Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L'un des films les plus poignants de l’année.
Elle
par Mathilde Carton
Une beauté à couper le souffle.
GQ
par Adam Sanchez
Avec "Past Lives - Nos vies d'avant", Celine Song signe un premier film d'une délicatesse inouïe sur l'amour et le déracinement.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un sublime et déchirant adieu au passé et à l’enfance.
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film subtil et déchirant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par T.C.
Un voyage virtuose.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce premier film délicat a tous les atouts pour créer la surprise au box-office. Il émeut en profondeur par la douceur amère de son propos.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une grande finesse d'écriture.
Ecran Large
par Adrien Roche
Avec Past Lives, Celine Song signe bien plus qu’un premier long-métrage sur les amours de jeunesse et la difficulté d'être immigré. La cinéaste livre une œuvre juste et désarmante sur l’importance de notre histoire et l’acceptation du temps qui passe pour parvenir à aller de l'avant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Gestes, postures, attitudes et surtout regards : la caméra de Song capte l'indicible complicité qui lie ses héros.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par F. F.
En images pastel, une très jolie recherche du temps perdu, aussi émouvante qu’une fleur séchée dans un livre d’autrefois.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
D’une infinie délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La dramaturge américaine Celine Song signe un premier film d’une déchirante beauté, inspiré de sa propre histoire.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Constance Jamet
Pour son premier film, Céline Song offre une magnifique collision entre passé et présent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
"Past Lives" [...] éblouit par sa subtilité, son extrême délicatesse et sa pudeur, tout en disant de manière frontale à quel point certains choix de vie sont douloureux et ont forcément des conséquences cruelles sur l’entourage.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par V. Cau.
Une histoire simple, vieille comme le monde que Past Lives revisite avec une précision de métronome, une délicatesse de maître horloger.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Même si la mise en scène de « Past Lives » n'est pas à la hauteur de son scénario, ce premier film sensible révèle une réalisatrice à surveiller de près dans les années à venir. Un récit impressionniste touchant sur un grand amour platonique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Camille Nevers
C’est une variation sensible sur l’amour fou [...]. Amour fou considéré avec des yeux raisonnables, une façon de filmer déliée, prudente, cédant tout à la pudeur. "Past Lives" a cette grâce contrainte si particulière aux premiers films.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Cette fiction impressionniste et murmurée mérite de ne pas passer inaperçue dans le tumulte assourdissant des sorties de fin d’année.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Yannick Vely
Si scénario n’est pas follement original, la petite musique de Celine Song (pour son premier film), fonctionne à merveille. Elle décrit avec justesse l’ivresse de la romance virtuelle et la nostalgie des premiers amours.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Céline Song signe un film romantique et mélancolique autour du fossé qui se creuse entre deux personnes au gré de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Serge Kaganski
Le plus beau, c'est le mélange de précision, de retenue et de délicatesse dans le geste d'une cinéaste déjà extrêmement affirmée pour un premier film.
Voici
par La Rédaction
Un premier film très délicat.
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Une belle histoire d’une belle sensibilité et teintée de romantisme, entre Séoul et New York.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Dans son premier film, Celine Song interroge la complexité des relations humaines à travers une histoire assez convenue et maniérée, dont se détachent quelques moments sincères.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Sous son vernis élégant et gentiment raffiné, un film plus rugueux et cruel se développe alors, en forme de grande démystification du couple.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Lucie Chiquer
Dépouillé de tout artifice, ce drame sublimé d’une mise en scène intimiste fascine par son utilisation du vide, celui des mots qui n’ont pas été prononcés, des sentiments qui n’ont pas été éprouvés. Le regret est partout, la mélancolie omniprésente.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Ni comédie du remariage, ni drame adultère, Past Lives cultive son mode mineur avec un courageux refus du drame et des attendus, plein d’un regret terrible : celui de n’avoir qu’une vie. Quand l’émotion frappe, à la toute fin de ce film pudique et de bon goût donc, elle semble d’autant plus forte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Marin Gérard
Si l’on sent tout de même poindre ici et là, dans l’ampleur romanesque et la cruauté des ellipses, l’embryon d’un film splendide, il reste recouvert d’un vernis lustré (et estampillé, ce n’est pas anodin, de la « marque » A24).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
L'un des films les plus poignants de l’année.
Elle
Une beauté à couper le souffle.
GQ
Avec "Past Lives - Nos vies d'avant", Celine Song signe un premier film d'une délicatesse inouïe sur l'amour et le déracinement.
Le Dauphiné Libéré
Un sublime et déchirant adieu au passé et à l’enfance.
Le Parisien
Un film subtil et déchirant.
Ouest France
Un voyage virtuose.
20 Minutes
Ce premier film délicat a tous les atouts pour créer la surprise au box-office. Il émeut en profondeur par la douceur amère de son propos.
CinemaTeaser
Une grande finesse d'écriture.
Ecran Large
Avec Past Lives, Celine Song signe bien plus qu’un premier long-métrage sur les amours de jeunesse et la difficulté d'être immigré. La cinéaste livre une œuvre juste et désarmante sur l’importance de notre histoire et l’acceptation du temps qui passe pour parvenir à aller de l'avant.
Franceinfo Culture
Gestes, postures, attitudes et surtout regards : la caméra de Song capte l'indicible complicité qui lie ses héros.
L'Obs
En images pastel, une très jolie recherche du temps perdu, aussi émouvante qu’une fleur séchée dans un livre d’autrefois.
LCI
D’une infinie délicatesse.
La Croix
La dramaturge américaine Celine Song signe un premier film d’une déchirante beauté, inspiré de sa propre histoire.
Le Figaro
Pour son premier film, Céline Song offre une magnifique collision entre passé et présent.
Le Journal du Dimanche
"Past Lives" [...] éblouit par sa subtilité, son extrême délicatesse et sa pudeur, tout en disant de manière frontale à quel point certains choix de vie sont douloureux et ont forcément des conséquences cruelles sur l’entourage.
Le Monde
Une histoire simple, vieille comme le monde que Past Lives revisite avec une précision de métronome, une délicatesse de maître horloger.
Les Echos
Même si la mise en scène de « Past Lives » n'est pas à la hauteur de son scénario, ce premier film sensible révèle une réalisatrice à surveiller de près dans les années à venir. Un récit impressionniste touchant sur un grand amour platonique.
Libération
C’est une variation sensible sur l’amour fou [...]. Amour fou considéré avec des yeux raisonnables, une façon de filmer déliée, prudente, cédant tout à la pudeur. "Past Lives" a cette grâce contrainte si particulière aux premiers films.
Marianne
Cette fiction impressionniste et murmurée mérite de ne pas passer inaperçue dans le tumulte assourdissant des sorties de fin d’année.
Paris Match
Si scénario n’est pas follement original, la petite musique de Celine Song (pour son premier film), fonctionne à merveille. Elle décrit avec justesse l’ivresse de la romance virtuelle et la nostalgie des premiers amours.
Sud Ouest
Céline Song signe un film romantique et mélancolique autour du fossé qui se creuse entre deux personnes au gré de la vie.
Transfuge
Le plus beau, c'est le mélange de précision, de retenue et de délicatesse dans le geste d'une cinéaste déjà extrêmement affirmée pour un premier film.
Voici
Un premier film très délicat.
aVoir-aLire.com
Une belle histoire d’une belle sensibilité et teintée de romantisme, entre Séoul et New York.
Les Fiches du Cinéma
Dans son premier film, Celine Song interroge la complexité des relations humaines à travers une histoire assez convenue et maniérée, dont se détachent quelques moments sincères.
Les Inrockuptibles
Sous son vernis élégant et gentiment raffiné, un film plus rugueux et cruel se développe alors, en forme de grande démystification du couple.
Première
Dépouillé de tout artifice, ce drame sublimé d’une mise en scène intimiste fascine par son utilisation du vide, celui des mots qui n’ont pas été prononcés, des sentiments qui n’ont pas été éprouvés. Le regret est partout, la mélancolie omniprésente.
Télérama
Ni comédie du remariage, ni drame adultère, Past Lives cultive son mode mineur avec un courageux refus du drame et des attendus, plein d’un regret terrible : celui de n’avoir qu’une vie. Quand l’émotion frappe, à la toute fin de ce film pudique et de bon goût donc, elle semble d’autant plus forte.
Critikat.com
Si l’on sent tout de même poindre ici et là, dans l’ampleur romanesque et la cruauté des ellipses, l’embryon d’un film splendide, il reste recouvert d’un vernis lustré (et estampillé, ce n’est pas anodin, de la « marque » A24).