du beau travail qu'il ne faut pas bouder.
C’est une bonne surprise. L’intrigue, plutôt classique dans son approche, est bien’ amenée. La mise en scène est efficace. Le casting avec son duo principal est de qualité. Des moments avec de belles touches d’humour et de drame. C’est un bon film à voir.
très bon film, on passe un très bon moment et on est plongé dans le milieu de la maternité, certaines scènes m'ont mise mal à l'aise mais dans l'ensemble j'ai aimé ma séance.