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Le réalisateur a le talent de planter son décor, situé dans des paysages splendides de Haute-Savoie, avec des rôles attachants et une histoire prenante.
Reprise en main poursuit son travail entamé dans le cinéma du réel en réenchantant la lutte collective avec une bande de joyeux drilles déterminés. Cette finance pour les nuls se mue en feel good movie savoyard.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Et la démonstration est servie par quelques « ouvriers ultra qualifiés » du cinéma, comme Grégory Montel, savoureux en petit employé de banque prenant sa revanche, et Pierre Deladonchamps, qui semble avoir réparé des machines toute sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Entre humour et authenticité, Gilles Perret trouve les mots adéquats pour catapulter sans se prendre au sérieux les impacts de la finance dans les entreprises.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
En faisant incarner à ses héros des valeurs de solidarité et la fidélité à un héritage culturel et familial face au capital, le regard sur le peuple frise l’angélisme. Mais quand certains récits reproduisent les humiliations sous couvert de dénonciation, la politique de la fable tient justement aussi à sa manière d’arrimer ses personnages à un affect conscient : la fierté.
Entamé, de manière un peu inquiétante, dans la droite ligne d’un Stéphane Brizé (En guerre, 2018), le film prend sa vitesse de croisière en bifurquant du côté, plus farcesque, d’un Kervern-Delépine (Louise-Michel, 2008). Tout cela est d’ailleurs suffisamment documenté pour nous faire accroire que ce récit picaresque est de l’ordre du possible.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Fils d’un syndicaliste et natif de Haute-Savoie, Perret sait faire ressentir cette « Reprise en main » - Cédric est un artiste de l’escalade en falaise - comme une histoire de vie où tout n’est pas écrit d’avance.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Si ces ruptures de ton peuvent parfois déconcerter, le scénario s’adosse à quelques seconds rôles finement esquissés (Marie Denarnaud, Jacques Bonnaffé) et à la complexité schizophrénique des deux personnages principaux.
Hélas, là où le documentaire permettait à Perret de saisir le réel qui déborde à l’image dans toute sa complexité, l’excès de didactisme du scénario de Reprise en main et son récit trop mécanique, où chaque personnage est souvent réduit à une fonctionnalité, font plonger cette première tentative de fiction dans une imitation généralisée du réel.
Quelque part entre le cinéma de Ken Loach et de Stéphane Brizé, Perret use des outils du cinéma pour créer du suspense et donc maintenir une tension censée nous accompagner jusqu’au bout de cette lutte des classes. Malheureusement, son scénario trop schématique et manichéen désamorce toute complexité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Reprise en main se fait étonnamment, et probablement malgré lui, chantre de l’efficacité et du récit productif ; il crée tout au plus de la valeur narrative.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Las, l'intrigue est trop schématique, naïve et manichéenne. Perret ambitionnait une fiction utopique à la Frank Capra, on se retrouve plutôt dans Caméra café.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Empruntant poussivement à la comédie de braquage et au buddy movie, Reprise en main cumule toutes sortes de problèmes – de jeu, approximatif jusqu’au malaise, de ton, dominé par une masculinité bourrue à la papa, d’écriture, pétrie de lourdeurs édifiantes…
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Ce film galvanisant tend à prouver que l’union peut effectivement faire la force.
Franceinfo Culture
Le réalisateur a le talent de planter son décor, situé dans des paysages splendides de Haute-Savoie, avec des rôles attachants et une histoire prenante.
L'Humanité
Reprise en main poursuit son travail entamé dans le cinéma du réel en réenchantant la lutte collective avec une bande de joyeux drilles déterminés. Cette finance pour les nuls se mue en feel good movie savoyard.
La Voix du Nord
Le documentariste Gilles Perret signe sa première œuvre de fiction. Une fable sur la lutte des salariés contre les spéculateurs.
Les Fiches du Cinéma
Une forme de conte social moderne, drôle et édifiant par son actualité !
Télé 2 semaines
[...] une histoire sociale parfois effrayante de réalisme, mais toujours pleine d'espoir.
Télérama
Et la démonstration est servie par quelques « ouvriers ultra qualifiés » du cinéma, comme Grégory Montel, savoureux en petit employé de banque prenant sa revanche, et Pierre Deladonchamps, qui semble avoir réparé des machines toute sa vie.
aVoir-aLire.com
Entre humour et authenticité, Gilles Perret trouve les mots adéquats pour catapulter sans se prendre au sérieux les impacts de la finance dans les entreprises.
Bande à part
Une sympathique comédie en forme de fiction sociale.
Cahiers du Cinéma
En faisant incarner à ses héros des valeurs de solidarité et la fidélité à un héritage culturel et familial face au capital, le regard sur le peuple frise l’angélisme. Mais quand certains récits reproduisent les humiliations sous couvert de dénonciation, la politique de la fable tient justement aussi à sa manière d’arrimer ses personnages à un affect conscient : la fierté.
L'Obs
C’est réconfortant, chaleureux, sympathique, une sorte de bouillotte sociale. On en a grand besoin.
Le Journal du Dimanche
Naviguant entre humour et émotion, le récit, porté par des acteurs impeccables, séduit par ses qualités d’écriture.
Le Monde
Entamé, de manière un peu inquiétante, dans la droite ligne d’un Stéphane Brizé (En guerre, 2018), le film prend sa vitesse de croisière en bifurquant du côté, plus farcesque, d’un Kervern-Delépine (Louise-Michel, 2008). Tout cela est d’ailleurs suffisamment documenté pour nous faire accroire que ce récit picaresque est de l’ordre du possible.
Le Parisien
Fils d’un syndicaliste et natif de Haute-Savoie, Perret sait faire ressentir cette « Reprise en main » - Cédric est un artiste de l’escalade en falaise - comme une histoire de vie où tout n’est pas écrit d’avance.
Positif
Si ces ruptures de ton peuvent parfois déconcerter, le scénario s’adosse à quelques seconds rôles finement esquissés (Marie Denarnaud, Jacques Bonnaffé) et à la complexité schizophrénique des deux personnages principaux.
Les Inrockuptibles
Hélas, là où le documentaire permettait à Perret de saisir le réel qui déborde à l’image dans toute sa complexité, l’excès de didactisme du scénario de Reprise en main et son récit trop mécanique, où chaque personnage est souvent réduit à une fonctionnalité, font plonger cette première tentative de fiction dans une imitation généralisée du réel.
Ouest France
Gilles Perret ne fait pas dans le demi-mesure, en digne descendant de Ken Loach. Dommage que le scénario soit trop manichéen.
Première
Quelque part entre le cinéma de Ken Loach et de Stéphane Brizé, Perret use des outils du cinéma pour créer du suspense et donc maintenir une tension censée nous accompagner jusqu’au bout de cette lutte des classes. Malheureusement, son scénario trop schématique et manichéen désamorce toute complexité.
Critikat.com
Reprise en main se fait étonnamment, et probablement malgré lui, chantre de l’efficacité et du récit productif ; il crée tout au plus de la valeur narrative.
Le Figaro
Las, l'intrigue est trop schématique, naïve et manichéenne. Perret ambitionnait une fiction utopique à la Frank Capra, on se retrouve plutôt dans Caméra café.
Libération
Empruntant poussivement à la comédie de braquage et au buddy movie, Reprise en main cumule toutes sortes de problèmes – de jeu, approximatif jusqu’au malaise, de ton, dominé par une masculinité bourrue à la papa, d’écriture, pétrie de lourdeurs édifiantes…