Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Closer
par J.B.
Un bijou d'impertinence, d'humour et de pédagogie.
Le Parisien
par La Rédaction
Face à un Melvin Boomer hypertouchant, Karin Viard se révèle une fois de plus formidable dans ce rôle magnifique, plein d’humanité. Très bien écrit, « Sage-homme » n’oublie jamais d’être drôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marie Claire
par G.F / J.H
Courez découvrir ce récit d'apprentissage féministe. Vous rirez, serez révolté.e, ému.e aux larmes... Et tout cela, à quelques minutes d'intervalle.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette comédie subtile fait découvrir un monde méconnu par les yeux de personnages attachants que la réalisatrice fait évoluer de façon naturelle entre milieu professionnel et personnel.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Une brillante comédie hospitalière et un bel hommage à une profession qui manque de reconnaissance.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce récit initiatique filmé par Jennifer Devoldere s’amuse sans en faire trop des clichés et préjugés qui entourent l’exercice du métier de sage-femme par un homme.
Elle
par Françoise Delbecq
Carrément jouissif.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ce récit initiatique s’amuse sans en faire trop des clichés et préjugés qui entourent l’exercice du métier de sage-femme par un homme. Il ne revendique rien, pas même une masculinisation de cet emploi. Avec Karin Viard, il accouche d’une vision juste et réaliste d’un métier complexe, mal connu, peu visible au cinéma.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Une comédie hospitalière réussie portée par un duo complice, Melvin Boomer et Karin Viard.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Sur un métier méconnu et pas toujours valorisé, cette jolie comédie familiale trouve le bon équilibre entre pédagogie, humour et émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télé 2 semaines
par C. Ch.
Malgré un scénario prévisible, ce film emmène le spectateur du rire aux larmes sur les traces de Léopold, parfaitement interprété par Melvin Boomer.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Sensible et captivant, le scénario raconte une touchante histoire de transmission, tout en nous plongeant, avec une approche didactique bienvenue, dans un univers fascinant, rarement évoqué au cinéma.
Télé Loisirs
par Cédric Choukroun
Malgré un scénario prévisible, ce film embarque le spectateur sur les traces de Léopold, impeccablement interprété par Melvin Boomer.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si la fonction du cinéma est de faire du bien, la pari du film de Jennifer Devoldère est largement atteint.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
L’air de rien, dans les multiples apprentissages de son jeune héros, "Sage-Homme" évoque avec humour et acuité le rapport de l’homme à la féminité, qu'il s'agisse d'évaluer l’ouverture du col utérin ou d'apprendre sur mannequin à caresser sa future petite copine pour devenir un bel amant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par X. L.
Une comédie aigre-douce qui ne ment jamais sur ses intentions et reste totalement sincère, tant envers son sujet qu’envers le public.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Certes le récit se déroule sans grande surprise, mais la justesse du tableau et de ses interprètes fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un film d’apprentissage classique mais consolidé par un récit qui aborde frontalement des problématiques majeures.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Cl. F.
Dans son esprit résolument féministe, avec son tandem d’acteurs drôle et sensible, ce film ne manque pas d’attrait, capte de vrais accouchements (du moins y croit-on) et souligne la fatigue d’une profession à bout de souffle. Dommage que la fin soit négligée, et que certains personnages restent peu aboutis.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier de Bruyn
Une fiction qui, malgré ses nombreuses facilités, se distingue du tout-venant grâce à son scénario fantaisiste et, surtout, à son séduisant duo d'acteurs
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Tendre, profond, sans refuser un soupçon de légèreté bienvenue, voilà le portrait finement écrit d’un jeune étudiant sage-femme à la découverte de la vie qui commence et des femmes qui l’entourent.
L'Humanité
par Aurélia de Spirt
L’affiche d’un rose agressif annonce la couleur. Sage-Homme est un film au discours féministe policé.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Première
par Thierry Chèze
Le portrait du quotidien de l’hôpital riche en absurdités où l’administratif prime sur le médical. Autant de choses certes connues mais qu’il n’est jamais vain de rappeler surtout quand ces scènes sont incarnées par un comédien aussi juste et charismatique que Melvin Boomer (Le Monde de demain).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Caroline Besse
Si les enjeux intimes des personnages sont assez convenus, le scénario a le mérite de mettre en lumière une profession peu représentée, les difficultés rencontrées par ces soignantes et ce jeune homme, donc : hôpital sous tension, hiérarchie déconnectée du terrain, manque de personnel et surmédicalisation sont ainsi mis sur la table (d’opération).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Closer
Un bijou d'impertinence, d'humour et de pédagogie.
Le Parisien
Face à un Melvin Boomer hypertouchant, Karin Viard se révèle une fois de plus formidable dans ce rôle magnifique, plein d’humanité. Très bien écrit, « Sage-homme » n’oublie jamais d’être drôle.
Marie Claire
Courez découvrir ce récit d'apprentissage féministe. Vous rirez, serez révolté.e, ému.e aux larmes... Et tout cela, à quelques minutes d'intervalle.
20 Minutes
Cette comédie subtile fait découvrir un monde méconnu par les yeux de personnages attachants que la réalisatrice fait évoluer de façon naturelle entre milieu professionnel et personnel.
CNews
Une brillante comédie hospitalière et un bel hommage à une profession qui manque de reconnaissance.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce récit initiatique filmé par Jennifer Devoldere s’amuse sans en faire trop des clichés et préjugés qui entourent l’exercice du métier de sage-femme par un homme.
Elle
Carrément jouissif.
Le Dauphiné Libéré
Ce récit initiatique s’amuse sans en faire trop des clichés et préjugés qui entourent l’exercice du métier de sage-femme par un homme. Il ne revendique rien, pas même une masculinisation de cet emploi. Avec Karin Viard, il accouche d’une vision juste et réaliste d’un métier complexe, mal connu, peu visible au cinéma.
Le Figaro
Une comédie hospitalière réussie portée par un duo complice, Melvin Boomer et Karin Viard.
Le Journal du Dimanche
Sur un métier méconnu et pas toujours valorisé, cette jolie comédie familiale trouve le bon équilibre entre pédagogie, humour et émotion.
Télé 2 semaines
Malgré un scénario prévisible, ce film emmène le spectateur du rire aux larmes sur les traces de Léopold, parfaitement interprété par Melvin Boomer.
Télé 7 Jours
Sensible et captivant, le scénario raconte une touchante histoire de transmission, tout en nous plongeant, avec une approche didactique bienvenue, dans un univers fascinant, rarement évoqué au cinéma.
Télé Loisirs
Malgré un scénario prévisible, ce film embarque le spectateur sur les traces de Léopold, impeccablement interprété par Melvin Boomer.
aVoir-aLire.com
Si la fonction du cinéma est de faire du bien, la pari du film de Jennifer Devoldère est largement atteint.
Culturopoing.com
L’air de rien, dans les multiples apprentissages de son jeune héros, "Sage-Homme" évoque avec humour et acuité le rapport de l’homme à la féminité, qu'il s'agisse d'évaluer l’ouverture du col utérin ou d'apprendre sur mannequin à caresser sa future petite copine pour devenir un bel amant.
L'Obs
Une comédie aigre-douce qui ne ment jamais sur ses intentions et reste totalement sincère, tant envers son sujet qu’envers le public.
La Croix
Certes le récit se déroule sans grande surprise, mais la justesse du tableau et de ses interprètes fait mouche.
La Voix du Nord
Un film d’apprentissage classique mais consolidé par un récit qui aborde frontalement des problématiques majeures.
Le Monde
Dans son esprit résolument féministe, avec son tandem d’acteurs drôle et sensible, ce film ne manque pas d’attrait, capte de vrais accouchements (du moins y croit-on) et souligne la fatigue d’une profession à bout de souffle. Dommage que la fin soit négligée, et que certains personnages restent peu aboutis.
Les Echos
Une fiction qui, malgré ses nombreuses facilités, se distingue du tout-venant grâce à son scénario fantaisiste et, surtout, à son séduisant duo d'acteurs
Paris Match
Tendre, profond, sans refuser un soupçon de légèreté bienvenue, voilà le portrait finement écrit d’un jeune étudiant sage-femme à la découverte de la vie qui commence et des femmes qui l’entourent.
L'Humanité
L’affiche d’un rose agressif annonce la couleur. Sage-Homme est un film au discours féministe policé.
Première
Le portrait du quotidien de l’hôpital riche en absurdités où l’administratif prime sur le médical. Autant de choses certes connues mais qu’il n’est jamais vain de rappeler surtout quand ces scènes sont incarnées par un comédien aussi juste et charismatique que Melvin Boomer (Le Monde de demain).
Télérama
Si les enjeux intimes des personnages sont assez convenus, le scénario a le mérite de mettre en lumière une profession peu représentée, les difficultés rencontrées par ces soignantes et ce jeune homme, donc : hôpital sous tension, hiérarchie déconnectée du terrain, manque de personnel et surmédicalisation sont ainsi mis sur la table (d’opération).