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    Reprise en main
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    3,7
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    308 critiques spectateurs

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    Antoine Grange
    Antoine Grange

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    5,0
    Publiée le 22 octobre 2022
    Un film plein d’espoir qui donne la pêche !
    Un casting de choix, qui fait prendre tout son corps à un scénario original. A voir de toute urgence !
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    204 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 octobre 2022
    Un minuscule film français. Microscopique. Sans le moindre intérêt, sans la moindre velléité, dénué de toute ambition artistique. Les comédiens font ce qu'ils peuvent mais on voit bien qu'ils sont là uniquement par intérêt. Le réalisateur devrait changer de métier, pour le bien de tous.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    162 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mars 2023
    "Reprise en main", comédie sociale française réalisée par Gilles Perret, sortie en 2022. Première fiction du documentariste Gilles Perret qui réalise ici un long métrage en cohérence avec les thèmes de ces documentaires. Sur la résistance et le programme du Conseil National de la Résistance avec " Les Jours heureux" (2013), la création de la Sécurité Sociale, avec "La sociale", la destruction de l'industrie française avec " Ma mondialisation" en 2006 ou encore le mouvement des gilets jaunes, en 2019 avec "J'veux du soleil", co-réalisé avec le député-journaliste François Ruffin.
    Un film politique et militant pour la réappropriation des outils de productions par les premiers concernés : les ouvriers.
    Gilles Perret connait son sujet, originaire de Haute-Savoie, il filme magnifiquement les paysages de la vallée de l'Arve et la vie au sein d'une entreprise de décolletage. Un plaidoyer pour le maintien des savoir-faire et des emplois sur nos territoire
    Un film avec Pierre Deladonchamps, Lætitia Dosch, Grégory Montel, Finnegan Oldfield, Jacques Bonnaffé, Sabrina Ali Benali et Rufus. Une comédie très sympathique et un beau film.
    Topazine23
    Topazine23

    41 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 octobre 2022
    Si un gros shoot d'humanité sur fond d'Unité vous parle, entouré de partenaires sympathiques et vrais, alors vous prendrez beaucoup de plaisir à partager cette PRISE EN MAIN, belle réussite à forte connotation sociale de Gilles PERRET.
    Rafraîchissant !
    Laurent B
    Laurent B

    13 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 octobre 2022
    Une histoire humaine avant tout. Une comédie sociale drôle et instructive. Chacun des personnages est campé par des acteurs investis. Bravo.
    Daniel Gonzalez10
    Daniel Gonzalez10

    1 abonné 80 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 octobre 2022
    Un vrai coup de fraîcheur
    De l humour mais aussi une autre morale économique
    Un Ken loach made in France
    Courrez y vite!!!!
    Et à partager sans modération
    jean louis SOULIER
    jean louis SOULIER

    13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2022
    Voilà un bon film tout public qui explique de manière simple le rachat d'une entreprise par LBO, phénomène financier parfaitement légal qui a pris une ampleur très forte dans notre pays et qui provoque un endettement important des entreprises au seul profit des fonds d'investissement, sans que ça inquiète personne. Loin d'être technique ou soporifique, ce film agréable et non dénué d'humour est servi par des comédiens tous excellents notamment la trop rare Laeticia Dosch.
    Chris58640
    Chris58640

    216 abonnés 761 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 octobre 2022
    Le réalisateur Gilles Perret propose, avec « Reprise en main », un long-métrage qui se veut engagé mais qui tente aussi de ne pas paraitre trop caricatural, que ce soit dans l’intrigue ou dans la construction des personnages. C’est sur cette ligne de crête que le film joue les funambules en permanence et pendant 1h50. En choisissant de camper son intrigue en Savoie, en faisant de son personnage principal un alpiniste aguerri (ce qui lui permet de proposer deux-trois scène d’escalade sacrément flippantes), il pose son intrigue dans un écrin forcément magnifique et qui parle à tout le monde : les plaines de la Beauce ça ne fait pas rêver, les sommets alpins, si ! On pourrait croire que c’est anecdotique de commencer par parler du décor mais je pense au contraire que ça compte pour beaucoup dans le côté « territoire les pieds sur terre dans la vraie vie contre la finance désincarnée ». A part ce parti-pris, le film est correctement réalisé, sans temps morts, sans scènes superflues, sans pathos et en s’offrant même quelques pointes d’humour et quelques pointes d’émotion contenues, notamment dans la relation pas évidente entre Cédric et son père, un retraité syndicaliste bien plus radical que son fils. La musique est sympathique, avec une même chanson qui ouvre le film dans un autoradio, est jouée en live au milieu du film et le clôture en générique de fin, comme une sorte de ponctuation. Comme la chanson est sympa, les paroles bien écrites, ça en fait un petit gimmick réussi. Au casting, on retrouve Pierre Deladonchamps, qu’on est davantage habitué à voir dans des rôles plus « bourgeois ». C’est un comédien de grand talent qui trouve ici un rôle différent dans lequel il s’est impliqué à fond. C’est la même chose pour l’épatant (et encore trop rare) Gregory Montel, qui apporte ne plus la petite pointe d’humour du film, en banquier célibataire et amoureux d’une belle blonde spoiler: parfaitement inaccessible
    . La belle blonde, c’est la secrétaire de direction du l’entreprise, très bien campée par Laetitia Dosch. C’est peut-être elle qui a le rôle le plus fouillé, spoiler: tiraillé entre son ambition et ses parents visiblement très dépendants, tiraillée entre partir et rester, tiraillée entre la Direction et les ouvriers qu’elle a tous côtoyé au lycée et dont on lui demande de faire la liste pour le futur dégraissage.
    Et puis, on peut rajouter des seconds rôles un tout petit peu sous-écrits, comme celui du père de Cédric (Rufus, toujours impeccable) ou Frédéric (Finnegan Oldfiel). Ce dernier a le rôle spoiler: le plus ambigu, à la fois sympathique et détestable, fragile (sur la montagne) et fort (quand il s’agit de parler de finance), pas facile de camper ce genre de personnage ambivalent
    . Le scénario de « Reprise en main » réussi un petit tour de force : nous intéresser et nous rendre clair comme de l’eau minérale le monde des fonds d’investissement et de leur mode de fonctionnement. J’ai tout compris, je crois, et ce n’était pas gagné d’avance !Le scénario joue une partition classique, avec une longue (trop longue) introduction, une intrigue qui avance, spoiler: un coup dur de dernière minute où l’on croit que tout est fichu et un ultime rebondissement plein de morale.
    Le canevas, tout efficace qu’il soit, est malheureusement usé jusqu’à la corde. Le film essaie, sans toujours y parvenir, de ne pas sombrer dans les poncifs et les phrases toutes faites sur le monde la Finances, qui est ici le grand méchant cynique et méprisant qui veut faire plein de fric sans se soucier ni de l’emploi, ni de la sécurisé. Je ne dis pas qu’il ne fallait pas aller sur ce terrain, je dis juste qu’on aurait pu le faire encore plus subtilement, comme le fait Ken Loach en Grande Bretagne par exemple. Les affirmations péremptoires qui sonnent comme des slogans de manifs n’étaient pas un passage obligé. Néanmoins, ce petit bémol posé, « Reprise en Main, qui est sorti en salle dans un relatif anonymat, mérite malgré tout le déplacement. Le film est bien fait, très clair, jamais ennuyeux et sur ce sujet, c’était inespéré. La toute dernière image du film est presque frustrante car quand le film se termine, le plus difficile commence pour les « héros » de « Reprise en main ».
    Berthomrouv
    Berthomrouv

    7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 octobre 2022
    jeux d'acteurs interessant pour un film intelligent qui traite de façon sensée et originale un aspect tout à fait actuel de notre Société A voir
    Francois L.
    Francois L.

    1 abonné 20 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 octobre 2022
    Très bon film, très vrai avec presque une impression de documentaire sur quelques séquences qui rajoute à ce sentiment de vérité. Une image pas très glorieuse des fonds d'investissement et leur LBO
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 octobre 2023
    Une fable sociale bien utopique mais sympathique qui lorgne gentiment vers Ken Loach, l'émotion en moins.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    208 abonnés 1 917 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 octobre 2023
    Le film commence plutôt bien, même si on peut lui reprocher son caractère didactique et manichéen. Mais il sombre assez vite, non seulement dans l'invraisemblance grossière, mais dans l'arnaque idéologique. Gilles Perret, dont je n'ai pas vu les documentaires, essaie de nous faire croire que les salariés pourraient battre les capitalistes et les banquiers sur leur terrain, en montant des magouilles financières. On est loin de la naïveté gentille d'un Capra (dont Perret a peut-être cru s'inspirer) ou du délicieux "Crime de monsieur Lange" de Renoir où les salariés montent une coopérative après la mort de leur patron escroc. En fait, ce film exprime, inconsciemment peut-être, un très grand mépris pour la masse des travailleurs dont le rôle se limite à débrayer sur ordre pour faire baisser la côte de leur entreprise et permettre à trois petits génies improvisés de la reprendre ou nous laissant croire qu'elle pourrait devenir à la fois plus rentable, plus moderne et plus humaine dans le cadre du système capitaliste. Si on ajoute les femmes potiches, il n'y a pas grand chose à sauver, sinon la scène, certes caricaturale mais grinçante, où le patron offre deux repas au restaurant à un ouvrier qui a perdu une main broyée par une machine.
    pitch22
    pitch22

    170 abonnés 682 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2022
    J'ai vu ce film parce qu'il y avait que ça à voir au moment où j'y suis allé, et bon je n'avais pas envie de le voir, vu l'aspect déprimant du sujet ; et en fait j'ai bien aimé, c'est un bon film, ça fait du bien. Certes, on n'est pas dans le réalisme, c'est une histoire un peu abracadabrantesque qui tire de grosses ficelles mais ça marche malgré des moyens manifestement limités, le tout soutenu par le jeu des acteurs, tous d'un bon niveau, en particulier Laetitia Dosch.
    bobmorane63
    bobmorane63

    196 abonnés 1 977 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 novembre 2022
    Première fiction qui marche bien de Gilles Perret venant du documentaire !!
    Le réalisateur avait réalisé deux documentaires auparavant avec le député communiste François Ruffin sur des personnes invisibles socialement de la société, c'est donc en terre inconnue du cinéma que Gilles Perret signe son film solo et je trouve avec "Reprise en main" qu'il s'en sort plutôt bien. Le long métrage se passe dans le milieu d'une société de mécanique dans une commune vivant au milieu de montagnes ou le personnage principal s'exerce à l'escalade. L'entreprise connait des difficultés, de mauvais matériels, accident de travail, licenciement, mais une vente de la société estimée par des leaders va donner l'idée de quelques salariés de reprendre la société cher à leurs coins mais pas facile .. . J'ai passé un bon moment devant ce film traité souvent avec légèreté, c'est pas nouveau niveau sujet (j'ai un peu pensé à "La vérité si je mens" de Thomas Gilou), gérer l'entreprise, mais la réussite vient aussi des comédiens excellents comme en tète Pierre Deladonchamps, Laetitia Dosch, Gregory Montel ou Rufus en second role pour citer ceux que je connais. Le sujet parait difficile mais le message donne espoir.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    135 abonnés 2 235 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 novembre 2023
    La fondue savoyarde. Rage against the marmottes. Passé du documentaire au cinéma juste avec sa carte de syndicaliste, c'est raté. Raté, comme la métaphore de la montagne et de l'usine. Un gros manque d'audace.
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