Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film galvanisant tend à prouver que l’union peut effectivement faire la force.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le réalisateur a le talent de planter son décor, situé dans des paysages splendides de Haute-Savoie, avec des rôles attachants et une histoire prenante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Reprise en main poursuit son travail entamé dans le cinéma du réel en réenchantant la lutte collective avec une bande de joyeux drilles déterminés. Cette finance pour les nuls se mue en feel good movie savoyard.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Le documentariste Gilles Perret signe sa première œuvre de fiction. Une fable sur la lutte des salariés contre les spéculateurs.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une forme de conte social moderne, drôle et édifiant par son actualité !
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 2 semaines
par V.T.
[...] une histoire sociale parfois effrayante de réalisme, mais toujours pleine d'espoir.
Télérama
par Guillemette Odicino
Et la démonstration est servie par quelques « ouvriers ultra qualifiés » du cinéma, comme Grégory Montel, savoureux en petit employé de banque prenant sa revanche, et Pierre Deladonchamps, qui semble avoir réparé des machines toute sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre humour et authenticité, Gilles Perret trouve les mots adéquats pour catapulter sans se prendre au sérieux les impacts de la finance dans les entreprises.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
Une sympathique comédie en forme de fiction sociale.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
En faisant incarner à ses héros des valeurs de solidarité et la fidélité à un héritage culturel et familial face au capital, le regard sur le peuple frise l’angélisme. Mais quand certains récits reproduisent les humiliations sous couvert de dénonciation, la politique de la fable tient justement aussi à sa manière d’arrimer ses personnages à un affect conscient : la fierté.
L'Obs
par François Forestier
C’est réconfortant, chaleureux, sympathique, une sorte de bouillotte sociale. On en a grand besoin.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
Naviguant entre humour et émotion, le récit, porté par des acteurs impeccables, séduit par ses qualités d’écriture.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J. Ma.
Entamé, de manière un peu inquiétante, dans la droite ligne d’un Stéphane Brizé (En guerre, 2018), le film prend sa vitesse de croisière en bifurquant du côté, plus farcesque, d’un Kervern-Delépine (Louise-Michel, 2008). Tout cela est d’ailleurs suffisamment documenté pour nous faire accroire que ce récit picaresque est de l’ordre du possible.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Fils d’un syndicaliste et natif de Haute-Savoie, Perret sait faire ressentir cette « Reprise en main » - Cédric est un artiste de l’escalade en falaise - comme une histoire de vie où tout n’est pas écrit d’avance.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Éric Derobert
Si ces ruptures de ton peuvent parfois déconcerter, le scénario s’adosse à quelques seconds rôles finement esquissés (Marie Denarnaud, Jacques Bonnaffé) et à la complexité schizophrénique des deux personnages principaux.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Hélas, là où le documentaire permettait à Perret de saisir le réel qui déborde à l’image dans toute sa complexité, l’excès de didactisme du scénario de Reprise en main et son récit trop mécanique, où chaque personnage est souvent réduit à une fonctionnalité, font plonger cette première tentative de fiction dans une imitation généralisée du réel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thomas Baurez
Gilles Perret ne fait pas dans le demi-mesure, en digne descendant de Ken Loach. Dommage que le scénario soit trop manichéen.
Première
par Thomas Baurez
Quelque part entre le cinéma de Ken Loach et de Stéphane Brizé, Perret use des outils du cinéma pour créer du suspense et donc maintenir une tension censée nous accompagner jusqu’au bout de cette lutte des classes. Malheureusement, son scénario trop schématique et manichéen désamorce toute complexité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Luca Mongai
Reprise en main se fait étonnamment, et probablement malgré lui, chantre de l’efficacité et du récit productif ; il crée tout au plus de la valeur narrative.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par O. D.
Las, l'intrigue est trop schématique, naïve et manichéenne. Perret ambitionnait une fiction utopique à la Frank Capra, on se retrouve plutôt dans Caméra café.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Sandra Onana
Empruntant poussivement à la comédie de braquage et au buddy movie, Reprise en main cumule toutes sortes de problèmes – de jeu, approximatif jusqu’au malaise, de ton, dominé par une masculinité bourrue à la papa, d’écriture, pétrie de lourdeurs édifiantes…
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Ce film galvanisant tend à prouver que l’union peut effectivement faire la force.
Franceinfo Culture
Le réalisateur a le talent de planter son décor, situé dans des paysages splendides de Haute-Savoie, avec des rôles attachants et une histoire prenante.
L'Humanité
Reprise en main poursuit son travail entamé dans le cinéma du réel en réenchantant la lutte collective avec une bande de joyeux drilles déterminés. Cette finance pour les nuls se mue en feel good movie savoyard.
La Voix du Nord
Le documentariste Gilles Perret signe sa première œuvre de fiction. Une fable sur la lutte des salariés contre les spéculateurs.
Les Fiches du Cinéma
Une forme de conte social moderne, drôle et édifiant par son actualité !
Télé 2 semaines
[...] une histoire sociale parfois effrayante de réalisme, mais toujours pleine d'espoir.
Télérama
Et la démonstration est servie par quelques « ouvriers ultra qualifiés » du cinéma, comme Grégory Montel, savoureux en petit employé de banque prenant sa revanche, et Pierre Deladonchamps, qui semble avoir réparé des machines toute sa vie.
aVoir-aLire.com
Entre humour et authenticité, Gilles Perret trouve les mots adéquats pour catapulter sans se prendre au sérieux les impacts de la finance dans les entreprises.
Bande à part
Une sympathique comédie en forme de fiction sociale.
Cahiers du Cinéma
En faisant incarner à ses héros des valeurs de solidarité et la fidélité à un héritage culturel et familial face au capital, le regard sur le peuple frise l’angélisme. Mais quand certains récits reproduisent les humiliations sous couvert de dénonciation, la politique de la fable tient justement aussi à sa manière d’arrimer ses personnages à un affect conscient : la fierté.
L'Obs
C’est réconfortant, chaleureux, sympathique, une sorte de bouillotte sociale. On en a grand besoin.
Le Journal du Dimanche
Naviguant entre humour et émotion, le récit, porté par des acteurs impeccables, séduit par ses qualités d’écriture.
Le Monde
Entamé, de manière un peu inquiétante, dans la droite ligne d’un Stéphane Brizé (En guerre, 2018), le film prend sa vitesse de croisière en bifurquant du côté, plus farcesque, d’un Kervern-Delépine (Louise-Michel, 2008). Tout cela est d’ailleurs suffisamment documenté pour nous faire accroire que ce récit picaresque est de l’ordre du possible.
Le Parisien
Fils d’un syndicaliste et natif de Haute-Savoie, Perret sait faire ressentir cette « Reprise en main » - Cédric est un artiste de l’escalade en falaise - comme une histoire de vie où tout n’est pas écrit d’avance.
Positif
Si ces ruptures de ton peuvent parfois déconcerter, le scénario s’adosse à quelques seconds rôles finement esquissés (Marie Denarnaud, Jacques Bonnaffé) et à la complexité schizophrénique des deux personnages principaux.
Les Inrockuptibles
Hélas, là où le documentaire permettait à Perret de saisir le réel qui déborde à l’image dans toute sa complexité, l’excès de didactisme du scénario de Reprise en main et son récit trop mécanique, où chaque personnage est souvent réduit à une fonctionnalité, font plonger cette première tentative de fiction dans une imitation généralisée du réel.
Ouest France
Gilles Perret ne fait pas dans le demi-mesure, en digne descendant de Ken Loach. Dommage que le scénario soit trop manichéen.
Première
Quelque part entre le cinéma de Ken Loach et de Stéphane Brizé, Perret use des outils du cinéma pour créer du suspense et donc maintenir une tension censée nous accompagner jusqu’au bout de cette lutte des classes. Malheureusement, son scénario trop schématique et manichéen désamorce toute complexité.
Critikat.com
Reprise en main se fait étonnamment, et probablement malgré lui, chantre de l’efficacité et du récit productif ; il crée tout au plus de la valeur narrative.
Le Figaro
Las, l'intrigue est trop schématique, naïve et manichéenne. Perret ambitionnait une fiction utopique à la Frank Capra, on se retrouve plutôt dans Caméra café.
Libération
Empruntant poussivement à la comédie de braquage et au buddy movie, Reprise en main cumule toutes sortes de problèmes – de jeu, approximatif jusqu’au malaise, de ton, dominé par une masculinité bourrue à la papa, d’écriture, pétrie de lourdeurs édifiantes…