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    Le Roman d'Elvis
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    fandecaoch
    fandecaoch

    1 037 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2015
    Elvis : La règle fondamentale pour un biopic est de rendre hommage et surtout de ne pas taché la vie de celui qu’on fait le film. Et ce film est un des meilleurs biopic car il nous montre le célèbre Elvis Preslai en temps homme normal, ses concerts et musiques passerai même au second plan, car on a le droit a un homme qui aime sa maman, qui aime faire plaisir, qui a des doutes, qui a peur de ce qui lui arrive : la célébrité… Et vraiment, c’est un film ou la psychologie des personnages est travaillé et respecté. Bon, je ne sais pas si le film est fidèle, je ne suis pas spécialiste d’Elvis et pourtant quel voix et pour ceux qui aimée ses chanson, ils seront ravis avec ce film, il y a touts ses meilleurs qui accompagnes l’histoire. Et un des points qui rend ce biopic meilleur et authentique et bien sur la réalisation du maitre John Carpenter qui nous donne une mise en scène comme d’habitude, très classique, très sobre, magistralement bien réalisé, c’est tout son style et c’est ce que j’adore dans ce film : le coté sobre et sans paillette. Et ensuite, que dire des acteurs qui sont très convaincants. Et surtout, l’interprétation de Kurt Resell qui est né pour faire ce rôle, il a un sacré charisme et il dégage une émotion, une tendresse : juste remarquable. Donc voila, un biopic simple dans sa mise en scène, maitrisé dans son histoire et étincelé dans son interprétation.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 110 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2011
    Un biopic sur le roi du rock'n'roll Elvis Presley dirigé d'une main de maître par John Carpenter et finement interprété par Kurt Russell.
    Benjamin A
    Benjamin A

    710 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2014
    Deux ans après la mort de Elvis Presley, John Carpenter signe un biopic sur une partie de sa vie pour la ABC, "Le Roman D'Elvis" qui sortira finalement au cinéma cette même année. Carpenter commence son film en juillet 1969, peu de temps avant son come-back sur scène à Las Vegas où Elvis Presley, en proie au doute, se remémore son passé. Et c'est une réussite, que ce soit à Memphis, à las Vegas ou pendant son service militaire, Carpenter capte bien la personnalité et les tourments du King, de ses débuts avec notamment sa reprise de "That'all right mama" où il devient le blanc qui chante comme un noir jusqu'à son retour à Las Vegas. Il nous montre sa relation avec sa femme, ses fans ou ses collaborateurs, ses désaccords artistique avec ses producteurs ou encore ses failles. On peut reprocher à ce biopic d'être parfois un peu trop classique et d'aborder certains aspects uniquement en surface (la mère par exemple) voir même pas du tout. La réalisation est plutôt bonne, Carpenter fait preuve d'une maitrise technique et nous offre notamment de beaux plans, le tout rythmé par l'excellente musique de Elvis Presley. Bien que la ressemblance ne soit pas du tout frappante (ce n'est pas forcément le but), Kurt Russell est impeccable dans le rôle titre. Un bon (télé)film, Carpenter arrive à rendre la vie du king intéréssant, c'est plutôt bien écrit, réalisé et interprété. Une bonne surprise.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 080 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2016
    "One for the money, two for the show, three to get ready". Toute personne normalement constituée devrait connaître ces quelques mots, premières paroles de l'une des meilleures chansons Rock ever, offertes par le King des Kings ( que l'on arrête de dire de Michael Jackson qu'il était le King, "this is bullshit" ), le bien nommé Elvis. Mais voyez-vous, ces quelques lettres résonnent comme une véritable philosophie de vie, et bien loin de simples mots, ils s'avèrent mûrement pensés, et purement établis dans la vie de celui qui les prononça, soixante ans plus tôt. Et cela, cet état d'esprit, John Carpenter l'a compris, alors qu'il mettait sur patte sa biographie de l'artiste, son "Roman d'Elvis", sa propre vision de l'homme. Et cette vision s'avère particulièrement touchante, autant qu'elle surprend de par la vision adoptée au sujet de Presley. "Le Roman d'Elvis" est donc un film très convaincant de la carrière de Carpenter. Bon, à le revoir aujourd'hui, il paraît forcément vieilli, avec quelques relents de série b ( quoi que pas forcément nauséabonds ), mais mince, quand tu vois que le mec a commencé sa carrière de cette manière, tu ressens forcément un petit quelque chose. Enfin, si t'es normal. Après, je sais pas trop comment tu te trouves, psychiquement parlant, alors je m'éviterai de lancer de jugement trop hatif sur ta personne, mais sérieux, j'espère que tu kiffes quand même Carpenter. Ce mec, c'est la vie, le sang de la veine; mieux même, c'est le sang de l'artère vénale qui nous transmet la vie. Ouais, je me mets un peu en mode kikoo, et alors? Plein de gens parlent comme ça, autour de moi. Ne vivrai-je pas dans un monde de fou? Mais je m'égare. Passons. Son travail en tant que photographe est assez remarquable, quand on y pense. Outre le fait qu'il est amusant de le voir débuter au cinéma ( oui, c'est son cinquième film, mais ça fait pas dix ans que le mec est présent dans le game, seulement cinq, ou quelque chose comme ça, en tout cas, c'est environnant ), l'on appréciera notamment son boulot de metteur en scène, aussi habile qu'à l'accoutumée. Beaucoup d'effets de styles sont énormément convaincants, et les ellipses ne viennent pas gêner le doux visionnage de l'oeuvre. De bonnes choses sont imaginées, et convenablement mises en forme; bon, c'est pas non plus du niveau d'un Cronenberg ou d'un Scorcese, mais l'art de Carpenter prend ses bases, et le fait solidement bien, jusqu'à arriver en un point majestueux qu'on lui connaît tous aujourd'hui. Un autre constat, plutôt plaisant, m'est venu à l'esprit, alors que je réfléchissais à ce que j'allais dire, dans cette critique : "Le Roman d'Elvis" m'a en effet donné l'impression qu'il était l'un des films les plus personnels de Carpenter ( je n'irai pas dire qu'il est "The one", parce que je ne les ai pas encore tous vus, mais à mon avis, on n'en n'est pas loin ), tant les sentiments qui s'y trouvaient étaient exacerbés. Dès lors que le film commence, l'on entre dans la tête d'Elvis, de ce grand artiste, de cet homme hors du commun. Au final, c'est vraiment très intéressant, au point que nul ne pourra oser prétendre, je pense, que ce film n'apporte rien, que ce soit à notre personne ou au cinéma en général. C'est d'autant plus intéressant que je suis fan de l'homme en question, et qu'une vision nouvelle de sa personnalité, pourtant peut-être véridique ( après tout, je n'en sais rien, moi, de comment qu'il était, dans la vraie vie ), m'a conduit à le voir différement, à le penser d'une autre manière. Mettre l'accent sur sa mère fut d'ailleurs un point original et pertinent, dans le développement même de l'intrigue de l'oeuvre, notamment lorsque l'on s'informe des rapports qu'il entretenait avec son père, offrant un tout un fort sentiment de nostalgie, et de vulnérabilité ( aussi étrange que cela puisse paraître ). Commençant comme une série b, "Le Roman d'Elvis" surprend de par sa conclusion et la qualité de son écriture, les deux se cloturant au même instant, dans un moment aussi bref qu'élégant, et d'une immense beauté. Une telle fin, ça laisse sur le cul pour une bonne semaine, la bouche ouverte comme un idiot, mais sans pouvoir rien faire pour changer la situation présente. Et puis, faut quand même avouer que le film est majoritairement porté par la prestation incroyable de Russell, d'une intensité sidérante. Je ne le pensais pas si bon. Je l'avoue, je le croyais vraiment limité. Qu'elle ne fut pas ma surprise en le découvrant là, dans la peau du King, gesticulant comme un malade, avec une sacrée gestuelle, bien qu'un peu dans l'excès; mais comment pourrai-je lui repprocher de ne pas danser comme le King? Personne ne pourrait l'imiter à la perfection, si ce n'est lui même, alors bon... Et puis la bande-son, uniquement composée de morceaux d'Elvis, ravit au possible, comme si carpenter, habitué de faire ses propres BO, s'effaçait pour laisser la parole à l'homme derrière le personnage, à l'homme derrière l'acteur. Oui, je vous le concède, c'est vraiment du balaise. C'est hallucinant, oui. Bien loin des artifices que l'on aurait pu attendre d'un tel film, le métrage en question se démarque par sa sensibilité, son intelligence et son émotivité croissante. Oeuvre toute particulière d'un artiste tout aussi particulier, "Le Roman d'Elvis" est une série b fort sympathique, un véritable bonheur pour le fan que je suis. "One for my pleasure, two for the fans, three for the show".
    Eselce
    Eselce

    1 389 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mai 2016
    La prestation de Kurt Russel est convaincante. Le film est moyen. Quelques bons titres du "King" sont présents, ses tenues de scènes et tous les jours, sa générosité, sa montée en puissance, ses coups de tête et ses problèmes liés à la célébrité, ses doutes, ses folies, sa vie. Je n'ai pas trouvé le tout palpitant. On a l'impression que l'acteur se débarrasse des show aussi vite qu'il le peut et se dandine dans tous les sens avec exagération. Je suis également déçu que la fin du "King" et ses problèmes de poids ne soient pas évoqués. Bref, pas convaincu par le film ni par sa fin bâclée selon moi.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 699 abonnés 12 420 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2012
    Intèressante à plus d'un titre, cette première collaboration entre John Carpenter et Kurt Russell est une bonne surprise! Rèalisè en 1979, juste après le mythique "Halloween", cette biographie d'Elvis Presley est en fait un grand flash-back sur la jeune vie du King! Rock n'roll, succès, films à Hollywood, amour...mais aussi fêlures, parano qui s’installe et au bout du compte son come-back triomphal sur scène à Vegas en 1969 pour la première fois depuis huit ans, avec en contrepoint le spectacle qui continue...Vèritablement habitè par le rôle, Kurt Russell est un Elvis plus vrai que nature (ses cheveux sont d'un noir de geai et sa gestuelle est assez bluffante), interprètant de très belles chansons qui vous donneront le frisson! On notera l'èmouvante prestation de Shelley Winters qui incarne la mère du King et qui se donne du mal pour être ce que Elvis est! On voit qu'elle a du mal à se faire aux changements de son fils entre son service militaire en Allemagne (pas un film et un concert durant deux ans) et son statut de star! Dommage que Big John a zappè la fin tragique d'un Presley obèse et droguè de mèdicaments divers, cloîtrè chez lui! Le film n’en reste pas moins une petite rèussite avec une superbe B.O qu'il faut absolument voir en version intègrale...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    686 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juillet 2019
    La plus grande qualité du biopic qu’offre John Carpenter à Elvis Presley réside certainement dans sa propension à ne jamais prendre de haut son sujet ni lever les mystères inhérents à sa personne : présenté dès le début comme une légende insérée dans une existence trop étroite pour lui, le King semble lui-même nous raconter son ascension à partir de ses propres souvenirs. Carpenter éloigne ainsi tout discours psychologisant et use des ressorts cinématographiques les plus éculés pour traiter d’une figure elle-même médiatique : quelques accords à la guitare et voilà une foule d’étudiants qui s’amasse autour de lui, quelques accords à la guitare et c’est un producteur qui tombe sous son charme, quelques accords à la guitare et le public tout entier est conquis. Le cinéaste se moque bien de la vraisemblance et construit de la légende à partir du seul langage imagogène apte à l’immortaliser : le cinéma. Reste un problème que Carpenter élude trop facilement : l’absence de vision artistique. Car nul parti pris ne se ressent ici, et le spectateur peut avoir l’impression que le film déroule une fiche biographique mise en images où perlent çà et là les grands succès du King. Le choix de Kurt Russell pour le rôle-titre se justifie amplement, l’acteur faisant preuve d’un charisme tout en retenue et en nuances. Elvis est une œuvre assez méconnue de John Carpenter dans la mesure où elle ne révèle aucune patte graphique particulière, mais affirme néanmoins la thématique que l’on retrouvera par la suite dans chacune de ses œuvres : l’Amérique face à l’une des déclinaisons de sa légende, déclinaison apte à révéler les travers d’une société ici rongée par le profit – voir à ce titre le personnage du Colonel Parker – et par l’industrie qui transforme un artiste en produit de consommation.
    peter W.
    peter W.

    42 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mars 2017
    Un biopic old school qui tente de faire un panorama complet de la vie du king jusqu' à son retour à Las Vegas. On se retrouve donc avec un scénario qui survole les périodes en évitant de rentrer dans les détails et les polémiques. Evidemment les aficionados du chanteur n'apprendront pas grand chose et les autres à peine plus car on ne distingue pas très bien l'évolution de la carrière d'Elvis et de son entourage. En résumé un film correctement réalisé mais sans grande saveur.
    TheDarkKnight74
    TheDarkKnight74

    30 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mars 2013
    Carpenter n'a pas fait que de l'horreur, en témoigne cet ambitieux bipoic retraçant la vie du King. Mais au vu de l'allure de cow boy et des goûts musicaux déjantés de Big John, sa participation a un tel projet lui va très bien. Il signe avec Elvis son premier hommage, à une personnalité incontournable du milieu musical, chose qu'il réitérera près de quinze ans plus tard, cette fois en déclarant son adoration d'une œuvre culte (Le Village des damnés de Wolf Rilla, un chef d'oeuvre de l'horreur) dans un remake où l'hommage est de prime abord (contrairement à The Thing qui tient davantage du vrai remake où le film de 1951 est digéré selon le point de vue du maître, il en sort un objet qui s'en distingue tout de même assez, qui surpasse l'original, et qui consiste davantage en une ré-habilitation qu'en un hommage dévoué). Elvis est un peu méconnu au sein de la filmographie de Carpenter, pourtant il ne faut pas oublier qu'il s'agit de la première collaboration entre le Maître de l'Horreur et Kurt Russel qui deviendra son acteur fétiche par la suite. Ce dernier suscita bon nombre de réactions de la part des fans de l'illustre rockeur, surtout au niveau de leur ressemblance physique. Au final, l'acteur délivre une monstrueuse performance d'anthologie qui fait oublier à elle seule que ses yeux bleus ne correspondent pas du tout à ceux d'Elvis (cela me rappelle d'ailleurs la polémique qui entoura le choix de Michael Keaton par Burton pour le rôle de Batman, or à l'heure d'aujourd'hui le public le préfère même à Christian Bale alors que la trilogie de Nolan a mené un carton planétaire au box office). Durant 2h45 la vie du King nous sera présentée, et de manière atypique. Comme dans le prestigieux Amadeus, on commence par la fin. Par l'interminable attente qui ronge un artiste en voix d'extinction qui tente l'ultime retour sur scène. Le rythme est lent, quasi froid, et très prenant. Les plans larges de Carpenter présentent l'agonie du King avec une majesté époustouflante. Puis c'est le retour au point de départ. On suit l'enfance d'Elvis à la campagne, ses débuts sont très empathiques, on se réjouit de le voir s'élever petit à petit dans le monde de la musique, à la sueur de son front, semant des amis un peu partout. Mais peu à peu des failles qui lézardent le King de l'intérieur vont éclater à sa surface. La peur de l'échec, l'entrave de ses amitié...la nécéssité d'être reconnu, et avant tout par sa mère. Je suis loin d'être un pro concernant la bio d'Elvis Presley, alors peut-être qu'en arguant que ce film est d'une richesse psychologique non négligeable est abusif, surtout si Carpenter ne fait que reprendre ce qui a été dit dans des biographies écrites par exemple, mais il est indéniables que les scènes représentant les relations entre Elvis et sa mère constituent les points limites du film. On frise la grande métaphore, on se demande si le King est un grand gosse qui ne s'est toujours pas détaché de son complexe d'Oedipe. C'est tout de même osé. Cependant, une fois que l'on a franchit la première partie du film, outre ces moments dingues entre Elvis et sa mère, on navigue un peu entre l'ennui et la lassitude. La vie fait des hauts et des bas, les succès et les échecs les déterminent, les relations conjugales sont exposée avec justesse vis à vis de tout cela. Ça devient d'un classicisme déplorable, il ne reste plus que la magnifique photo à admirer et le la musique à savourer. Elle est souvent absente d'ailleurs...et les décors se changent en couloirs épurés uni-chromes dans les moments forts...hum, ça sent le Kubrick à plein nez. Intuition confirmée avec le final haletant initié par Ainsi parlait Zarathoustra (2001) qui clôt en beauté cette fresque malade, où Big John s'est mélangé les pinceaux à vouloir faire de son biopic une pivot du genre mêlant habilement les différentes approches possibles. Un grand film raté dans son ensemble qui vaut néanmoins la peine d'être vu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 août 2014
    Très bon film sur la vie du king bien mis en scène par John Carpenter et brillamment interprété par Kurt Russell, le tout au rythme des belles chansons de Elvis Presley comme "That's All Right Mama", "Blue Moon Of Kentucky", "Tutti Frutti", "Blues Suede Shoes" ou encore le merveilleux "The Wonder Of You".
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 juin 2018
    "Le Roman d'Elvis" de John Carpenter est sorti deux ans après la disparition de celui qui reste le King : le grand Elvis Presley avec Kurt Russell dans le rôle du chanteur ! Shelley Winters (La nuit du chasseur) fait aussi partie du casting ! En tant qu'immense fan d'Elvis, j'aurais été intransigeable si le biopic avait été de mauvaise qualité .....et c'est tout le contraire, c'est plutôt une immense surprise ! On ne peut que saluer les performances des acteurs et le respect de la vie d'Elvis Presley : son succès mais aussi ses moments de doute (certains biopics d'artistes ont tendance à exagérer certains événements de la vie de ceux-ci !). Là, on assiste à la fondation du Mythe Elvis : de 1953 à 1969 (les années suivantes ne sont pas traitées, cela coincide avec le scénario qui veut que avant son retour sur scène à Las Vegas en 1969 , Elvis se remémore son passé donc cela s’arrête durant cette année-là).
    Le seul défaut du film est qu'il oublie un événement majeur dans la carrière de l'artiste : Le Comeback 68 ou il renoue magistralement avec ses racines !
    Un film à voir : si vous êtes fans , vous allez adorer et si vous n’êtes pas fans, vous allez le devenir !
    Ben M
    Ben M

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 décembre 2018
    Cest une belle oeuvre qui retrace une periode de Elvis peut-être méconnue...
    Un téléfilm à découvrir cest certains !
    Kurt Russel est parfait dans le role
    Les meilleurs films de tous les temps
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