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Ce qui rend « Un Peuple » d’Emmanuel Gras si profond et émouvant, c’est que ce documentaire sur les Gilets jaunes suit une section du mouvement, celle de Chartres, et à l’intérieur de celle-ci, Benoît, Agnès, Nathalie et Allan, dont il interroge les motivations et les angoisses.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Après le Congo de « Makala », le documentariste suit un groupe de « gilets jaunes » des faubourgs de Chartres aux Champs-Elysées. D'un magma de colère, Emmanuel Gras a tiré une forme cohérente et lisible. Un film épique et vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
«Ne nous regardez pas, rejoignez-nous !» L’invitation de ce slogan [...] met en jeu toute la tentative du film Un peuple. Entre regarder et rejoindre, dans la tension entre les deux, un film se fait. Ce qu’il aura fait entretemps, c’est encore une troisième chose, à la fois difficile et simple : raconter.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Avec une subtilité et une intelligence qui hantent chaque plan du film, Emmanuel Gras donne à voir l’espoir qui habite ces militants d’un nouveau genre, leur organisation balbutiante, leur hantise du déclassement enfin dépassée.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
"Un peuple" rappelle que, plus encore qu’en fiction, la force paradoxale des meilleurs documentaires est de parvenir à dédoubler la réalité pour mieux la révéler, à y déposer un voile de subjectivité pour filmer les plis qui s’y forment à son contact, et, sans trahir sa vérité profonde, lui offrir une apparence nouvelle, comme par métamorphose, à force de patience.
Filmer la parole et son saisissement, voilà le projet et la richesse d’Un peuple, qui rappelle à juste titre que la citoyenneté, trop souvent corrélée au calendrier électoral, est une affaire de tous les jours.
Au fil de la chronique haletante et sensible se font jour les antagonismes sur les stratégies à adopter, les craintes face aux dérives du mouvement, la peur de voir leur engagement discrédité par les violences dans la capitale, les inimitiés camouflées, les rivalités autour du leadership…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
C’est l’apport le plus délicat du film : poser la vulnérabilité avant de les montrer projetés sur la scène répressive ultraviolente que le gouvernement a érigée à Paris.
En plans longs, le cinéaste réussit un film épique et digne sur l’apprentissage du collectif, clôt sur les traces laissées par la lutte : cendres de braseros autour desquelles une noria de bagnoles tourne sans fin.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Si le cinéaste ne cache rien des errances d’un mouvement réunissant des personnes qui n’ont d’autres points communs que des fins de mois difficiles, sa caméra agile nous donne habilement à voir cette géographie de la périphérie qui marginalise et isole ses habitants.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
A bonne distance et pourtant le nez dans son sujet, Gras rappelle que si le combat à déserté le petit écran, la fonction du grand est de montrer sa pertinence et sa vaillance. Un peuple donne envie de (re-)lire le merveilleux petit livre jaune de Barbara Stiegler, Du Cap aux grèves.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le film a beau être prenant, passionnant à plusieurs moments, il laisse hélas trop souvent l’impression de demeurer dans le confort de l’immense matière qu’il saisit.
Bande à part
Une insurrection cinématographique au service des invisibles.
L'Humanité
Un documentaire d’une grande humanité d’où émergent des figures fortes.
Le Parisien
Ce qui rend « Un Peuple » d’Emmanuel Gras si profond et émouvant, c’est que ce documentaire sur les Gilets jaunes suit une section du mouvement, celle de Chartres, et à l’intérieur de celle-ci, Benoît, Agnès, Nathalie et Allan, dont il interroge les motivations et les angoisses.
Les Echos
Après le Congo de « Makala », le documentariste suit un groupe de « gilets jaunes » des faubourgs de Chartres aux Champs-Elysées. D'un magma de colère, Emmanuel Gras a tiré une forme cohérente et lisible. Un film épique et vertigineux.
Les Fiches du Cinéma
Retraçant le mouvement des Gilets jaunes à Chartres, dans ses forces comme dans ses failles, E. Gras signe un documentaire sensible.
Libération
«Ne nous regardez pas, rejoignez-nous !» L’invitation de ce slogan [...] met en jeu toute la tentative du film Un peuple. Entre regarder et rejoindre, dans la tension entre les deux, un film se fait. Ce qu’il aura fait entretemps, c’est encore une troisième chose, à la fois difficile et simple : raconter.
Marianne
Avec une subtilité et une intelligence qui hantent chaque plan du film, Emmanuel Gras donne à voir l’espoir qui habite ces militants d’un nouveau genre, leur organisation balbutiante, leur hantise du déclassement enfin dépassée.
Ouest France
Un document passionnant.
Positif
"Un peuple" rappelle que, plus encore qu’en fiction, la force paradoxale des meilleurs documentaires est de parvenir à dédoubler la réalité pour mieux la révéler, à y déposer un voile de subjectivité pour filmer les plis qui s’y forment à son contact, et, sans trahir sa vérité profonde, lui offrir une apparence nouvelle, comme par métamorphose, à force de patience.
Transfuge
Filmer la parole et son saisissement, voilà le projet et la richesse d’Un peuple, qui rappelle à juste titre que la citoyenneté, trop souvent corrélée au calendrier électoral, est une affaire de tous les jours.
Télérama
Au fil de la chronique haletante et sensible se font jour les antagonismes sur les stratégies à adopter, les craintes face aux dérives du mouvement, la peur de voir leur engagement discrédité par les violences dans la capitale, les inimitiés camouflées, les rivalités autour du leadership…
Cahiers du Cinéma
C’est l’apport le plus délicat du film : poser la vulnérabilité avant de les montrer projetés sur la scène répressive ultraviolente que le gouvernement a érigée à Paris.
Critikat.com
Emmanuel Gras parvient à figurer un enjeu essentiel des luttes politiques : l’appropriation de l’espace public.
L'Obs
En plans longs, le cinéaste réussit un film épique et digne sur l’apprentissage du collectif, clôt sur les traces laissées par la lutte : cendres de braseros autour desquelles une noria de bagnoles tourne sans fin.
La Croix
Si le cinéaste ne cache rien des errances d’un mouvement réunissant des personnes qui n’ont d’autres points communs que des fins de mois difficiles, sa caméra agile nous donne habilement à voir cette géographie de la périphérie qui marginalise et isole ses habitants.
Le Figaro
Une vision, certes intéressante, mais qui ne raconte qu’une partie de ce mouvement parfois violent et souvent excessif.
Le Journal du Dimanche
Si les manifs et les entretiens face caméra enserrent le film dans une forme plutôt convenue, rien n’empêche ce peuple de nous émouvoir.
Le Monde
Emmanuel Gras rend compte avec justesse des métamorphoses d'une révolte sociale.
Première
A bonne distance et pourtant le nez dans son sujet, Gras rappelle que si le combat à déserté le petit écran, la fonction du grand est de montrer sa pertinence et sa vaillance. Un peuple donne envie de (re-)lire le merveilleux petit livre jaune de Barbara Stiegler, Du Cap aux grèves.
Les Inrockuptibles
Le film a beau être prenant, passionnant à plusieurs moments, il laisse hélas trop souvent l’impression de demeurer dans le confort de l’immense matière qu’il saisit.